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« Est… A James perdu son esprit… ? »

« Non, je pense qu'il est juste très confus. Pomfrey lui a donné un breuvage magique d'esprit-dégagement, dans les espoirs qu'il pourrait aider. Mais donnez-lui le temps. » Dumbledore s'est tenu de sa chaise, tournant pour partir. « J'ai quelques choses que je dois prendre soin de. Vous devriez se reposer jusqu'au demain, mais si vous souhaitez parler je laisserai ma gargouille resterai ouvert pour vous. Si vous souhaitez dormir ailleurs, professeur Dorrey a démissionné et sa pièce est ouverte pour votre usage. Et je trouverai quelque part pour cacher Sirius… Bien qu'il pourrait préférer Shack poussant des cris perçants, si je le connais assez bon… »

Le lupin a souri. « Oui, soyez probablement… »

Dumbledore a regardé vers Snape aussi bien. « Merci, Severus… » C'étaient quelque chose dans sa voix, lupin n'ont pas su ce qui exactement, mais elle l'a étonné.

Snape n'a indiqué rien, mais a incliné la tête.

Le Dumbledore a été allé…

Snape n'a indiqué rien à lui, mais lui a donné un dernier regard avant de tourner loin. Le lupin a regardé plus d'à où James étendent endormi rapide.

Échos des mots de Dumbledore dans son esprit.

« Non, je pense qu'il est juste très confus. Donnez-lui le temps. »

« J'espère que vous avez raison, Albus… »

Snape avait écouté le retelling entier. Il a été légèrement étonné quand le lupin a choisi… exemptent certaines pièces…

Bien que, il vraiment n'ait pas compris ce qui l'a incité à le faire en premier lieu…

/Flashback

Le noir était une étape derrière eux car ils se sont mis à genoux autour du Portkey. Tout était prêt à s'effondrer à tout moment, mais toujours, le noir a choisi de tenir au loin leurs attaquants. Snape s'est senti quelque peu insatisfaisant qu'il ne pourrait pas aider aussi bien, mais il n'était plus en condition pour jeter des malédictions environ.

« Sirius ! » Le lupin appelait à son ami même pendant qu'il luttait avec le potier, qui mettait toujours vers le haut d'un combat.

« Déplacez-vous, noircissez, » Snape a crié, « nous allant maintenant avec ou sans vous ! »

Noircissez conformé alors, en tournant et en faisant un pas vers eux car ils ont tout eu une main prête.

Un morceau en baisse de plafond est alors tombé, frappant le noir sur la tête, dur. L'homme bouleversé, tombant en avant, juste hors de portée du Portkey. Il n'était pas sans connaissance, mais il était évidemment stunned. Il n'allait pas le faire. Tout était sur le point de descendre sur eux.

Le lupin a crié, « non ! Sirius ! »

Mais quelqu'un avait dardé dehors, atteignant dehors pour l'homme en baisse…

Snape s'était déplacé du Portkey et du noir saisi par l'avant de son manteau. Avec un coup sec pointu il avait traîné noir en avant à où il pourrait atteindre le Portkey.

« Maintenant ! ! »

Snape et lupin ont touché le Portkey en même temps. Tandis que le lupin luttait toujours avec le potier, Snape avait veillé a gardé une prise ferme sur le noir…

Il a sauvé le noir…

Économisé lui… !

Ils sont apparus en dehors du grand hall. Le noir s'était rassemblé, et lui et Snape tous les deux ont soumis le potier après beaucoup d'effort. Le tremblement les avait suivis là, mais il s'est arrêté dès que le potier était sans connaissance. Lupin bouleversé loin par l'entrée du grand hall à la recherche de Dumbledore.

Snape ne s'est plus inquiété, il était faible et avait perdu trop de sang. Lentement chute sans connaissance, il s'est effondré au plancher où le potier s'étendent déjà, sentant au moins heureux qu'il pourrait finalement souffle encore…

Retour en arrière de fin

« Comment pourrais j'avoir fait quelque chose si stupide, » il scowled lui-même. « Comment ? Si le seigneur foncé découvrait… »

Pas, le seigneur foncé ne découvrirait pas que… il ne pourrait pas…

Madame Pomfrey est bientôt retournée avec un breuvage magique de Pepperup pour le lupin (le lupin l'a tourné vers le bas, insistant sur le fait qu'il pourrait se manipuler.), et elle était rapide pour offrir une ébauche de sommeil à Snape. Snape n'a pas discuté cette fois, permettant au breuvage magique de l'envoyer dans le sommeil. Mais ses pensées préoccupées l'ont suivi même là…

Le ministère depuis longtemps s'était débarrassé de Dementors. Treize ont été repérés, ironiquement (le numéro treize est légendaire à pour être un mauvais présage.), mais tout combattu au loin. Dire tristement, là avait été de nombreux accidents pour le ministère et des civils. Un certain Dementors était entré dans des maisons, désireux d'assouvir leur faim et réclamer les vies de ceux qui ont essayé de se cacher. Quelques membres de ministère avaient été à faible pour combattre les créatures, et leurs vies bientôt ont été aussi bien réclamées, la pensée pas toute au baiser de Dementors. Un homme est mort de l'effroi. Une autre sorcière est morte en tant que son coeur arrêté, incapable de manipuler pour faire pression sur mis sur elle. Uns presque conduits dans la folie. Personne n'avaient été assez habiles avec le charme de Patronus…

Arthur Weasley était juste retourné avec un groupe de cinq, qui avaient à l'origine été un Groupe des Huit.

Peu ont trouvé la raison de célébrer cette « victoire », si vous pourriez même l'appeler cela. M. Weasley avait attendu n'importe quoi de pareil. Chacun refusé pour croire que le seigneur foncé a eu n'importe quoi faire avec le massacre, mais M. Weasley a su… Juste comme Harry lui avait dit. Si Voldemort étaient de gagner la commande de tout le Dementors, que lui soyez enfer de la terre pour chacun. Personne ne seraient sûrs…

M. Weasley s'est dirigé pour un contrôle maintenant. Il a été commandé à quand il est revenu, et maintenant lui et beaucoup d'autre se sont réunis en dehors de l'infirmerie, attendant leur tour pendant que ceux majorly blessés où traités à l'intérieur. Le Dementors n'avait pas été facile sur eux…

« Papa ? PAPA ! ! »

M. Weasley a obtenu arraché de ses pensées comme paire de bras enroulés autour de ses bras et coffre et un poids lourd jeté contre lui. Au début il a trébuché mais a rapidement regagné son équilibre. Il était un chef familier des cheveux rouges, a coupé dedans un modèle propre et ordonné. « Percy ? Oh MERLIN, sont vous a blessé ? »

« Je ! ? » Percy a écarté, regardant dans le visage de son père, étonné. « Et vous ! ? J'ai pensé que vous… Je n'ai pas su si vous le feriez--il y avait tellement beaucoup mourant et… Ah, vous semblez terrible, papa. Y-vous êtes si pâle et… » Sa voix traînée au loin incertain et lui ont mis sa paume à son front tout en soutenant loin. « Je n'ai jamais pensé qu'un quelconque de ceci pourrait jamais se produire, » il a chuchoté incertain. « Mais elle est… »

« Charlie… » « Percy, l'équipe de Charlie est-elle revenue encore ? Vous avez entendu quelque chose de eux ? »

Percy a gelé, ses yeux s'élargissant. « Vous ne savez pas… ? »

Il feutre comme son sang s'était tourné vers la glace et il est devenu très léger dirigé. « Ce qui… ? Le Dementors-- »

« Non, ce n'était pas un Dementor, » Percy a indiqué rapidement, comme si cela le calmerait (il n'a pas aidé beaucoup.). La « équipe de Charlie… a été attaquée. Par des personnes, nous ne savons pas qui. Charlie et les autres vérifiaient les passages inférieurs parce qu'ils ont vu quelque chose… »

« Que s'est produit ? Ce qui s'est produit, Percy ! ? » « Laissez Charlie être toute la droite, laissez Charlie être tout droit… »

Le « combat d'A-A a éclaté, et les passages se sont effondrés, papa… Ils se sont effondrés… »

« Non, il ne peut pas être… » « Où est Charlie, Percy ? » Percy n'a pas répondu ses yeux moulés à ses pieds. Un certain nombre de têtes ont tourné leur manière pendant qu'il saisissait les épaules de son fils et le secouait. « Où est-il ! ? Ce qui s'est produit ! ? »

Le « papa, l'arrêtent ! ! » Percy s'est poussé à partir de son père rudement, ajustant ses verres pendant qu'ils glissaient un peu. Et il n'y avait aucune manière qu'il pourrait cacher les conseils de la crainte de son expression. « Svp… Je ne sais pas si Charlie--Je ne sais pas ! Certains ont été creusés dehors et--l'infirmerie… » Il a laissé dehors un sanglot obstrué, apportant une main à son visage. « Je ne sais pas. J'avais trop peur pour vérifier, papa, j'ai été trop effrayé… »

M. Weasley n'a pas gaspillé n'importe quand avant qu'il ait tourné autour et se soit précipité vers dans l'infirmerie. La porte s'est tenue grande ouverte, et bien qu'un certain nombre de personnes hurlées à lui ou jugées pour le tenir en arrière qu'il a continué à aller. Mais à la fin elles l'ont laissé partir et bientôt il était là parmi des lignes des lits et la civière de flottement, tous a occupé. L'air a senti stérile et la salle lumineuse. Il a commencé à rechercher frénétique, mais constaté que Charlie était dans aucun des lits (ceci lui a donné un certain espoir.). Après il regardent au-dessus de la nombreuse civière (tout le flottement à environ de la taille de genou.) qui a pointillé le plancher.

Et elle était sur un de ces derniers celle qu'il a vu une tête familière des cheveux rouges de flamme…

« Charlie ! ! » Il s'est précipité plus d'à la civière, tombant à ses genoux près de elle, la civière flottant au niveau de taille de M. Weasley's. « Charlie… ? Charlie… »

Une couverture a couvert son fils jusqu'à la taille. Il… de elle y avait un désordre. La douille gauche de la robe longue de Charlie avait été arrachée indiquant les brûlures, les éraflures, et les contusions rouges fâchées d'obscurité qui ont atteint jusqu'à son cou et continu même à son coffre (sa chemise et robes longues avaient été ouvertes coupé pour indiquer tels…). L'éperlan de Charlie des cheveux brûlés, et du M. Weasley a vu que ses serrures rouges ont été légèrement brûlées légèrement et noircissent aux bords, de même que ses robes longues…

Les yeux de Charlie étaient fermés et il ne se déplaçait pas…

« Charlie… oh aucun… »

Son fils était… mort…

La plus mauvaise crainte de M. Weasley's a eu vrai venu, et… « Oh… mon fils… aucun… aucun… » Il est tombé en avant à côté du corps immobile, résistant au recommander de troubler à son fils en le déplaçant. Il à la place, après un moment, il a reposé vers le haut et a reposé sa tête sur le coffre de Charlie.

« Charlie… »

« Mort… »

Il ne s'était jamais senti si creux et vide… Jamais…

Il ne devrait pas le 'VE a laissé Charlie partir… M. Weasley a su que quelque chose terrible se produirait, et maintenant son fils a été allé…

Mais M. Weasley n'a pas noté que le coffre de Charlie était se levant et tombant toujours tellement légèrement…

« Papa… ? »

M. Weasley a senti une main toucher son chef, et lui a lentement recherché dans les yeux de son fils… Ils étaient ouverts et miroitants avec la gaieté. M. Weasley soudainement senti comme l'évanouissement…

« Hé papa, » Charlie a dit somnolent, « j'avais un beau rêve, et ici vous allez, me réveillant. C'est terriblement grossier, vous ne pensent pas ? » Il a ri au choqué (?)expression sur le visage de son père. Le laugher de Charlie s'est bientôt fané, cependant, son visage pâle mettant un regard très étonné pendant qu'il regardait M. Weasley un peu plus longtemps. « Papa… vous pleurez… »

Il était, et M. Weasley seulement a maintenant noté que les larmes soudaient vers le haut dans ses yeux. Mais il ne s'est pas inquiété. Pourquoi s'inquiéterait-il ? Son fils était vivant !

Le sentiment vide avait disparu complètement et a été bientôt remplacé par une montée subite de joie. « J'ai pensé que vous étiez… » Il a voulu étreindre Charlie, mais cela n'a pas semblé comme une bonne idée considérant son état. « Êtes-vous bien ? --Pas, vous ne semblez pas bien--combien blesse-t-il ? --Pourquoi n'êtes-vous pas dans un lit comme chacun d'autre ? --Médecins sanglants--Est-ce que je peux vous obtenir quelque chose ? -- » Il a continué le bavardage comme ceci jusqu'à ce que Charlie l'ait ondulé au loin.

« Je suis un peu rugueux autour des bords, mais je suis très bien… Ah, ne me donnez pas que le regard, vous se comportent comme la mère… »

« Charlie ? »

M. Weasley et Charlie a recherché. Charlie a souri. « Hé, Perc. »

Percy doit avoir suivi son père, et maintenant il s'est tenu avec  le oeil    écarquiller à son frère plus âgé. Se tenir le premier rôle aux dommages et ses robes longues déchirées dans un certain état d'horreur. « Êtes vous… Vous regardez… Vous semblez terrible… Allez-vous être bien ! ? Pourquoi n'ayez pas ils vous ont traité ! ? » Sa voix était trembling, sa gorge retentie serrée et crue.

De « l'amende votre frère, Percy, » M. Weasley a respiré, souriant largement. « Il est juste…, » il a grimacé, sa main planant au-dessus du bras brûlé de Charlie, « … un peu frappé vers le haut. » Il a regardé autour, voyant que tous les médecins étaient occupés avec d'autres personnes, grouillant au sujet du lit et de la diverse civière. Tellement beaucoup avaient été blessés… Est-ce que « voulez-vous que je essaye et traite ceci ? Les autres médecins ne t'arriveront pas pendant un moment… »

Charlie a jeté un coup d'oeil vers le bas sur son propre bras aussi bien, grimaçant à la vue. « Qui a fait futé, j'admettrai… Mais ce n'est aucun problème. Ils m'ont donné quelque chose pour elle et je serai nettoyé en un rien de temps. N'embêtez pas, papa. » Il a boudé un peu. « Mais j'étais sorte d'espoir une autre « cicatrice de bataille » ou quelque chose, comme après qu'un dragon roughs vous vers le haut d'un peu. »

M. Weasley a clignoté. « Ce qui… ? »

Percy a badaudé à lui. « Comment pouvez-vous dire n'importe quoi de pareil ! ? La mère vous tuerait si elle vous entendait dire quelque chose aussi inepte que celle devant elle ! Comment pouvez vous penser à n'importe quoi de pareil quand vous êtes presque mort ! » M. Weasley ne pourrait pas aider mais regarder vers le haut Percy dans le choc. Ce n'était pas souvent que Percy a hurlé comme celui… Un docteur a moulé Percy un regard d'avertissement, cependant, et c'est tout qu'il a pris pour lui faire l'arrêt. Il alors s'est tenu là, regardant légèrement embarrassé.

Charlie a ri de la réaction de Percy, regardant complètement amusée. « Avancent, Percy, ce qui est erroné ? »

Percy lui a donné un moyen, regard sévère, oubliant les médecins avertissant le regard déjà si mais pour un instant. « Je suis me suis inquiété de vous, idiot ! Ce qui vous pensent ! ? » Il a croisé ses bras étroitement au-dessus de son coffre, son visage dentelant un peu tandis qu'il décalait d'un pied à l'autre nerveusement. « J'ai pensé que je devrais entrer et… Ohaaargh, Charlie ! Ne faites jamais qu'encore vous l'imbécile sanglant ! »

« Vous ne devez pas être plus le supérieur sanglant un toute l'heure, Percy, » Charlie a dit tranquillement, son visage desserrant soudainement tous que c'est humeur. « Laissez-juste au loin le pour une fois, bien ? Détendez juste. »

Percy a regardé… Dérouté, effrayé, choqué, quelque chose, mais M. Weasley n'a pas su pour certain. Il juste s'est tenu là, sa bouche accrochant légèrement ouvert pendant qu'il observait son frère plus âgé. Alors finalement il s'est laissé tomber à ses genoux sur le côté de Charlie, vis-à-vis de M. Weasley, plaçant une main sur la bonne épaule de son frère. « Vous êtes… un stupide insupportable… »

Charlie a souri, atteignant dehors et salissant vers le haut ses cheveux de petit frère par espièglerie. « Je t'aime aussi, Percy, vieux garçon. Je suis très bien, je jure… Juste fatigué est tout… » Baîllé somnolent, son abattement de yeux. « Je vais juste retourner pour dormir, papa bien… ? »

M. chauffage incliné la tête et de sourire de Weasley et a embrassé Charlie rapidement sur le front. « Vous dormez juste, Charlie… Je dirai votre mère que vous êtes bien… »

« Bonne idée… »

« Et vous, » il a regardé plus d'à Percy. « Vous n'allez pas dire votre mère au sujet de ceci juste encore. »

Percy a incliné la tête silencieusement.

M. Weasley a regardé vers le bas Charlie encore. « Je verrai si je peux vous rendre plus confortable… Je suis très fier de vous, fils. »

Charlie a grimacé. « Je sais. Papa merci… »

Il était endormi.

« Je suis fier de vous… » M. Weasley a recherché à Percy, qui l'observait. Un petit sourire tirait avec effort sur les bords de ses lèvres, mais il essayait toujours de sembler sérieux. « Je suis fier de tout le vous… »

Quand M. Weasley s'est finalement senti pour trouver quelque chose traiter Charlie avec, Percy n'a pas laissé le côté de son frère.

Pour une fois, il a ignoré son travail pour quelque chose qu'il a trouvée plus important…

Pour être continué…

REVUE SVP ! !

Les Réunions : Premières étapes (partie de 3)

Comme « ce qu'il a vraiment voulu (et elle s'est sentie presque honteuse pour l'admettre à se) était quelqu'un--quelqu'un aiment un parent : le conseil de magicien adulte dont qu'il pourrait demander sans sentiment stupide, quelqu'un qui s'est inquiété de lui, qui avait eu l'expérience avec la magie foncée… »

Harry Potter Harry Potter et le gobelet du feu, chapitre 2 (la cicatrice), par J.K. Rowling.

Il était presque de minuit, et le château était silencieux. Irrite le monstre a erré les halls, se sentant très circonspects du baron sanglant. Particulièrement maintenant plus que jamais, depuis un « petit » incident dans les cachots il y a quelques jours. Irrite avait osé défiler un costume d'armure très fin avec du papier hygiénique, la peinture, et les plumes de coq. Le baron ne s'est pas amusé… Bien que, maintenant que la majeure partie de l'armure a été détruite, il n'y ait pas eu beaucoup à être fâché au sujet de… Avec irrite, quoi qu'il en soit.

Mais irrite ne prendrait plutôt pas ses risques…

Un directeur, un loup-garou, et un évadé d'Azkaban conversaient maintenant au-dessus des événements récents. Le songeur utilisé sur le potier de James resterait intact jusqu'au matin, après qu'elles fassent obtenir le tout un certain repos. Le futur toujours tenu peut des questions répondre, et aucun doute quelques complications une fois que le ministère devient impliqué (Dumbledore les informerait le next day, beaucoup au mécontentement de Sirius…).

Dumbledore a été préoccupé, se demandant ce que les démons pourraient probablement se cacher en esprit de James pour avoir causé une telle catastrophe (comme celle dans le souterrain.). Celui qui presque a fait un certain dommage majeur à Hogwarts aussi bien, pourtant qui avait été arrêté juste dans l'entaille du temps… Dumbledore toujours inquiété pour Severus, comme maître de breuvages magiques prendrait un moment pour guérir…

Sirius a craint pour ses amis s'occupent, mais il était peu disposé à desserrer l'amitié ni sa confiance de James, n'importe ce que la force se produisent et l'horreur pourrait leur arriver tout l'à l'avenir. Il a eu un sentiment terrible que James pourrait essayer… la mise à mort lui-même… Bien que, le potier de James que Sirius a connu ne commette jamais un tel acte de poltronnerie fine sur se.

Le lupin pourrait seulement prier et souhaiter le meilleur, cependant, ce qu'il avait vu en yeux de James l'avait terrifié… Et il a eu a également vu la tristesse et la chaleur dans ces mêmes yeux que le lupin a été dits à James au sujet de son fils… quand Sirius avait refusé de laisser son latéral… Quand il avait ri…

Il y avait espoir. Tant que ils ne se sont pas laissés encore…

Jamais encore.

Autrefois pendant leur conversation le lupin avait glissé au loin dans le sommeil dans son fauteuil, faisant face au bureau de Dumbledore. Le loup-garou était encore épuisé et plutôt défectuosité, bien qu'il ait refusé d'admettre à tels.

Dumbledore leur a permis de rester, parce que Sirius n'a pas voulu réveiller son ami. Le directeur a créé quelques couvertures, et Sirius a couvert le lupin avant de s'arranger dans son propre fauteuil. Dumbledore les a laissées seules dans son bureau (qui a indiqué des volumes sur combien il leur fait confiance vraiment tous les deux…).

Avant que Sirius ait laissé le sommeil le portent au loin, il s'est demandé brièvement si tout serait bien… Pour James aussi bien que son filleul…

Le temps pourrait seulement indiquer, et il a alors frappé la course du minuit…

Tout est maintenant tranquille dans Hogwarts, et irrite même était silencieux pour une fois (se cachant toujours du baron.).

Personne ne pourraient voir, naturellement, une figure invisible se précipitant par les halls dans la grande rapidité, vers le bas et lever plusieurs escaliers, et s'arrêtant finalement avant elle est destination. L'entrée d'infirmerie…

Une seule année de Gryffindor cinquième, habillée dans des ses vêtements de nuit, enveloppés dans un manteau hérité d'invisibilité, a rapidement essayé d'ouvrir la porte avant lui.

Mais, hélas, la porte a été fermement fermée à clef fortement.

Naturellement. Madame Pomfrey n'était pas un femme stupide par aucun moyen. Harry avait attendu ceci et est venu préparé. Il a atteint dans sa poche, sortant son canif. Il a maladroitement collé la lame dans la serrure (elle était foncée, et le trou principal était très petit.). Trouvant une ouverture, Harry secouant le canif autour d'uns chronomètrent et il pourrait entendre un « tintement » audible !

Harry remercierait Sirius plus tard… journalier de tant que il a vécu !

Il a poussé la porte ouverte, a glissé à l'intérieur, et l'a fermée derrière lui. Harry a glissé son manteau de son principal et épaules, regardant autour. … La première chose qu'il a vue était Snape, dormant tranquillement, avec son coffre exposé enveloppé avec les bandages blancs propres. Il n'a pas regardé trop bon… Mais ce n'est pas qui il recherchait.

Harry a marché en avant un peu plus. La salle était ainsi obscurité… et alors il l'a vue.

Deux lits vers la gauche de Snape, avec des blancs et des oreillers ont empilé vers le haut… Un chef des cheveux noirs indisciplinés de gicleur cette apparence vers le haut contre la toile blanche propre d'oreiller aiment une grande tache d'encre…

Harry pourrait sentir le sang s'écouler son visage.

Potier de James, son père, droite endormie de configuration avant ses yeux…

C'était sa chance… Je… Il avait pensé à ce moment tellement, mais à toutes ses idées de quoi faire quand le moment est venu glissé de son esprit. Tellement à la place, il a juste ouvert sa bouche maintenant très sèche et a demandé faiblement, « papa… ? »

Silence…

Harry est parvenu à avaler le morceau dans sa gorge, déplaçant une étape plus étroite trop le lit, forçant ses pieds pour ne pas dessiner lentement contre le plancher. Mais il pourrait ne faire rien au sujet de la manière que sa tête tournait, le sentiment de l'apesanteur comme si il était juste tombé d'un manche à balai, ni l'énervement qui le ruinait par son corps comme l'électricité.

Harry pourrait-il faire ceci… ?

…

Il… n'était pas à sure à ce sujet à l'heure actuelle…

Harry a pris quelques respirations profondes. Il était si nerveux, ainsi effrayé, qu'il a dû combattre le recommander de courir loin. Ou cri… Il a fermé ses yeux juste à temps, sentant la forme chaude de larmes sous ses paupières.

« Je ne pleurerai pas, je ne pleurerai pas… »

Regardant vers le haut le plafond, Harry soigneusement a clignoté les larmes loin, silencieusement se vouant à ne pas pleurer devant son père. Il n'a pas voulu sembler si faible… Il serait un fils vrai. Harry serait tout que son père pourrait espérer pour.

Il a dû être.

Il a glissé au loin son manteau d'invisibilité toute la manière, lui permettant de mettre en commun sur le plancher. Puis, à titre d'essai, Harry a atteint dehors et a doucement saisi les épaules de James, les secouant juste un peu. L'homme a regardé ainsi… faible et malade… Et il ne répondait pas à l'secousse.

« Papa… ? »

James ne s'est pas réveillé…

« Papa… ? Papa, svp wake-up… ? »

Rien… Harry n'a pas voulu aller dans la mesure où hurler afin de réveiller l'homme, et lui a eu un sentiment impair qu'il n'aiderait pas de toute façon. J'étais simplement évident ce qui était le problème.

Ils doivent lui avoir donné un breuvage magique de sommeil. Très fort.

Condamnez-les.

La déception l'a frappé comme une tonne de briques. Harry avait accumulé pour cet instant dans son esprit chaque réveil en second lieu jusqu'à présent, et… Là il était…

S'étendant bien devant lui, habillé dans des pyjamas rouges de Gryffindor. Une paire de verres encadrés ronds a placé sur son nez. Les cheveux noirs indisciplinés, juste comme ses propres, encadrant le sien fatigué, ont hanté, visage vidangé par sang.

« Mon papa, mon papa, mon papa… »

« Papa… » Il s'est senti si bien dire ce mot…. Il a vraiment fait.

Harry a observé la forme de sommeil de son père pour une tout à fait certaine heure avant la pensée pour enlever les verres de James (il a su de l'expérience inconfortable elle pourrait dormir avec eux dessus.). Après les avoir glissés doucement au loin, Harry a pris un moment pour les inspecter, s'émerveillant à la façon dont de même ils étaient à ses propres. La similarité était surnaturelle. C'était une chose pour entendre d'autres indiquer combien il a ressemblé à James, et voir des images de lui, mais lui était une chose totalement différente pour le voir en chair.

Plaçant les lunettes sur la petite table de chevet, Harry a alors tiré vers le haut une chaise qui était déjà à côté de lit de James (faisant attention très quant pas au coup de racloir il le long du plancher en pierre) et a pris un siège.

Harry a souri à se, se penchant en avant pour étayer ses coudes vers le haut sur le bord du matelas et pour tenir sa tête dans des ses mains. Maintenant il pourrait juste observer son père… Sachant que cet homme était à lui (dans une certaine mesure). Son père, et personne d'autre. Personne ne l'enlèveraient toujours encore.

Et Harry a figuré alors que c'aurait été une idée terrible de réveiller James… Il a regardé si paisible… Et peut-être c'était la plus légère trace d'un sourire sur ses lèvres…

Le sourire de Harry s'élargissent, un sentiment du gonflement absolu de joie par lui.

« Papa… »

Harry a soupiré contently, atteignant dehors et prenant le sommeil équipe la main dans ses propres et serrant doucement.

Il n'avait jamais laissé si heureux…

Quelqu'un a ronflé un air familier… A chanté des mots familiers…

« Dites bonne nuit… »

Hantise.

« Je serai le léger… »

Consolation…

« Et priez votre âme pour garder… »

« Lis ? »

« S.M. ? » Ronflement arrêté par lis et regardé au-dessus de James. Ces yeux… ces yeux verts glorieux ont fait son coeur fondre… « Ce qui est lui, James ? »

C'était un rêveur… C'était juste comme lui était avant. James était vraiment chez Hogwarts, années ont collé, Harry était quinze, lis était mort…

Mais il a semblé si vrai… Et maintenant le lis scooting plus d'à où il s'étendent sur le sien en arrière, se tenant le premier rôle au plafond blanc de leur chambre à coucher. Elle a couru une main par ses cheveux malpropres affectueusement, l'incitant pour trembler. « Qu'est-ce que c'est, cher ? Ce qui vous tracasse ? »

« II… » « Je ne veux pas voir vous… il blesse trop pour savoir que vous n'êtes pas vrai… » « Je… »

Son regard inquiété a rapidement disparu, et maintenant elle a regardé comme elle voulait rire. « Vous ne pensez toujours pas à Harry et la télévision, sont vous ? »

« Télévision… ? »

Le lis a soupiré, jouant distraitement avec une serrure ses cheveux. « Je n'ai pas pensé qu'il serait si choquant… »

« C'est une boîte parlante, lis, » il a murmuré, se sentant comme s'il était passé par cette conversation avant… Dans une autre vie. « Il n'y a rien normal à son sujet. »

« Pour un magicien au moins. » Le lis a ri nerveusement, incapable de s'aider.

« Oh… » Maintenant il s'est rappelé. C'était une conversation qu'il avait eue avec le lis quelques jours après le premier anniversaire de Harry. Ils pensaient à acheter une télévision ainsi Harry pourrait observer était « des programmes éducatifs de croissance d'enfant » appelés par lis, celui qui ils aient été. Mais James avait été iffy au sujet de Harry « instruit » par quelque chose tellement tout à fait et totalement… Muggle.

« Il est vraiment étonnant, » elle suite, plus ne jouant avec ses cheveux mais les frottant légèrement. « Quand j'ai découvert la première fois au sujet de la magie, je n'avais jamais été plus stupéfait… Elle était fantastique, vraiment. Mais toujours, avec tous ce que la magie doit offrir, des magiciens sont encore mystifiés par technologie commune de Muggle ! » Elle a ri nerveusement. « Ou êtes vous inquiété qu'elle se décompose le cerveau de Harry ? »

James s'est tenu le premier rôle en avant sans regarder vraiment n'importe quoi, pensant dur. « Soyez… Êtes-vous vrai ? Ou juste des autres rêveurs… » Il a entendu la tristesse dans sa propre voix. « J'ai loin trop de rêves récemment… Juste laissez-moi rester en réalité et laissez mon souffrir là, et là seulement… »

Le lis lui a donné un regard impair. « Quelle êtes-vous parlant de James ? James… ? »

« Vous… m'avez laissé… Vous ne pouvez pas être vrai. »

« Maintenant, c'est simplement idiot. Je ne vous ai jamais laissé. »

Il a semblé y avoir plus à ses mots. James n'a pas su comment ou pourquoi il a su ceci, mais il a fait. Il a voulu savoir ce qu'a voulu dire elle. « Ce qui… ? » Il s'est arrêté pendant qu'elle se déplaçait encore plus étroitement… « Oh, lis… »

« Ne comprenez-vous pas, James ? Je peux ne jamais vous laisser. » Elle a saisi sa main gauche dans ses propres, leurs bandes de mariage cliquant sur ensemble légèrement. C'était un bruit plaisant. « Et je ne laisserai jamais Harry, l'un ou l'autre. Je t'aime tous les deux tellement… Je serai toujours à vos coeurs. » Elle a souri d'un air affecté. « Ou je pourrais juste vous hanter… »

Une image d'un fantôme-Lis flottant autour et tirant des arrêts comme irrite le monstre a clignoté dans son principal… Bien que, les fantômes ne puissent pas déplacer des choses… Heeh…

James a souri un peu. Il pourrait presque sentir la chaleur de la main du lis sur le sien… « Promettez-vous, lis… ? Vous me promettez ? »

Le lis a incliné la tête, souriant. « Naturellement je promets. Même si c'est un rêve. »

Il a clignoté, effrayé. « Vous êtes… »

Le « miel, wake-up maintenant, ou ce des choses foncées pourrait revenir… » Curieusement… que ressemblé presque à d'une menace, mais que le sourire doux à elle n'a jamais hésité. Il était rampant et effrayant, et James pourrait sentir son coeur battre peu un plus rapide, son estomac devenant un peu queasy. « Même je ne peux pas les garder forever parti, cher. »

Oui, il pourrait l'entendre. Le bruit des cris faibles dans la distance… Le rire aigu hysterique. James n'a pas pu prendre cela encore… Pas encore !

« Oh non, » il a prié svp dans un chuchotement, « non, lis… »

Pas, ce n'était pas lis… Mais d'autre part, qui--quel était-il ? Ce n'était pas un rêve normal, il a su qu'il ne pourrait pas être…

« Pourquoi êtes vous faisant ceci ? » Il a essayé de l'ignorer, mais James pourrait indiquer que les cris allaient être sur lui bientôt. Il a dû courir, mais il a également dû savoir ce qui se produisait en ce moment. « Pourquoi… ? » La personne, ce « lis », est venue plus étroitement, tenant son visage dans des ses mains, se penchant plus étroitement jusqu'à ce que leurs fronts aient presque touché. Les cris venaient pratiquement sur lui comme une force réelle, dont le but était de l'engloutir mais--avoir-à-connaissent ! ! « Qui êtes-vous ! ? Ce qui--! ? »

« Si vous ne pouvez pas figurer cela dehors à ce jour, que moi le laisserai jusqu'à vous, idiot ! » Lis, ou celui qui (quoi que ?)c'était cela regardé comme elle, rican son expression étonnée, trouvant est situation amusant fortement.

CECI LE CONDUISAIT ALIÉNÉ ! !

« Dites-moi qui vous êtes ! ! » James l'a éloignée seulement à l'encavateur sur ses épaules avec force, la secouant jusqu'à ce que ses cheveux rouges parfaits soient devenus disheveled au sujet de son visage, criant, « ce qui sont vous-vous me font vont fou-pourquoi êtes vous faisant ceci à moi ! ! Dites-moi-- »

« Wake-up maintenant, bonbon ! ! »

L'obscurité était là, manche juste derrière lui, une main glaciale atteignant dehors aussi--

Le lis, souriant toujours, lui a donné une poussée outre du lit et…

Ses yeux se sont ouverts, et chez le premier James n'a pas su où il était, ou pourquoi son coeur était battement comme un tambour en acier. Il était dans un lit… dans une infirmerie… Hogwarts. Oui. S.M., il ne le ferait pas aucun bon s'il gardait d'oublier des choses toutes les fois qu'il s'est réveillé…

Mais il était sûr…

Coffre-fort…

James a soupiré malheureusement, se tenant le premier rôle directement vers le haut au plafond pendant qu'il attendait sa fréquence cardiaque pour retourner à la normale. Peut-être le rêve, ou celui qui elle était, n'avait pas été vrai. Mais elle s'est sentie vraie, si chaud.

Et cette chaleur a été allée, remplacé par un sentiment du froid. Comme celui qui ait essayé de lui arriver dans son rêve seulement l'avait à peine manqué… Il pourrait estimer que Sirius n'était plus à l'extrémité de son lit, et que rendu lui la sensation plutôt incommode et seulement. Tout était extrêmement silencieux.

La réalité n'était pas une chose gentille à retourner… Mais il devrait lui faire face un jour… Et il est beaucoup meilleur qu'étant endormi, de nos jours… Sirius serait là pour lui… et Remus.

Ils seraient tout là.

Ceci lui a fait le sourire.

Son sourire s'est fané le moment James réalisent qu'il n'était pas seul, littéralement parlant. Il y avait quelqu'un d'autre là avec lui… Il pourrait l'entendre aussi bien que le sentir il, quelqu'un respirant doucement… la soirée… droite à côté de lui. Qui ? Sirius ? Mais il avait dormi à l'extrémité de son lit avant, pourquoi il…

James a tourné sa tête vers la droite, trouvant soudainement son visage enterré dans ce qui a semblé comme une masse épaisse et noire des cheveux. Le parfum du shampooing a rempli ses narines et il a réalisé qu'il y avait une tête se reposant à côté et presque sur de son épaule !

Effrayé, James a lancé, mais constaté que son corps était très raide et achy. La douleur était toujours là, mais venant à lui en ce moment, comme les muscles surchargés qui ne blessent pas dans le jour suivant. Ses forts mouvements n'avaient pas réveillé ceci… la personne (qui n'était pas certainement un chien, et donc PAS Sirius.), mais ils ont décalé un peu et ont marmonné quelque chose. Celui qui c'était nécessité s'étaient reposés dans une chaise ou quelque chose, reposant leurs bras et tête pliés sur le matelas de James.

Feutre de James acquis et non coordonné comme il s'est lentement introduit dans une position de séance. Il s'est senti pesé vers le bas dans chaque partie de son corps, et à la consternation de James, il a découvert que la lumière avait été mise a obscurci et elle était beaucoup trop foncée maintenant. Il ne pourrait pas voir correctement sans ses verres, particulièrement avec le mauvais éclairage… Mais James ne pourrait pas se rappeler de les enlever, mais ils seraient sûrement sur le nightstand.

James a atteint dehors maladroitement à la table à côté de son lit, recherchant… Ah ! Là ils étaient. Il les a rapidement pris et l'a amené jusqu'à son visage, les poussant solidement sur le pont de son nez. Préparez pour voir qui c'était, exiger pourquoi il était là. James a regardé vers le bas la forme de sommeil, ses yeux maintenant correctement focalisés.

Et il s'est presque évanoui… quand il… a vu…

Oh… mon…

Chez le premier James pensé il avait des hallucinations…

La personne dormant, sa tête se reposant sur ses bras pliés était… h-lui-même.

Exactement les mêmes… James se voyait, s'étendant là avec sa moitié de visage tournée, dormant solidement. Son esprit a crié qu'il ne pourrait pas être possible, mais James le regardait maintenant. Bien que… il ait semblé plus jeune… Juste et… Mais… attente.

Pourrait-elle… ?

/« Sirius… Pouvez-vous me dire quelque chose ? Honnêtement ? »

« Ou cours, James. Ce qui est lui ? »

James a soupiré, un sourire triste croisant ses lèvres. « Comment Harry s'est-il développé ? Ce qui fait il ressemblez à ? »

Sirius a grimacé à l'ardeur en voix de James, rayant le pont de son nez d'une façon pensive. « Bien, il regarde…, » Sirius ressemblait James plus de maintenant, « … tellement à vous maintenant, James. » D'image de miroir…/

Harry…

Était-il ce son fils… ?

Harry (?) décalé légèrement à où James s'était étendu il y a un moment. Il marmonnait quelque chose dans son sommeil, ses fronts sillonnés d'une façon préoccupée, comme s'il avaient une certaine sorte de cauchemar.

« Laissez svp ceci être vrai… Pas un rêveur… Svp… ! »

James a pu voir des larmes dans les yeux du garçon. Il n'a pas voulu que Harry pleurât… Jamais. Il a voulu voir que le visage sourient pour la première fois. Mais James s'est également demandé si Harry disparaîtrait simplement… se fanent loin s'il essayait de le toucher.

Avec une hésitation de moments, James a atteint dehors et doucement a balayé les voies salées loin.

Et car il touchent la peau du garçon, Harry ne s'est pas fané loin… Sa peau et larmes étaient chaudes et vraies. Il était vrai !

« MERLIN, ceci est mon fils. Mon fils ! »

James n'a pas noté le stir de Harry quand il l'a touché. Se sentant presque effrayé, James a cassé son dos de main. Son fils se réveillait… Il était comme il s'était forcé pour essayer une manoeuvre vraiment compliquée de Quidditch, prenant un piqué très bas à la terre. Mais soudainement il constatent qu'il l'avait pris rapidement, son balai sort de la commande et se brisera certainement, et maintenant souhaité il pourrait juste retourner et la prendre plus lente.

James l'a regrettée… H-il n'a pas été disposé pour ceci… !

Les yeux de Harry se sont ouverts lentement, regardant un peu stupéfié, ses verres réglés tordu sur son nez. Ses bras ont dévoilé et une main recherchée autour quelque chose (James ?) le long du matelas, mais n'a trouvé rien. Un regard de la panique a croisé le visage de garçons, ses fronts sillonnant, et ses yeux ont cassé toute la voie ouverte. Harry a reposé vers le haut un peu, sa main recherchant toujours d'une manière extravagante, puis il a recherché et…

Yeux verts…

Les yeux du lis… Harry a toujours eu les yeux de sa mère…

« Harry… »

Il a effrayé James complètement quand Harry a fait un bruit impair qui a semblé venir du dos de sa gorge et puis s'est soudainement jeté du lit, à partir de James, frappant au-dessus de sa chaise dans le processus. Harry a haleté, regardant autour rapidement comme si il pourrait y avoir les gens autour, observant (il n'y en avait aucun).

James avait été blessé quand Harry a sauté parti comme cela… Mais il n'a pas ressemblé au garçon avait prévu à, et maintenant Harry a semblé terriblement embarrassed, mais il n'a entrepris aucune démarche de prendre la chaise tombée. Au lieu de cela il a tenu là… aussi le stiff qu'un conseil,

Mais James avait à peine noté, fasciné par…

Bien il n'avait jamais prévu…

Harry il…

Il s'était développé… Son fils… Son petit bébé plus… Il y a un jour James pourrait avoir tenu Harry dans des ses bras, et maintenant il était un jeune homme qui a regardé pour être aussi grand que lui.

Un sentiment impair et puissant de fierté gonflait dans son coffre, et James aurait grimacé comme un idiot s'il pourrait juste se rappeler comment commander ses muscles de visage. James a réalisé qu'il avait tenu le premier rôle à son fils ce temps plein, et Harry n'a pas semblé trop confortable avec le ce, décalant nerveusement sous son regard fixe, un silence inconfortable s'installant sur eux…

C'était un moment si impair, et James n'a pas su quoi faire. Mais d'autre part Harry a semblé faire à l'effort le parler, son visage ayant obscurci à ce jour au cramoisi.

« II être-s-désolé, » il a parlé incroyablement rapidement. James pourrait à peine faire dehors quel Harry disait, et il ne s'est pas inquiété.

« Les premiers mots de Harry… Ses premiers mots. » La pensée l'a incité à vouloir rire (elle est plutôt drôle quand vous pensez à elle). Il était assez heureux de rire. Harry n'a pas vu cette pensée, il a eu ses yeux abattus au plancher. Était-il ce nerveux ? Pourquoi se sentir de James était-il si nerveux ? « Oh mon dieu, il est ici… »

« Moyen II que je n'ai pas voulu dire pour vous tracasser ! Je jure ! II signifient-Je a juste voulu voir que vous-vous étiez endormi-Je pouvez aller ! Je suis ainsi, si désolé, I… II… »

« … Harry… ? »

Le garçon a raidi. Harry a cessé entrer, ses mains Balling vers le haut dans les poings serrés sur ses côtés. Ses yeux moulaient toujours au plancher.

James n'était pas sûr de quoi faire de cette réaction, mais de lui a parlé encore de toute façon, si tout va bien. « Vous êtes… Vous êtes Harry, n'est-ce pas ? Y-vous êtes mon fils… ? » Il a dû être, il doit être, mais il a eu besoin d'une confirmation pour le garçon lui-même.

Harry ne s'est pas déplacé pour un instant, puis incliné la tête légèrement, ses lèvres maintenant pressées ensemble dans une ligne mince.

« Il est, il est vraiment ! »

Il était alors quand James a vu que Harry devenait frénétique. Il a semblé observer la porte et brouiller ses pieds. Ceci a indiqué que le garçon discutait si rester ou courir… Il a voulu partir… Pas, il ne pourrait pas partir, pas maintenant ! Et il se déplaçait maintenant, moitié tournée--

Le « non, ne disparaissent pas ! »

Harry a raidi et a dessiné dans un souffle pointu, mais il s'était arrêté.

« Svp… Harry, vous êtes mon fils… I… Je suis votre père… » Ah, quel est-ce qu'était il a supposé pour dire ! ? Dites autre chose ! « II avaient demandé des nouvelles de vous, I… » Oh MERLIN… Ceci se produisait tellement rapidement, qu'était-il à faire, qu'À FAIRE ! ? Maintenant il allait devenir frénétique !

« Je suis désolé… »

James a haleté dans le choc quand il a réalisé que Harry… pleurait…

Harry a regardé en bas un peu de plus, essayant de cacher ses larmes derrière ses coups foncés. Il avait pris de façon ou d'autre à l'halètement de James la manière fausse, semblant complètement humilié, son quelque maintenant pâle au lieu du cramoisi. « Je suis si désolé, » il a chuchoté cassé. « J'ai promis que je ne pleurerais pas. Je suis ainsi, si désolé, papa, je suis désolé… » Il a rapporté une mesure, une main atteignant derrière lui comme s'il recherchaient une certaine sorte d'appui, comme la chaise qui s'étendent maintenant de son côté. Ne trouvant rien, il est à la place descendu à ses genoux, se pliant plus de jusqu'à ce que son contact de chef à peine le plancher en pierre froid. « Je suis désolé, je suis désolé… » Il a répété ceci à plusieurs reprises, incapable de s'arrêter.

James a observé dans l'horreur.

Non ! Il n'a pas voulu que son fils souffrît ! James a dû faire quelque chose, aider !

Mais… James n'a pas su soulager un fifteen-year-old…

L'étude pour soulager un petit enfant avait été assez difficile pour lui. James tiendrait Harry dans des ses bras, le basculent doucement pour dormir, chuchoter tranquillement à lui… Alors il calmerait vers le bas et tomberait endormi.

Et si c'était la seule chose James a su faire, puis…

James a jeté ses couvertures de côté et est tombé à ses genoux à côté de Harry, enroulant ses bras fermement autour de ses épaules de fils et l'a tenu étroitement, reposant son menton sur la tête du garçon. Aucune savoir vraiment ce qu'il faisait désormais, James. James commençant ronflant… ce lis d'air toujours calmait Harry vers le bas avant lit…

Et (choquant) il a semblé réellement fonctionner… James pourrait sentir des épaules de Harry trembler, mais il ne pleurait plus. Il s'était développé silencieux pendant que James continuait à ronfler, seulement sachant qu'il rendait le sentir de Harry meilleur. Son fils était vivant. Son fils était ici.

Et le lis détesterait pour savoir que son fils était triste…

« Ce qui sont vous faisant… ? »

James a arrêté le ronflement, sentant plus que légèrement embarrassés. Harry le regardait maintenant dans la crainte, sienne observe au loin.

Bien, au moins il n'a pas semblé disgusted…

« Je suis votre père, » James a répondu incertain, ne sachant pas si c'était la bonne chose à employer pour une explication. Sirius avait indiqué que Harry a été effrayé… « Est ce ce que je suis censé faire, droit… ? » « Est-il ? Je ne sais pas quoi faire ! Ah, lis, je ne pense pas que je peux faire ceci sans vous… »

« Je… » Harry a regardé aussi incertain que feutre de James, ses sourcils tricotant dans la pensée. « Je vraiment ne sais pas… »

« Ni l'un ni l'autre ne font I… » Il a mordu sa lèvre, prête à s'écarter pendant qu'il détachait sa poignée. « Je ne devrais pas-- »

« Attente ! » James a arrêté le déplacement, attendant ardemment Harry pour continuer, priant qu'il a voulu qu'il restât… « Je veux dire… J'ai besoin vraiment de ceci… juste une fois… Et alors je promets que je ne pleurerai pas toujours encore, bien… ? » Il a souri, un sourire triste fatigué… Par God… Par ce qu'a eu ce garçon été… « Je suis stupide, ne suis pas moi… ? »

« Vous êtes seulement humain… »

Harry a souri. Il a vraiment souri, et James ne pourrait pas aider mais souri en arrière.

« Je jure, je ne vous laisserai encore jamais… »

Harry n'a pas su prendre cela. Il a voulu exprimer combien bon il lui a fait la sensation, mais il y avait d'autres choses pour prendre soin de d'abord. Comme le sentiment brûlant horrible dans ses yeux, et le morceau dans sa gorge. Et après tout, son papa a dit qu'elle était correcte. Tant que elle était correcte avec lui…

Ainsi Harry a enterré son visage en épaule de James, laissant dehors toute sa tristesse, ses craintes, sienne doute.

Savoir que son papa était ici avec le sien, et l'imagination impossible ont rendu vrai.

La réalisation horrible que sa mère était encore allée, sachant qu'il pourrait ne jamais savoir comme ce qu'il était d'avoir sa prise il, comme Mme Weasley a eu l'année avant.

Sachant qu'il ne devrait plus vivre avec le Dursleys, les personnes qui ont détesté lui, qui n'a montré à Harry rien mais le mépris et détester sa vie entière. Il pourrait rester avec son père, il pourrait avoir un famille, comme il avait toujours souhaité, et l'espoir, et rêvé, et prié pour.

Et il était ainsi effrayé que ceci pourrait être un rêveur… un merveilleux, heureux, rêve heureux, et il se réveillerait soudainement, et son coeur casserait savoir qu'il pourrait ne jamais être.

Mais pour une fois, cela n'allait pas se produire, parce qu'il était déjà éveillé.

« Je ne peux pas croire que vous êtes vrai, » Harry avez sangloté, sentant l'étreinte de son père serrer jusqu'à ce qu'elle l'ait presque écrasé, comme si James avaient peur pour laisser aller. Mais il ne s'est pas occupé de lui du tout. « J'étais si effrayé vous mourriez, un-et je n'aurais jamais une chance… » Il a traîné vers le haut, sa gorge serrant tellement péniblement qu'il pourrait obtenir les mots dehors.

James hushed le doucement, et il était étonnant comment calmant que le bruit pourrait être. « Ssssh… Il est correct, Harry… » Son père a embrassé le dessus de sa tête, frottant le sien arrière doucement. De là dessus, ils n'ont dit rien. Il était plus facile de cette façon. Parler pourrait attendre, bien que Harry ait attendu avec intérêt lui.

Harry n'avait jamais attendu ceci. Il n'a jamais prévu qu'il pourrait jamais se sentir ainsi a aimé.

« Vous ne savez pas combien de temps j'ai voulu ceci, » la pensée de Harry, la joie dans le sien qui se renverse dehors aussi bien que la tristesse, l'invitant à saisir dans son père plus serré. Il souriant.

« Je suis maison… Enfin… »

Le père et le fils se sont jugés long dans la nuit et dessus dans le matin, jusqu'à ce que Harry ait finalement pleuré lui-même pour dormir.

Et James ne l'a jamais laissé, il a refusé à.

Mais les deux garçons avaient oublié qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la chambre avec eux.

Quelqu'un qui les a observés silencieusement.

Qui a refusé d'admettre à se qu'il a senti… la pitié pour ces deux…

Mais jamais par le passé il leur toucherait…

Et la nuit a traîné jusqu'à ce que le soleil se soit finalement levé jusqu'au à l'est de Hogwarts…

(La berceuse du lis… Vers de Harry et de James)

James

Fermez vos yeux et peut-être puis,

Vous naviguerez à un autre monde, et arrière encore.

Mais rappelez-vous svp qu'il était feignent juste.

Feignez, feignez, feignez--

Harry

Ce n'était pas un rêve, il n'était pas un rêve,

Il était hors de ce monde,

Mais ce n'était jamais un rêve.

Il était magique, mais il n'était pas un rêveur…

Ils m'indiquent que chaque rêve doit finir,

Et quoiqu'il ait été juste feignez,

Et bien que je ne retourne jamais encore,

Il n'était jamais un rêveur…

Je sais…

À mon coeur…

James

… Chute d'ombres, et appel de voix,

Mais il n'est pas facile effrayer vous.

Sommeil que vous trouverez, un monde conçu,

Pour rêver quelque chose que vous osez.

C'a été amusement, mais le rêve est fait,

Et rappelez-vous svp que nous (que je) soyez là…

Harry

Il y a bien longtemps, et lointain,

Dans une autre heure et un autre jour,

J'ai entendu que la voix de ma mère indiquent,

« Là vient un moment, vient là un jour,

Là où tout change,

Et rien ne peut rester la même chose.

Mais jamais vous esprit,

Puisqu'il y a tellement dedans magasin pour vous,

Ne vous occupez pas vraiment,

Puisque votre futur vous attend. «

Peut-être il arrive maintenant à moi, maman…

Je me sens si vivant !

Et enfin je suis vraiment à la maison.

Je suis maison…

Enfin…

Je suis vraiment à la maison…

James

Oh mon… Ah, mon enfant…

Harry

Je suis maison…

James

Ah, mon enfant…

Harry James

(Starmites, « finale » (voir le déni))

Pas l'extrémité…

Comme ombre foncée apparaît indistinctement au-dessus des paires…

C'est seulement le commencement…

Pour être continué…

Qu'est-ce qu'il adviendra de James, de Harry et du repos ? Et bien que Voldemort ait décidé « abandonnez » sur James (pour maintenant) ce qui était avec ce de rêve étrange au sujet de lis… ? Y a-t-il plus à la folie de James qui rencontre l'oeil ? Peut-être…

REVUE ! !

Merci à tous mes lecteurs et des critiques, vous êtes le meilleur ! Vous m'incitez à vouloir pleurer pour la joie, et me croyez, je faites.

La prochaine chose sera une ligne de temps, puis je peux revenir à cette histoire. Cela prend un moment, mais votre appui est beaucoup apprécié !

Merci ! !

/.../ avec des italiques signifie un retour en arrière ou une partie d'un retour en arrière. De plus longs morceaux de mémoire peuvent ou peuvent ne pas être en italique.

Réunions

« Soyez… Êtes-vous vrai ? Ou juste des autres rêveurs… » Il a entendu la tristesse dans sa propre voix. « J'ai eu loin trop de rêves récemment… Juste laissez-moi rester en réalité et laissez mon souffrir là, et là seulement… »

Et car il touchent la peau du garçon, Harry ne s'est pas fané loin… Sa peau et larmes étaient chaudes et vraies. Il était vrai !

« MERLIN, ceci est mon fils. Mon fils ! »

Potier Fanfiction « malédictions charmées » de James, les Réunions : Premières étapes (partie de 3), par Madame Geuna

Dumbledore s'est reposé en arrière dans son fauteuil, pliant ses longs doigts délicatement pendant qu'il se tenait le premier rôle en avant dans le feu, la tête de pendillement du ministre de la magie tenant le premier rôle bien le dos et ne semblant pas demi comme brevet. Ils avaient parlé pendant environ une heure maintenant, cependant rien de grande variété. L'information serait répétée, des incertitudes exprimées maintes et maintes fois.

Potier de James.

Mangeurs de la mort.

Dementors.

Voldemort…

Et esquivez maintenant devenait très frustrant au-dessus de la dernière demande de Dumbledore.

« Le loup-garou ! ? »

« Ici il vient… Combien prévisible. »

« Ce qui est lui faisant chez Hogwarts ? »

Dumbledore n'a pas aimé le fondant soupçonneuse et même la tonalité insultante, mais il ne pourrait pas se laisser devenir fâché. Pas, cela rendrait seulement le fondant bien plus peu disposé à être d'accord sur n'importe quoi… « Il est venu parce que nous avions besoin d'aide immédiate pour notre petit problème de Skrewt dans les cachots. Vous vous rappelez cela, ne faites pas vous, Cornelius ? »

« W-Well naturellement je fais-- »

« La nuit de la pleine lune a passé, et ce sera un moment jusqu'à ce que ce « moment » vienne de nouveau. Il n'y a aucun besoin de craindre. Et professeur Snape peut encore créer le breuvage magique de Wolfsbane, au besoin, bien que je doute fortement de lui. Professeur Dorrey, notre défense contre le professeur d'arts foncé tout à fait hier. » De nouveau, un DADA ne dure pas plus qu'une année… Pas même quelques mois dans ce cas-ci. « C'était une situation redoutable pour lui hier, et son coeur juste ne pourrait pas prendre la contrainte. Vous comprenez. »

Le fondant a dégagé sa gorge, regardant quelque part au côté. « Je suis désolé d'entendre cela… » Ou le fondant de cours avait été celui pour recommander Robbie Dorrey en premier lieu.

« S.M., il ne semble pas très désolé du tout. Plus embarrassed que n'importe quoi, certainement. » « Et maintenant avec des breuvages magiques indisponibles, il sera très difficile que les classes continuent dans les délais. Ah ! Je suis sûr que M. Weasley peut également être d'aide avec cela aussi bien ! Si naturellement vous lui donneriez la permission de faire ainsi… »

Le fondant a grogné, semblant battu et considérablement maussade. Autant que l'homme ne pourrait prendre aucune décisions pour se en premier lieu, fondant n'a pas aimé être poussée autour. « Il peut rester, mais seulement temporairement. Et vous trouverez un remplacement immédiatement ! Je ne veux pas être responsable d'aucun parent fâché, Dumbledore. Ils n'aiment pas leurs enfants enseigné par tels--de telles créatures. Loups-garou, honnêtement ! »

« Et ici j'ai pensé que vous avez lutté pour des droits de loups-garou, Cornelius… » « Alors peux j'également offrir le sanctuaire et la liberté de M. Potter chez Hogwarts une fois--et si--on s'avère qu'il est qui est dit qu'il est ? »

À était comme jouer un jeu du jeu, avec la réputation du fondant sur la ligne. « Bien, je supposerais--naturellement ! »

« Merci, et je devrais aller maintenant. Le déjeuner commencera dans environ une heure ou ainsi, et je devrai annoncer le séjour du lupin aux étudiants et au corps enseignant. » « Severus n'aimera pas ceci du tout… » « Je dois les veiller tous pour être présents. » Il a donné un sourire plaisant, pourtant secrètement faux. Il était un homme de beaucoup de sourires faux. « C'était un plaisir te parlant, Cornelius. Vous êtes un homme très patient. »

La tête du fondant a pendillé comme s'il inclinaient la tête, et rapidement dit, « mes personnes seront chez Hogwarts autour de midi demain.

Avant que Dumbledore pourrait même répondre, le fondant vieux et très contrarié regardant le visage a disparu. Dumbledore s'est occupé de lui, shacking sa tête et soupirant, « patient en effet… »

Et maintenant il a pris le déjeuner à s'occuper… Mais d'abord…

Un si beau rêve… Son papa était là, souriant… Ah, il a regardé ainsi clairière heureuse, et de Harry de feutre pour celui.

« … Potier… »

Il a regardé si gai et vivant, comme rien était jamais allé mal, et il avait toujours été là.

« M. Potter, font wake-up immédiatement. » La voix hushed, bien qu'elle ait semblé très fâchée. Comment décevant.

Harry a gémi, roulant au-dessus et à partir de la main qui a implacablement secoué son épaule, enterrant son visage dans des ses oreillers. « Pas encore, Ron, » il a baîllé, oubliant ce fait que Ron ne l'a jamais appelé « M. Potter ». « Bon rêve… Juste-- »

« Affaiblissez. »

Le projectile des yeux de Harry ouvert, le sommeil immédiatement déchiré de lui, et lui se sont reposés vers le haut pour venir seulement tête à tête avec l'image brouillée d'aucun autres que Madame Pomfrey ! Et, oh mon, même sans ses verres que Harry pourrait la dire a semblé la croix mortelle ! Il était toujours dans l'infirmerie ! ? Quelle heure était-elle ! ? Que se passe-t-il ! ?

La prochaine chose qu'il a sue, ses verres ont été placés maladroitement sur son visage, et Harry a dû rapidement s'emparer de eux lui-même pour empêcher les choses de pousser son visage ou de tomber. « M-Madame Pomfrey, I-- »

« Sssh ! » Ceci l'a rapidement fait taire avec son index à ses lèvres, puis chuchoté, « ne le réveillez pas, enfant. »

Harry a clignoté, puis regardée à étaient la configuration des yeux de Pomfrey, et…

« Papa ! » Son père s'étendait bien là à côté de lui. Elle a eu pas tous étés un rêve ! OUI ! ! OUI, OUI, OUI ! ! Et à la différence de Harry, qui a été couvert par des couvertures, James s'étendent sur elles… Il doit avoir mis Harry dans le lit après qu'il ait eu endormi tombé, et couvre en dehors l'homme a semblé trembler du froid… « Il… Oh non, les choses que j'ai dites ! Je suis un tel idiot ! ! Et il gèle, j'a fait… »

C'étaient si compliqué… Pourtant il également a senti étourdi pour quelque raison…

« Ici maintenant, » Pomfrey a chuchoté par ses dents, « hors de ce lit. Doucement le now-don't le réveillent ! Honnêtement, il a besoin d'un approprié, bon repos-vous ne devrait pas être ici-vous a laissé votre dortoir après des heures, n'avez pas fait vous ? »

Harry a pratiquement trébuché du lit, tout le moment tenu le premier rôle à son père, stupéfait. « B-Mais je jure, » il ai chuchoté désespérément, ne souhaitant pas réveiller son père pendant que Pomfrey indiquait, « je n'ai signifié rien, je ne ferais jamais n'importe quoi à lui. J'ai juste dû voir lui, Madame Pomfrey, et… » Il a traîné au loin, des images de la nuit avant de jouer à nouveau dans son esprit… Il… Harry s'était vraiment embarrassé. Oh Dieu.

« Jeune M. Potter, je ne peux pas aider cela. » Pomfrey avait replié les couvertures que Harry avait utilisées ainsi elles ont couvert et ont frappé autour de James comme une coquille de taco mou, et maintenant que le garçon était sur ses pieds, elle a marché en arrière autour du lit et a doucement commencé à conduire Harry vers la porte. « Maintenant, il est presque temps de déjeuner, et-- »

« Attendez, » Harry a insisté, le glissement sous elle a prolongé des bras et sortir de la portée. « Y-vous ne pouvez pas m'inciter à aller, pas maintenant ! Svp, il est mon papa ! Vous ne comprenez pas ! Je juste ai dû le voir, Madame Pomfrey, svp ! »

« Bas C-Calme, enfant ! Vous le réveillerez ! »

« Comment ose I ? ! Il est mon papa… Mon papa… » Il était si simple. Comment ne pourrait-elle pas savoir… ?

Pomfrey a froncé les sourcils, mais s'est arrêté dans ses efforts d'appréhender le jeune homme. Au lieu de cela elle s'est tenue et a regardé penser dur à quelque chose, son atteinte de yeux. Elle a tourné et a regardé James (qui dormait maintenant solidement sous ses couvertures), croisant ses bras comme le faisait elle. (1) alors elle a finalement incliné la tête à elle-même, se tournant vers Harry, ses yeux clignotant légèrement et un sourire formant presque sur ses lèvres. C'était le regard que la plupart des enfants obtiennent quand ils sont sur le point de casser une règle, comme sauter hors de la classe ou rester dehors après des heures. Si tout va bien c'était une bonne chose…

« Revenez plus tard… avant l'heure de dîner. Vous pouvez lui rendre visite alors, bien ? »

Le visage de Harry s'est allumé et une grimace assurément menacée pour dédoubler son visage dans deux. « Merci, Madame Pomfrey, » il a dit excitedly, essayant d'être aussi tranquille que possible et résistant au recommander d'étreindre l'infirmière. « Merci tellement, je n'oubliera jamais ceci, I-- »

« Continuent maintenant, M. Potter, » elle a insisté, essayant de combattre au loin son propre recommander de grimacer, seulement afin d'essayer de regagner son autorité d'air. Mais à la fin elle ne pourrait pas l'aider, un croisement presque satisfaisant de sourire affecté elle pendant qu'elle se tenait fièrement, elle devenir de respiration un peu plus vite comme si elle étaient excited et pleine de l'adrénaline. Elle des yeux miroitaient avec la vie. « Maintenant, au loin avec vous, avant que je change d'avis ! Continuez ! »

Ah, Harry n'a pas eu besoin d'être dit deux fois.

Il a tourné immédiatement vers la porte, jusqu'à ce que Pomfrey ait exigé tranquillement, « oh, M. Potter. Je pense que vous avez laissé ceci. » Elle a donné un morceau plié de tissu argenté. « Je l'ai trouvé sur le plancher. Ce qui est-- »

« ThanksMadamePomfrey-it'snothing-justahandmedown-bye, » il s'est promené au loin à la vitesse d'un pif d'or, saisie le manteau des bras tendus de Pomfrey, et a couru bien dehors la porte sans sembler mauvais.

Pomfrey juste s'est tenu là, regardant très, très confus…

Ni l'un ni l'autre n'ont noté quelque chose les observer…

Il a observé l'infirmière avec l'intérêt minimal.

Il a observé le garçon très étroitement, cependant… Il a observé le garçon parler, observé lui se déplacer. Il a observé Harry partir, observé lui sourire…

Pourquoi font-ils le sourire de personnes…… ?

Très intéressant… Oui…

Rire étouffé…

Rire

Snape a clignoté… Quel était que… ? Un bruit ? Queest-ce que ce pourrait avoir été ? Hmpf, aucune matière maintenant. Elle a été allée. Doit avoir été son imagination, naturellement ; en outre, son coffre rendait toujours sa douleur longue et dure au coup avec. Particulièrement avec… avec… « Fichu. »

Il avait été tranquille. Il avait été patient. Il même été respectueux aux souhaits tacites de quelqu'un qu'il était… moins fanatique… du détail… jusqu'à présent le fléau de son existence même. S.M.… Ah, franchement, Snape a détesté cet homme, mais c'était simplement évident à ce jour. Bien que, amélioriez-le soyez potier de James que le noir de Sirius… Snape avait été assez gentil de rester réellement silencieux en tant que jeune M. Potter décidé pour donner à son long papa perdu une visite de fin de nuit. Les deux avaient réveillé Snape avec tout leur sangloter et hurler et ronfler.

Dégoût. Tout le lui… Ils étaient chanceux il ont fait le wretch.

Snape a refusé de l'admettre à se qu'il avait fait réellement la bonne chose (cependant il aurait aimé casser vers le haut cette petite famille « réunion »)… Que la seule raison il n'a pas fait était parce qu'il a pu avoir senti… juste… une pitié… pour les deux d'entre eux… Pas, naturellement pas ! La pensée même était absurde ! Au moins le garçon était goin avant que Snape se soit réveillé-vers le haut.

Et maintenant il était seul, potier dormant toujours reposant, il semblerait. Madame Pomfrey, la femme de façon exaspérante, était finalement allée faire quelque chose utile et est allée outre de l'effort de la nourriture pour lui. Snape n'avait pas mangé depuis hier, et le corps fatigué et blessé de sien a désespérément exigé un certain sûr de la sustentation (il avait déjà visité le cabinet de lavage d'ahem par lui individu. Aussi douloureux qu'il était, il serait idiot s'il avait besoin de l'aide de Madame Pomfrey avec cela. Il n'était pas certainement cela handicapé !).

Et puis hors du bleu, juste comme il s'étendent tranquillement, caché loin dans un coin lointain de l'infirmerie, était ce bruit encore…

Le rire… quelqu'un riait… Potier ?

James était le seul à gauche dans la chambre. On s'est attendu à ce qu'ils étaient seuls, Pomfrey étaient juste partis, personne d'autre viennent… Le froid de pièce… ainsi… mais n'était pas lui chauffent il y a une seconde… ? Inconsciemment Snape a fermé sa chemise ouverte de nuit et a enroulé ses bras autour de se, au-dessus de l'entaille dans son coffre. Ses dents ont voulu vibrer, mais il a gardé son ensemble de mâchoire.

Le bruit, où était ce bruit ! ? Il venait du lit du potier. Il ne pourrait pas voir le lit du potier, pas d'ici, pas avec les nombreux écrans qui ont entouré le lit de Snape. Il a voulu les atteindre dehors et jeter de côté, mais au mouvement signifierait soumettre bien plus avec ce sentiment de glace, mais il a dû bloquer dehors ce bruit, de façon ou d'autre. Pas, le couvert de ses oreilles ne le faisait aucun bien, et ses yeux ont serré fermé, espérant bloquer dehors au moins de la douleur.

Ce bruit… Quelque chose au sujet de ce bruit était erronée. Tellement très mal. Horrible… Elle était horrible. Quelque chose dans ce bruit, quelque chose qui a induit son coeur pour sauter durement, sa blessure palpiter à nouveau avec douleur ardente comme le coup avait été ouverte déchiré et exposé à la flamme chaude. Arrêtez-la, arrêtez-la, arrêtez-la !

Je-il était froid tellement mortel…

Une main sur son épaule l'a choqué hors de ses pensées, lui faisant le saut et puis gémit pendant que le mouvement causait la grande douleur de sa blessure. Mais ce n'était pas la même douleur qu'il y a une seconde. Snape s'est senti profondément soulagé pour rencontrer une paire de œil bleu familiers derrière des lunettes de demi de lune. Ces yeux ont montré une quantité juste de souci.

« Ma qualité, Severus, êtes-vous se sentant bien ? Vous étiez extrêmement pâle juste il y a un moment. »

Snape a ouvert sa bouche pour répondre, mais pour s'arrêter. Il a rentré le fait qui sans compter qu'un léger sentiment aigre, sa blessure ne palpitait plus impitoyablement. Non seulement que, mais son coeur plus martelait, et lui pourrait plus n'entendre le rire quelque part dans de la chambre… Du potier de James…

Alors il s'est rendu compte qu'il n'avait pas parlé dans toute cette fois, et Dumbledore attendait toujours patiemment lui pour répondre. « Mes excuses, Albus… Je pense que mon esprit doit jouer des tours sur moi. » Il a pris une respiration profonde, étendant sa main gauche doucement au-dessus de sa blessure bandée et de l'autre main à son front. « Je pense que je ne réagis pas bien à ce breuvage magique de sommeil. » Mais le non, celui ne pourrait pas probablement que ce soit. Breuvages magiques de sommeil faisant la cause de telles répercussions, ainsi… Dans ce cas… « Vous avez entendu… Laugher en ce moment ? Une partie du tout ? Est le potier éveillé ? »

Dumbledore a soulevé un sourcil, un geste qui a indiqué qu'il était curieux. « Je n'ai entendu rien, mon garçon, sans compter que l'air et la Madame Pomfrey's marmonnant (« M. Black a se montrer encore ainsi il peut être traité »). Et M. Potter est endormi encore rapide. » Il font un pas de côté tout en poussant l'ouvert des écrans, permettant à Snape une bonne vue du reste de l'infirmerie. Il est parvenu à obtenir un bon aperçu de forme du sommeil du potier de James avant que Dumbledore ait glissé l'écran de nouveau dans l'endroit. « Êtes vous sure que vous êtes bien ? »

« Fin, » il a dit, forçant sa voix pour sortir clair et calme.

« Comment allez vous capot de carénage, » Dumbledore a demandé alors, faisant des gestes vers les bandages légèrement ensanglantés de Snape. « Est il sentiment mieux. »

Snape est parvenu à ne pas grimacer quand il a touché les bandages, inclinant la tête. Il se sentait réellement mieux, mais avec ce qui s'est produit il y a un moment… « Il pique toujours, mais je peux marcher. Je suis sûr je il ai guéri asse'avant la semaine est vers le haut, bien que je pense que Madame Pomfrey peut penser autrement. » Il a ricané un peu quand il a dit ceci. « Vont comment mes cachots ? »

Cette question--et changement évident de sujet--n'a pas semblé tracasser Dumbledore du tout. « Toujours un peu « rugueux » autour du bord, comme on dit, mais de lui n'est rien par peu du balayage et peu de solutions de nettoyage ne fixeront pas. »

Drôle. Très drôle.

Severus s'est agité, incapable de s'aider. Il y a beaucoup de choses irremplaçables dans les laboratoires, certains dont être-étaient, ses possessions de personne. Et il a eu considérer encore les dommages avec ses propres yeux. « Ce n'est aucune matière riante. »

« Non, il n'est pas. » Snape n'était pas sûr ce qui était il dans la tonalité de Dumbledore qui l'a rendu impossible à la réponse, mais l'homme plus âgé a continué de toute façon. « Severus… Je veux que vous me disiez quelque chose, honnêtement. Ce qui vous indiquerait nous devrions nous inquiéter pour plus ? »

Snape n'était pas entièrement sûr quel Dumbledore signifié, mais lui n'a sûrement eu rien à faire avec les cachots. « Comment vous voulez dire ? »

Dumbledore a indiqué simplement, « qui vous pensent l'ennemi sont, au moment même ? »

Il a dû penser cela pour un instant, mais d'autre part la réponse est devenue péniblement évidente (douleur, étant le mot clé). Pas, l'ennemi n'était pas Voldemort, non cette fois, il ne pourrait pas être. Il ne s'était jamais attendu à ce qu'aucune de ceci se produise, après tous. Il n'avait toujours même dit aucun de ses mangeurs de la mort ce qui arrivent vraiment au potier de James qui la nuit… Mais Snape a eu une idée de qui leur ennemi était maintenant…

« Je pense I--nous (grimace), rapporté quelque chose dangereuse à Hogwarts. Quelque chose qui ne devrait pas être ici. »

Dumbledore a incliné la tête son arrangement. « Et vous êtes inquiété qu'il y ait ennui si nous ne découvrons pas ce qu'est il. Vous le pensez a quelque chose à ainsi avec M. Potter ? »

Snape n'a pas pu aider mais se sentir affaibli ; l'un ou l'autre en raison de la capacité de Dumbledore de savoir exactement ce qui pensée de sien (au lequel à ce jour on l'a assez employé, vraiment), le fait que ce sujet n'a pas semblé tracasser ou inquiéter l'homme du tout, ou la mention du potier de James. « Je ne suis pas certain, mais je ne pense pas que le potier est tout qu'il semble être. J'ai toujours évalué le fait que je suis mon instinct, et il m'indique maintenant pour ne pas faire confiance à cet homme. »

Dumbledore l'a regardé pour un instant maintenant… et alors dit, « je peux voir que ceci n'a rien à faire avec votre différence avec M. Potter… Voldemort n'a jamais indiqué aucun de ses disciples ce qu'il allant faire, a fait il ? »

« Jamais, » Snape a incliné la tête, « et il seul est allé à la cavité de Godric cette nuit… » Ses yeux ont déménagé au rideau, dans la direction du lit de James. Il avait toujours un doute… « Est l'homme sanglant encore endormi ? » « Ou est il juste trucage, me faisant le ressembler à un imbécile ? »

« L'homme est endormi. » Il a souligné le mot « homme » pour quelque raison, et Snape n'a pas voulu savoir ce que cela a impliqué. Dumbledore a souri, tapant le côté de son nez et chuchotant humblement, « mais il pourrait encore écouter, vous savez. Il y a toujours quelqu'un qui écoute dans Hogwarts. Même les murs ont des oreilles. »

Snape ne pourrait pas très bien présenter ses observations sur celui-là, n'est-ce pas ? « Ce qui sont vous disant, Albus ? »

Dumbledore n'a indiqué rien, mais il a regardé fixement chez Snape pendant un moment. En conclusion, un petit sourire est apparu sur son visage et il a atteint vers le haut d'une main pour frotter sa barbe. Quel était-il pensant… ? « Vous réalisez… » Dumbledore a laissé le coup de phrase, mais néanmoins, il y avait un reflet assurément malfaisant dans ses yeux…

Ceci a pu seulement rendre Snape soupçonneux plutôt qu'impatient. De que parlait-il maintenant ! ? « Réalisez. ? Ce qui ? » Pas de réponse. « Bon ? Est-ce qu'et continue me dit, déjà ? Ce qui devrait je réaliser ? ? »

« Ce vous pouvez plus n'appeler Harry et James « M. Potter » tandis qu'ils sont tous deux dans la même salle. Vous devez les appeler par un autre titre. »

Snape a pâli jusqu'à ce qu'il ait presque semblé vert, horrifié par cette idée. « Vous ne pouvez pas honnêtement m'attendre à--bien, je peux penser à quelques bons noms pour appeler M. Potter là-bas ! » Peut-être Snape s'est attendu à ce que Dumbledore change le sujet à un certain point, mais pas comme ceci !

« Vraiment, essayez d'être plus aimable avec le pauvre homme, Severus. »

« Qui demande une autre faveur impossible, Albus. Vous avez promis, jamais encore. »

Dumbledore a juste secoué sa tête et s'est tenu, souriant. « Mais au moins, essayez. »

Et alors il a tourné et a été allé…

L'homme foncé était drôle. Il l'avait entendu riant. Alors le vieil homme est venu, et ils ont commencé parler, parlant de lui.

Mais il a entendu chaque mot, il écoutait toujours. Il vraiment n'a pas aimé ce vieil homme, ce vieil homme était fouineur. Futé.

Quelque chose a dû être faite.

Quelque chose se produirait… bientôt…

Peu un plus tard ce jour…

Hermione a été certainement choqué par tous les événements récents… Regardant plus de Harry et Ron maintenant, elle pourrait à peine croire le tout qu'eu produisez-vous dans l'heure passée…

Ron était venu à elle dans la bibliothèque qui le matin, paniqué ce Harry n'était pas dans son lit quand il s'est réveillé dans le dortoir de garçons. Ou cours, elle ne pourrait pas blâmer Ron d'être inquiété, Harry était son meilleur ami ; mais il était à peine quelque chose obtenir exaspéré ou le plan a paniqué plus de.

/« Ne vous inquiétez pas, » Hermione a assuré le Weasley éperdu, forçant un sourire (elle était réellement s'est inquiétée de Harry aussi bien, elle s'est occupée de Harry beaucoup, trop… Mais quelqu'un a dû maintenir une tête fraîche dans une telle situation). « Il probablement est juste allé pour voir son père, après tous ! Il a dit qu'il a voulu à, et il ne puisse pas attendre autour nous… »/

Quoi qu'il en soit, Harry a révélé plus tard. Il est venu courant dans la bibliothèque, où Ron écoutait dans l'ennui fin pendant que Hermione se promenait outre des cinq vient des utilisations communes d'écorce d'érable dans le breuvage magique faisant et l'alphabet latin son projet de charmes. Et il a eu un conte à le dire ! Mais, naturellement, il n'était pas quelque chose que vous pouvez parler dans une voix tranquille, pas même si vous avez essayé. La Madame le prince était devenue fâchée par la rupture bruyante de l'atmosphère normalement paisible et studieuse, exigeant qu'ils apaisent vers le bas ; Ainsi ils ont écarté leur conversation à une position debout parmi les étagères dans loin de la bibliothèque, où personne ne pourraient entendre.

« Vous êtes bloody bon me badinant, » Ron avez entaillé. « Me badinant ! »

« Jamais, » Harry a dit excitedly, shacking sa tête d'une manière extravagante, et grimace enthousiaste plâtrée au-dessus de son visage. « C'est tout vrai ! »

« Vraiment, » Hermione a demandé, se penchant vers lui, ses yeux au loin. « Vraiment, Harry ! ? »

« Vraiment, vraiment ! »

Elle a haleté légèrement, plaçant une main à sa joue avec son accrocher de bouche ouvert dans la crainte. « Mon mot… C'est étonnant ! Je peux à peine le croire ! Je suis si heureux pour vous ! » Elle lui avait donné une étreinte rapide, puis.

« Bien, j'ai su que vous couliez pour faire quelque chose osant, » Ron avez ri, giflant Harry par espièglerie sur le dos, faisant presque trébucher son ami en avant. « En tant que toujours ! Vous m'avez obtenu tout inquiété quand vous n'étiez pas là ce matin ! Laissez à une note la fois prochaine ! » Ron a ri encore. « Mais vous l'avez faite, Harry, vous gazon idiot ! Vous l'avez vraiment fait ! »

Ils ont tout ri à ceci.

Juste après ces événements, ils étaient descendus aux cuisines pour recevoir un déjeuner en retard. Dobbey avait été davantage que le disposé pour les leur donner quelque chose a voulu, et Harry et Ron ont mangé presque tout en vue. Hermione elle-même a mangé très légèrement, tout le moment avec son nez coincé dans son livre.

Enfin ils étaient partis et se dirigeaient de nouveau à la salle commune de Gryffindor de causer un peu davantage. C'était extérieur trop frais lointain à parler à l'heure actuelle, et il était susceptible de pleuvoir, encore. Leurs marchepieds fait écho faiblement dans les vestibules vides.

« Bon aimable, » elle a murmuré, secouant sa tête à eux a marché le long. « J'ai sincèrement pensé que vous deux caleriez à la mort. Je ne peux pas voir comment toute personne peut manger cela rapidement. »

« J'ai oublié comme j'affamé étais, » Harry ai dit d'un air fatigué, tapotant son estomac tendrement. « J'ai à peine mangé n'importe quoi depuis hier. »

« Ni l'un ni l'autre le 'VE I, » Ron n'ont sifflé dedans. « J'étais affamé ! »

Hermione a roulé ses yeux, mais a souri au fait que Harry se sentait mieux, et Ron était… Bien, Ron était Ron ! « Je suppose qui est bonne assez raison de bourrer vos visages comme les sauvages sauvages… »

« Votre brutal parfois, 'Mione, vous savez cela ? »

Harry a ri, secouant sa tête. « Je pense que j'ai presque atteint ma limite… Je ne pourrais pas manger une autre morsure, ou je pourrais vraiment éclater. »

Hermione a soupiré fort, regardant de nouveau à son livre pendant qu'elle marchait. « Naturellement ce ne devrait pas être mon souci si vos estomacs les explorent, mais je vous propose promenade il au loin rapidement. Vous avez quelque part pour avoir lieu dans une heure. »

« Non, je peux à peine garder mon esprit outre de celui… »

Ron a donné à Harry un regard inquiété, tapotant le garçon sur l'épaule. « Comment pouvez-vous oublier n'importe quoi de pareil, dans l'intéret du ciel ! ? Ceci va probablement être la plus grande chose à arriver jamais à vous ! Jamais ! »

« Bon… Je ne sais pas. Elle est comme la partie la plus dure est terminée, savez-vous ? J'ai rencontré mon papa et tout, mais… » Harry a soupiré, slouching en avant pendant qu'il marchait. « Mais je devine que j'essayais d'obtenir mon esprit outre de lui pendant quelques minutes, ainsi je ne serai pas trop nerveux pour plus tard. »

Hermione a incliné la tête son arrangement, ses yeux scrutant au-dessus du bord supérieur de son livre pensivement. « C'est une grande étape, n'est-ce pas? »

« Elle n'est pas comme il va une deuxième date, Hermione, » Ron a commenté sèchement, qui l'a gagné qu'une lumière claquent sur l'épaule. « Hé ! »

« Vous vous pensez êtes prêt, » elle avez incité.

Harry a recherché soit rassemblement ses yeux. « II ne savent pas ! Je ne veux pas vraiment seul aller… »

« Pourquoi nous n'allons pas avec vous, » Ron a offert sérieusement. « Je veux dire, votre papa voudrais rencontrer vos amis, pas il ? Je veux dire, je sais que je voudrais rencontrer lui et tout. »

Harry s'est redressé tout en venant à une halte, grimaçant. « Hé, c'est brillant ! Il serait grand si vous deux pourriez venir avec moi ! » Harry s'est tourné vers elle, grimaçant brillamment. « Que dites-vous, Hermione ? Vous venez ? »

Hermione a maintenant recherché de son livre, fronçant les sourcils un peu. Naturellement, rencontrer le père de Harry serait une occasion merveilleuse, mais c'était après tout une question personnelle. Une chose de famille. Une chose terrible elle serait pour que quelqu'un s'impose, mais si c'était le souhait de Harry… « Je suppose que nous pourrions aller avec vous… »

Juste alors ils avaient arrondi le coin au gros trou de portail de Madame. À leur surprise, ils ont trouvé un groupe énorme de Gryffindors entrer dans juste la salle commune. Le temps de déjeuner était terminé, évidemment. Cela a signifié que la salle commune était interdit s'ils voulaient avoir n'importe quels entretiens privés. Vous avez dû faire attention dans un endroit comme Hogwarts ; il y avait une oreille écoutant autour toujours de faisant le coin…

Ou un certain monstre mal élevé.

Hermione était sur le point de recommander qu'ils se dirigent vers le bas à la bibliothèque encore, pour y arriver s'occupe au loin de tout en faisant de la recherche supplémentaire sur leurs projets de charmes, quand soudainement Neville est venu se précipitant vers eux de la foule.

Neville a arrêté deux pouces nus de se heurter Ron, envoyant le chef rouge effrayé tournoyant vers l'arrière. Harry a à la hâte saisi Ron par le collier pour le garder de la chute, et une fois qu'il s'était affermi a-t-il pleuré, « Neville ! ? Que continuez-vous environ ! ? Êtes vous essayant de me donner une crise cardiaque-- »

« Professeur Lupin ! Il est de retour ! »

« Bon naturellement nous savons cela, » Hermione avons soupiré, secouant sa tête. « Honnêtement. Neville, et son manque de mémoire. » « Nous l'avons vu juste hier, nous rappelons ? Nous tous avons fait. »

Le « non, non, » Neville a insisté, secouant sa tête d'une manière extravagante. « Vous ne comprenez pas. Il n'est pas simplement arrière, il va enseigner encore ! »

Silence choqué…

Maintenant, c'était inattendu.

« Percy ? » Il a tapé dans la porte de chambre à coucher pendant qu'il venait à elle, attendant une réponse. « Percy, sont vous là ? »

Pas de réponse…

Bien, il était le privilège d'un père de savoir exactement ce qui était dessus assorti à ses enfants, ainsi…

Avec précaution, il a tourné la poignée de porte et a lancé la porte ouverte sans entrer dans la salle. Naturellement, il devrait être prudent après que tous les différents pièges qu'il s'était déclenchés tout en essayant d'entrer dans la pièce de Fred et de George… Un « piège de la mort » régulier, cela était !

Mais ouvert balancé par porte de Percy sans à-coup et silencieusement, sans grincer même aux haies (Percy a probablement eu l'esprit pour les huiler…). La salle était demi de lumière par un rideau partiellement ouvert à la fenêtre, et toutes autres lampes avaient été enflées dehors. M. Weasley pourrait voir que le bureau de Percy était un désordre, avec les lettres jetées environ partout et l'encre renversée, une cannette se tenant tordu à côté de son puits d'encre. Mais parmi le chaos a été placé un enjeu des lettres ordonnées et rangées, tout prêt à être envoyé. Hermes, le hibou de Percy, été perché sur le bord de bureau, était rapidement endormi avec sa tête rempliée sous son aile, son coffre plumeux se levant et tombant doucement.

Alors il y avait de Percy, s'étendant de son côté, faisant face au mur sur son lit. Percy doit avoir donné un coup de pied au loin sa couverture tandis qu'il dormait, parce que la moitié de elle s'étendent dans un tas sur le plancher, et l'autre moitié semblée prête à la joindre. Il a utilisé ses mains pour bercer sa propre tête pendant qu'il dormait, et M. Weasley pourrait voir que ses figures ont eu les taches à l'encre noire partout elles.

Décidant de ne pas envahir l'intimité de Percy plus que lui a déjà eu, M. Weasley a résisté au recommander de voir à qui les lettres ont été adressées (« cependant l'aquarium populaire a ce soupçon de vol que Percy voyait une fille… Une fille ! Honnêtement ! Aquarium populaire, vous pouvez être si idiot parfois ! ").

Au lieu de cela il a recueilli vers le haut la couverture de Percy, obtenant un abattage impair de nostalgie comme le faisait cela il. Il avait l'habitude de remplier Percy dans chaque nuit où il était petit… Jusqu'à ce qu'il ait tourné dix, et puis lui était déjà sur ses propres !

M. Weasley a ri sous cape, secouant sa tête. Pas, Percy ne changerait jamais. Si tout va bien. Il a seulement souhaité qu'il pourrait donner ses fils davantage qu'ils a eu… Mais naturellement ils pourraient ne jamais se permettre le--

« Père… ? »

M. Weasley a gelé, étonné. « Le fils désolé, a fait je vous réveillent ? »

« Il est correct. »

« J'ai juste voulu te dire que votre mère et moi ont juste reçu une lettre de Bill. »

Percy a roulé au-dessus d'un peu plus de sorte qu'il ait regardé son père dans l'oeil. Percy a semblé toujours épuisé. Alors Percy a roulé de nouveau au visage le mur encore, laissant dehors un soupir profond et respiratoire. « Est il jaillissent ? »

« Naturellement. Il sait ce qui s'est produit, et va (si tout va bien) soit ici par demain… Ils ont découvert un nouveau tombeau, et avec la chance il aura la malédiction cassée bientôt. »

« Toutes mamans cette fois ? »

« Seulement un, mais à n'était pas ce peu amicale, elle semble… »

« Je suis sûr qu'il était terriblement déçu, des disparus dehors sur une autre « cicatrice de bataille »… Est le sentiment de Charlie mieux ? »

M. Weasley a soupiré, rayant le dos de sa tête. « Bien, votre mère a un certain ennui avec lui, réellement. Charlie été Apparating à la cuisine pour obtenir des choses ; casse-croûte et boissons que votre mère considérerait fortement malsains. » Rire étouffé. « Il obtient juste votre mère d'une manière affreuse frustrée, et elle pense à le fondre réellement… »

Percy a ri réellement quand il a entendu tout ceci. « Charlie n'écoutera jamais la raison. N'a jamais, pas jamais, cette sorte de chose. Que l'autre sorte de personne fonctionnerait-elle avec des dragons ? De telles choses sales et dangereuses. »

M. Weasley a incliné la tête à ceci (bien qu'il était peu probable que Percy même noté), incertain de la façon répondre. Il n'allait pas être d'accord très bien avec Percy, après tout, qui insulterait Charlie… D'une part, il pourrait néanmoins clairement se rappeler le jour Charlie les avait informés tous de son choix de porteur… M. Weasley avait été moins que heureux alors… Ainsi, pensant ceci, M. Weasley a décidé de ne dire rien…

Silence…

« … Si I, UM, aller maintenant ? »

« Vous savez que je le déteste quand les gens viennent dans que ma chambre, » Percy a énoncé simplement. « Svp, ne le faites pas jamais encore. »

M. Weasley a ri, souriant affectueusement. « Je pas, fils. » Il a rapidement veillé que la couverture de Percy était dans l'ordre approprié avant qu'il ait tourné pour aller. M. Weasley n'a pas su comment Percy réagirait à un tel traitement à son âge, mais au moment où il n'a pas importé. Quand il était de finition il s'est rapidement dirigé à la porte ouverte. « Je ne la ferai pas encore, désolé… »

« Mercis, père. »

« Aucun problème, Percy. »

« Non, je veux dire la couverture. Elle obtenait un peu frais, mais je n'ai pas voulu me lever juste pourtant… »

« Oh… » Il a maintenant souri chaudement. « Ou cours… Sommeil bien, Percy. » M. Weasley a tranquillement fermé la porte à la chambre à coucher de Percy, et pendant qu'il tournait descendu le vestibule, il pourrait sentir un petit ressort dans son étape.

C'était la joie d'être un parent…

Vérifier maintenant Charlie…

« Vous le pensez serez là, » Harry a demandé.

« Je penserais ainsi, » Hermione a indiqué. « Professeur Lupin resterait dans la même salle avant laquelle il a fait, pas il ? Le même un professeur Dorrey a employé cette année ? Il devrait être ici ! »

Ron snickered. « Ouais, particulièrement avec ce poulet Dorrey allé. Je jure, il m'évanouirais à la vue d'un pixy ! Il est plus mauvais que Quirrell était jamais, je suis ya de tellin ! »

« Qui n'est pas très poli. »

« Bien, il n'est ici plus, n'est-ce pas ? Ce qui est de s'inquiéter pour ? »

Le « lupin, » Harry a appelé, frappant contre la porte qui avait été l'entrée aux quarts de professeur Lupin's l'année dernière (et avait été également professeur Robbie Dorrey's en date de cette année). « Lupin, il est moi, Harry ! » Frustrant, Harry a essayé la poignée de porte. « A fermé à clef… Fait ce moyen qu'il n'est pas ici ? »

Hermione a gesticulé. « Il pourrait signifier cela… » Alors elle a bien exigé, « professeur Lupin ? »

« Professeur Lupin, » Ron a hurlé, frappant sur la porte. « Hé, ouvrez ! »

Faites taire… Et il n'y avait aucune lumière venant de dessous la porte.

« … Je devine le sien pas ici… »

Mais les trois n'ont pas su qu'il y avait quelqu'un dans la chambre.

Cela a pris un moment de l'attente avant que le frappement ait cessé. Si tout va bien les trois avaient finalement choisi d'abandonner et partir. Il n'a pas voulu que n'importe qui sût où il était, même ces trois. Pas encore. Sirius a dû être seul pour contempler ses propres pensées… Mémoires…

Son esprit retournant plus tôt à ce matin…

/Flashback/

Il lui a fait le malade… Ce qui était arrivé à James. Il l'a vu toute--expérimenté est tout--par le songeur. Sirius avait prévu le songeur pour être un grand beaucoup de choses mais pas aussi… ainsi…

Graphique…

Le métal « Temps-Turner » (ou celui qui il ait vraiment été) que ce lupin avait trouvé autour d'une configuration plus tôt du cou de James sur un petit plateau avant elles. Il n'a montré aucun éclat métallique, car il a été apparemment troublé, rayé et couvert en saleté, le métal légèrement bosselé et plié hors de la forme. Le verre du sablier a été brisé, et quelque sable ou contenu le dispositif se soit à l'origine tenu était long allé, le laissant vide et sanctifie, comme si toutes les traces de magie avaient été sucées hors de lui. Seulement la chaîne surdimensionnée a semblé être dans la bonne forme, mise en commun ensemble sur le plateau.

Temps-Turner était habituellement un beau, un objet qui était élégant dans l'aspect et qui a tenu la grande puissance. Un article vraiment digne du titre, « charme ». Mais ceci… Cette chose n'était aucun charme.

C'était un cruse.

« Il n'y a aucune raison de l'avoir, » lupin a raisonné contre une voix plus tôt de Sirius pour détruire l'objet, se penchant en avant dans sa chaise pour observer l'objet plus étroit. « Je l'ai manipulé moi-même, et il ne sert clairement plus de menace. À n'importe lequel d'entre nous, je suis sûr. »

« Le ministère verra clairement que ceci en tant que vraie évidence, » Dumbledore a convenu, se tenant le premier rôle à l'objet pensivement. « Je mentionnerai ceci à Cornelius quand je lui parle. » Il a clairement vu le doute dans l'oeil de Sirius, et supplémentaire, « ils sauront s'il a été trifouillé, Sirius. Ceci aussi bien que le songeur. N'ayez aucune crainte. »

Sirius n'a pas pu aider mais ricaner. « Ou cours j'ai droit à être prudent, Dumbledore, » il a dit méprisant. « J'ai vu comment le ministère fonctionne--comment l'esprit du fondant fonctionne. » Naturellement il avait vu. Sirius avait été jeté dans Azkaban pendant la vie sans épreuve… « Vous l'avez vu vous-même, vous ne pouvez pas nier cela. Je choisis de ne prendre aucun risque quand la vie de James est sur la ligne. »

« Honnêtement, » le lupin a indiqué, « je conviens complètement. Nous ne pouvons risquer rien qui arrive à James. Pas encore. »

Dumbledore a incliné la tête d'accord aux deux commentaires. « Naturellement les motifs du ministre sont autrement, il ne permettront pas quelque chose aussi importante que ce glissez loin. Le ministère doit être impliqué, ou nous risquons tout--tout que nous avons travaillé pour depuis l'année dernière. Et si le ministre fait a choisi étudient… Nous risquons tous ce que Hagrid et Arthur Weasley ont faits. » Il a secoué sa tête, courant une main en bas de sa barbe, effleurant dehors un petit morceau de brouillé il a trouvé. « Et le ministre pourrait couvrir ceci vers le haut même si il a voulu à. Il y a un trop grand nombre impliqués, trop de témoins ; Muggle et magicien de même… »

« Mais nous ne pouvons pas circuler et continuer de prendre des décisions de la vie pour lui comme ceci, particulièrement quand il vient au ministère. Et que diriez-vous de Harry ?

« En date de maintenant, » Dumbledore expliquent soigneusement, « je ne suis pas entièrement sûr que James pourra à. Au moins pour maintenant, je vous assure. L'homme a été à travers tellement dans une telle courte période… Son supplice a continué trop longtemps maintenant, et son rétablissement peut ne pas être rapide. Et Harry est aussi bien accablé avec ceci, ayant un père tellement soudainement… »

Sirius a reniflé plutôt grossièrement. « Ainsi vous décidez d'introduire le ministère dans ceci ? »

« Oui, » Dumbledore a énoncé, cependant avec un conseil de doute (ou était que dégoût… ?), « j'ai fait. Comme j'ai dit avant, il n'est pas sage de cacher de telles choses du ministère. Aussi décentré et borné que la tête de ministère et de coup peut être, elles ne sont pas entièrement stupides, et elles deviendront soupçonneuses, décident que je suis jusqu'à quelque chose. Je ne peux pas permettre à cette situation de devenir plus tout remarquable qu'elle est. » Ses yeux ont clignoté. « Il m'a déjà expressément interdit de l'interférence toutes les affaires de ministère, et je suis allé trop loin quand j'ai permis aux sortilèges d'écoles d'être manoeuvrés pour permettre l'utilisation du Portkey… S'il découvre notre participation ici, ce sera toute la fin de lui… »

Il y avait un long, inconfortable fait une pause avant que Sirius ait parlé abruptement,

« Et que diriez-vous de Snape ! ? James aura des mémoires de Snape dans le souterrain ! »

« Je n'ai vu aucune mémoire claire de Severus, ni aucune de vous, dans le songeur. Son esprit a été très opacifié, vous se rappellent ? »

C'était vrai. Toutes les mémoires James ont eu vers le haut jusqu'à ce que le point de laisser Ollivander dans la ruelle de Diagon aient été assez clair (fâcheusement clair, réellement), mais forment que le point là était allumé… Blancheur. Néant. Elles avaient choisi de ne pas extraire l'un des d'autres mémoires d'arrivée de James à Hogwarts et là-bas, ces événements là se rendaient bien compte de.

Clairement, ce mystère devenait de plus en plus compliqué pendant qu'ils allaient le long.

Le lupin était celui à demander, « pourquoi ne pourrions-nous voir rien ? James ne jugeait aucune mémoire arrière de nous, pourquoi il tout se fanerait et brouillerait d'une telle manière ? »

« Ce sera qu'il a été de façon ou d'autre frappé d'incapacité alors, » Dumbledore supposé a dit simplement. « Et James peut ne pas posséder des mémoires claires des événements qui ont eu lieu. Dans la mesure où ils savent, il avait aveuglément recherché jusqu'à ce que soyez soit venu sur Hogwarts. Il n'est rien à s'inquiéter pour, je pensent. »

Pas, il a dû y avoir quelque chose s'inquiéter pour. Sirius a su que James s'est rappelé tout, et il également a donné ses mémoires librement. Ainsi pourquoi ne pourraient pas ils le voir dans le songeur… Il y avait plus à lui que cela… Dumbledore l'a su, il juste n'a voulu dire rien. Mais il ne le ferait pas aucun bon d'accuser Dumbledore de n'importe quoi… Il n'est pas sage que n'importe qui croise Albus Dumbledore. Pas même légèrement. Il y avait des raisons pour lesquelles Voldemort a craint cet homme. Il a su tellement…

« Mais j'ai pensé que je devrais évoquer un autre sujet, » Dumbledore a indiqué après un moment, il modifient la tonalité, si l'on peut dire, devenir bien plus sérieux. « Je sais que beaucoup s'est produit entre vous tout, mais je dois demander que vous faites confiance à Severus. Je comprends toute la tension entre vous maintenant avec James, mais avec ce qui vous toute la part maintenant-- »

Sirius ne pourrait pas prendre ceci, et guêtre, « nous ne partageons rien, Albus. Rien. »

« Vous devez comprendre qu'il a mis est la vie en danger, » Dumbledore a indiqué, presque en tant que brusquement. « Svp, considérez tous ce que il a faits pour James. Pour vous. » Sirius n'a indiqué rien en ce moment, ainsi il a continué, « j'ai sans doute dans mon esprit que Voldemort sera soupçonneux. »

« Nous ne pouvons pas être que Severus a correctement effacé ses mémoires, » lupin sûr supplémentaire. « Et nous savons qu'il n'a pas été attrapé. Il doit s'être réveillé et Apparated devant le ministère a croisé son chemin. »

« Qui est un dilemme, » Dumbledore a marmonné pensivement. « Lucius saura le regard de doute dans celui, si Voldemort ne le punit pas d'abord… »

« Albus, ce qui s'il vient ici pour rechercher Severus… ? » Un frisson l'a visiblement ruiné par son corps comme une certaine sorte de tremblement violent. « Si seigneur Voldemort découvre qu'il est un traître, nous ne pourrions pas pouvoir le protéger quand ils… » Il a traîné au loin, ne voulant évidemment pas penser à cette possibilité.

Évidemment, Sirius a pu penser cela très facilement. « Ils peuvent venir pour tous soin d'I… »

Le lupin regardé à lui d'un ton de prière, dire, « là n'est aucune raison de devenir fâché, Sirius. Vous savez comme moi fais ce qui est produit-- »

« Remus, » Sirius a grogné, « je parfaitement connu puits ce qui est produit, ou le manque là de. Et aucune de lui ne changera d'avis. Je refuse… Je refuse ! ! » Sien a fait de forts mouvements avec ses bras avec chaque expression, son temps de sentiment de corps avec colère.

« Vous ne pouvez pas changer ce qui est dans le passé, » Dumbledore avez dit calmement.

« Puis comment expliquez-vous James ! ? Sa mort a été parlée, pourquoi pas n'importe quoi de pareil ! ? »

« Elle est différente et vous la savez, » Remus avez insisté.

Sirius a continué comme si il n'avait pas entendu le lupin du tout. Des « liens peuvent être cassés, je suis sûrs-- »

« C'est magique pour ne pas être trifouillé, » Dumbledore a indiqué obscurément. « Il ne serait pas sage de vous de ne pas essayer, Sirius. Aucun de vous ne peut le changer. Vous juste devez vivre avec lui-- »

« Je ne veux pas vivre avec lui ! ! »

Le lupin s'est presque tenu de sa chaise, montrant des signes d'impatience. « Sirius, écoutent Dumbledore-- »

« Remus », il a dit encore, plus fort et plus dur qu'il a prévu, et il s'est même effrayé dans un silence momentané. Voyant le regard étonné sur le visage du lupin, Sirius a continué svp une tonalité plus douce et presque d'excuse, « , Remus, m'a laissé manipuler ceci. » Il a ignoré ce regard d'ennui qui a croisé le visage du lupin et s'est tourné vers Dumbledore. « Albus, je ne m'attends pas à ce que vous comprenniez ceci-- »

« Et j'espère que vous vous permettrez de comprendre ceci, M. Black… »

Le graveness tranquille et fin dans la tonalité de l'homme antique était ce qui la rupture de la mâchoire de Sirius fait fermer immédiatement. Sirius n'était pas un prennent de telles choses de n'importe qui, son trempe rejetterait le plus souvent une telle occurrence, mais Albus Dumbledore était quelqu'un que personne ne devraient jamais croiser…

Après que les moments fassent une pause, Dumbledore a continué lentement, soigneusement,

« … En de telles fois des crises, vous ne pouvez pas se permettre de laisser vos propres différences vous détruire. Et je vous assure, elles volonté par la suite, mes garçons… »

Retour en arrière de /End

« Oh Dieu… » Sirius a couvert son visage de ses mains. « Albus, pourquoi ? Pourquoi nous… ? Pourquoi James… ? »

« Pourquoi Snape ? »

Sirius a soupiré dans ses mains, gémissant tristement, « étaient tout condamné… »

Snape…

Pourquoi… ?

James a soupiré contently pendant qu'il dérivait lentement de nouveau à la terre de l'éveillé. Il avait été si fatigué, mais il s'est senti meilleur maintenant. Chaud et confortable, et lui ne s'est pas rappelé de rêver. Tout le meilleur. Il s'est senti… heureux…

ACCIDENT ! !

James était vers le haut dans un instantané, se rendant compte très du bruit des douzaines d'articles frappant le plancher. Très fort. En fait, il se produisent tellement soudainement et inopinément cela il lui a presque donné une crise cardiaque.

« Oh, lambinez, » une voix murmurée doucement, en retentissant très déçu.

« Professeur Lupin ! Que faites-vous ? Je t'ai dit le coffret au-dessus de celui-là, pas au-dessous de lui. »

Il y avait une réponse babillée, « très désolé--Je nettoierai cela tout de suite. » Un rire étouffé nerveux. « Ne devrait pas le 'VE tiré qu'un dehors premier, si I ? »

Se reposant vers le haut, James a scruté somnolent plus d'au côté de la salle, où une forme brun-revêtue d'une robe trouble a été blottie plus de, brouillant pour rassembler quelques articles dispersés du plancher. Une autre figure, vraisemblablement Madame Pomfrey, a apparu indistinctement au-dessus de lui et shooing l'à l'écart avec ses mains.

James a atteint à coté pour ses verres sur la table (où il les avait placés la nuit avant) juste comme lupin recherchait. L'homme a rougi, souriant timidement. « Heu, bonsoir, James. »

« Hé, Remus… »

Le lupin a eu ce que ressemblé à une sacoche brune de courroie a accroché plus d'une épaule. Il a saisi quelques uns des articles du plancher et les a bourrés dans le sac rapidement avant de se dépêcher pour aider Pomfrey avec le nettoyage. « Heeh, 'accès désolé cela. J'ai vraiment pensé que je pourrais faire ceci tranquillement… »

« Apparemment pas, » Pomfrey a énoncé doux, secouant sa tête à lui. « Continuent maintenant, le professeur, je peut traiter ceci. Ah, et M. Potter. Je penserais que vous auriez terriblement faim à ce jour ? »

En fait James s'est senti affamé… Très affamé, en fait. « Oui, je suis suis… Merci. »

« Pourquoi je ne t'obtiens pas quelque chose alors ? » Elle a placé le bout des articles dans leurs étagères respectées, se tournant vers lui un sourire gai d'étranglement. « Quelque chose en particulier ? » Quand James n'a secoué sa tête « non » il a donné un d'excuse sourient. « J'irai vois ce qu'elles ont dans les cuisines, alors. Je pense que vous êtes assez bon pour manger de la nourriture pleine au moins. »

« Oh, c'est une pensée de consolation… »

Avant qu'elle soit partie, Madame Pomfrey a tiré le lupin un regard qui a indiqué que « ne touchez rien tandis que je suis allé, et immédiatement elle a été allée. Mais James à peine noté. Il a été trop préoccupé avec un autre fait, un qui est venu à lui vite.

Harry.

James a avalé, ses yeux recherchant impatiemment autour de la salle ce visage de sourire familier. Il s'est juste produit à lui que Harry a été allé. Ou même plus au point, ce Harry avaient été là, avec lui…

Oh MERLIN, il ne devrait pas devenir fou encore… Les hallucinations étaient la dernière chose qu'il a eue besoin.

James a avalé encore, jetant un coup d'oeil jusqu'au lupin de regard l'oeil. L'homme plus âgé a regardé un peu confus, un fantôme d'un sourire apparaissant sur ses lèvres. « Pourquoi vous regardez si agité, James ? »

« Heu… UM, j'ai pensé… que Harry a eu… »

« Oh, cela. » Le lupin a laissé dehors un soupir de soulagement fort. « J'ai pensé que c'était autre chose peut-être… Madame Pomfrey shooed juste l'outre plus tôt de ce matin, et ils n'ont pas voulu vous réveiller du tout. Elle m'a dit à son sujet quand j'ai monté ici et tous. »

« W-Ce qui ! ? » Harry était ici ! ? Il était parti ! ? Il a eu… Ah, enfer sanglant, il avait agi comme une tête complète de dunder !

« James ? Êtes-vous bien ? Vous êtes juste devenu un peu rincé… Êtes vous ne se sentant pas bien encore ? »

James a secoué sa tête, la dégageant. « Je--ooh, je ne le crois pas… Je veux dire… » Non… Pas, il ne devrait pas être si heureux. Le lis n'est pas ici pour partager avec le moment avec lui. Pour partager tout moment toujours encore. Et soudainement il s'est senti comme par la situation entière a eu le goin de lumineux à morne.

Le lupin avait pris un siège à côté de lui. Le même siège James avait trouvé Harry la nuit avant, son chef de rougissement se reposant sur ses bras… « Vous avez regardé si gai il y a un moment, » le lupin a indiqué, « mais maintenant vous semblez déprimé. Ce qui est erroné ? »

James a noté que quelques chutes troublaient toujours son visage d'amis, et l'épuisement était encore évident dans ses yeux (bien que même le lupin d'école semblerait éternellement fatigué). Il a connu parfaitement le puits qu'il était en raison de lui. Il était probablement toujours défectuosité en raison de lui… « Je… Je n'estime pas que j'ai le droit d'être heureux… Tout ce qui est produit, et tous ce que j'ai faits… »

« Avancent maintenant, James, vous doit se permettre d'être heureux. »

James a pensé à ceci, et s'est finalement permis une grimace. « Oui, » il a dit, cependant avec un léger manque d'ardeur, « je devrait se permettre au moins cela, ne devrait pas je… ? » Le « lis voudrait que je soit heureux… » Il a soupiré, presque contently, jetant un bras au-dessus de ses yeux. De plus en plus les sentiments de la joie l'ont rempli avant qu'il pourrait même penser à se commander, pour s'indiquer pour calmer vers le bas. À était comme si ces émotions glissaient dedans par les défenses invisibles qu'il n'a pas même connues étaient là. « Je veux dire, il s'est développé--Je veux dire qu'il est vraiment développé ! »

Le lupin a souri aussi bien. « Oui, James-- »

« Et il était magnifique ! » Les mots ont jailli dehors avant qu'il ait vraiment eu la chance de penser sur eux. Il était difficile d'exprimer en mots ce qui s'est senti il. « Je veux dire, je n'avais jamais prévu--Mon garçon ! Remus, vous n'avez aucune idée-- »

« Oui, il est tout à fait un jeune homme remarquable, mais-- »

« Vous devez me dire que tout au sujet de lui, » il a insisté soudainement, interrompant le lupin encore une fois. James avait enlevé son bras de ses yeux, et ils ont miroité avec l'excitation et l'anticipation, comme un enfant attendant pour être raconté une histoire avant heure du coucher. « Je ne sais rien au sujet de lui, vraiment. À quoi ressemble il ? Joue-t-il Quidditch du tout ? À quoi ressemblent ses catégories-- »

« JAMES ! ! » James a sauté, a effrayé à la tonalité forte du lupin, mais l'homme a simplement pris une respiration profonde et a secoué son chef, riant sous cape légèrement. « Vraiment, j'aimerais vous rester et dire tout au sujet de Harry, mais je vraiment dois aller. Je suis venu pour visiter et courir quelques courses. J'enseignerai ici pour les prochains jours… Semaines, même… »

James a pu se sentir est de posséder le visage tombant, et n'a pas pu aider mais se sentir déçu. Il vraiment a voulu entendre parler de Harry… « Oh… » « Attente… » « Enseignement, Remus ? » « Madame Pomfrey l'a appelé professeur Lupin il y a une seconde… »

Le lupin a rincé au regard étonné sur le visage de James et a décidé d'élaborer. « Professeur Dorrey, la défense contre le professeur d'arts foncé cette année, a eu un effroi redoutable hier et bien qu'il le meilleur à partir… » Il a ri. « En fait, la manière que Dumbledore l'a décrite, il a pratiquement fait un tiret fou pour la sortie sans jeter un coup d'oeil même en arrière. »

« Je suis heureux, » James ai commenté tranquillement, « ce vous fais n'importe quoi de pareil. Enseignement, je veux dire. Vous étiez toujours bon avec des enfants. »

Les mémoires du jeu avec jeune Harry ont clignoté par lui principal. Le lupin s'est demandé si James pensait la même chose puisqu'il avait dit cela… « Bien, j'ai enseigné un an ici chez Hogwarts. J'ai enseigné pendant année de Harry la troisième, en fait. La défense contre les arts foncés. » Il a fait une pause, puis a ajouté. « Il était tout à fait bon, je pourrait ajouter. Je pense que c'était sa classe préférée, et probablement même son sujet préféré de tous… »

James a reposé plus droit et ses yeux allumés vers le haut toujours tellement de légèrement pendant qu'il rentrait cette information. « Vraiment ? Quoi encore ? »

« Bon… » Voyant l'expression pleine d'espoir sur le visage fatigué de James, la résolution du lupin a été facilement émiettée pour épousseter et soufflée loin dans le vent. « … S.M., je devine que je peux rester pour quelques minutes plus long et vous dire au sujet de lui… »

La grimacerie, James a incliné la tête en expectative, attendant le lupin pour commencer pendant que son ami prenait sa sacoche de son épaule et la plaçait sur le plancher.

Dégageant sa gorge, le lupin a commencé à parler au sujet des premières choses qui sont venues à l'esprit quand il a pensé à Harry. « Bien, Harry en sa cinquième année maintenant (« mais je suppose que vous savez déjà cela à ce jour »). Il est tout à fait un bon jeune homme, je peux honnêtement dire. Ah, et lui joue Quidditch. Un chercheur, et le plus fin que l'équipe de Gryffindor a eu en années… »

Oui, c'est terriblement intéressant…

Harry…

Harry ceci, Harry cela.

Harry, Harry, Harry.

Tellement un grand nombre semblent être très intéressés par ce un garçon. Il a rendu cet homme si heureux avant.

S.M.… Il regarderait plus profondément dans celui, puis…

Narcissa Malfoy avait vu son mari comme ceci avant. Naturellement, il pourrait être un homme méchant (elle avait su ceci quand il l'a épousé). Il avait tué d'autres hommes avant…

Lucius (qui n'était pas revenu à la maison au maçon la nuit avant sans mot) finalement a renvoyé plus tôt ce matin, semblant croix dépensée et mortelle. Narcissa n'a pas su exactement où il avait été, mais elle a eu une bonne idée. Narcissa a su que son mari a participé à d'autres activités, autre que son travail habituel, et a su à quelle extrémité ils des activités étaient.

Mangeur de la mort…

Elle n'a eu aucun problème avec ces autres intérêts, buts, ou passe-temps à lui, tant que Lucius n'a pas circulé et fraude sur elle ou ne s'est pas obtenu (ou elle-même) tué. Bien que, elle ait su que tout l'argent lui serait donné devrait Lucius mourir. C'est jusqu'à ce que le Draco vienne de l'âge (18-years-old), et il serait tout à lui. Naturellement, le Draco ne saurait jamais de ceci jusqu'à ce qu'un tel moment soit venu…

Lucius était criard aux elfes de maison maintenant, beuglant des ordres bien et à gauche, donnant un coup de pied certains d'entre eux quand ils ont répondu tout de suite pendant qu'ils se recroquevillaient loin dans la crainte. Narcissa s'est juste reposé, sirotant son vin dans le salon en tant que son mari continué son délirer.

Ah, ceci se développait terriblement irritant. Lucius ne l'avait pas reconnue par le passé depuis qu'il était retourné, et il payait plus qu'assez d'attention (aussi négatif et harcelant qu'elle était) aux elfes de maison. C'était inacceptable. Son comportement insultait presque, pour ne pas dire plus, et Narcissa décidé alors et là que cette folie allait se terminer.

Elle a jeté le magazine de magicien qu'elle avait lu, le jetant en l'air de nouveau dans le fauteuil elle s'était reposé dedans pour les dernières heures depuis le matin, puisque Lucius est retourné. Narcissa a alors procédé égrapper toute la manière à ses maris étudient, insouciant aux elfes de maison qui scampered hors de sa manière pendant qu'elle se déplaçait par les halls.

Sachant très bien que Lucius n'a pas apprécié pour être dérangé tandis que les portes à son étude étaient fermées (et donc verrouillé), mais pas vraiment s'inquiétant à l'heure actuelle, elle a rapidement pris sa main de ses robes longues fines et a crié, « Alohomora ! » Après qu'entendant un clic doux de la serrure, elle ait poussé les doubles portes ouvertes ainsi elles ont balancé vers l'intérieur et coup contre les murs.

Narcissa a gelé avant qu'elle lui ait même transformé cinq pieds en salle…

Lucius s'est reposé dans son fauteuil de bureau, ses épaules slouched et son visage caché loin dans des ses mains. Pour la première fois Narcissa a allé voir bon son mari, et il semblent horrible. Vraiment. Ses cheveux étaient dérangés et sale, non lavé, et car il a recherché elle pourrait dire que ses yeux étaient foncés et hantés. Il était habituellement parfait, comme un blanc/sculpture de marbre argentée ; incassable et ferme, puissant. Mais il a semblé brisé…

Et Lucius n'a pas regardé tout l'heureux que son épouse était entrée dans inattendu. Il a saisi à la hâte une cannette, l'a enfoncée dans un encrier encastré, et a commencé à la hâte à écrire sur un morceau de parchemin qui était déjà à moitié plein avec une certaine sorte de gribouillage. Son visage a été maintenant caché de elle, ombragé derrière les cheveux qui étaient tombés autour de son visage pendant qu'il voûtait au-dessus de son bureau. « Ce qui vous veulent, » il a demandé, sans rechercher de l'arrêt dans son écriture.

Avec une hésitation de moments, elle a répondu, « vous étiez… Le chéri, sont vous défectuosité de sentiment ? » Ses mains secouaient, elle ont pu la voir.

« Rien… » Il n'a pas regardé vers le haut son épouse, son visage toujours caché de la vue. Sa voix était très calme et tranquille, qui était Lucius très différent… Sa voix était habituellement à un volume plus élevé, plein de la demande, et même d'un air de la supériorité et de la fierté. Il a parlé encore avec cette voix tranquille, « je… J'ai un mal de tête, celui est tout. »

« Est que tous, » Narcissa ont soulevé d'un air interrogateur, cependant plus silencieux cette fois. Elle avait avec précaution marché vers le haut à son bureau, ne se tenant pas exact devant lui. « Voulez-vous qu'un des elfes de maison t'apporte-t-il un breuvage magique ? I-- » Elle, pour la première fois, a noté une marque rouge qui a montré juste au-dessous de la manchette de sa douille de robe longue… Et il y avait également d'un juste sur le bord de son délié, et sur son cou… Il y avait des contusions troublant sa peau parfaite et pâle… « Vous vous êtes blessé. » Un rapport, pas une question, et sans trop de soupçon quant derrière à où ils sont venus… Bien que, Lucius ne soit avant jamais revenu de son autre travail dans un tel état. « Lucius, m'indiquent ce qui est arrivé à vous… »

Silence.

Elle a attendu, lissant dehors les plis de ses robes longues chères de satin pendant qu'elle attendait, mais le pas de réponse est venu. Ceci a seulement servi à la rendre fâchée. Comme Malfoy, elle a été accoutumée à obtenir quelque chose qu'elle a voulu, et en ce moment elle a voulu une réponse. « Lucius, j'exige que vous me dites ce qui s'est produit, immédiatement ! Ce qui-- » Elle s'est arrêtée quand rose de mains de Lucius et alors claqué en arrière vers le bas sur son bureau, entraînant une fiole d'encre rebondir et tomber plus de, se renversant au-dessus de l'ensemble poli en bois et de bureau. Le coeur de Narcissa a sauté un battement.

« Il n'en est aucun de votre souci, » Lucius a beuglé, l'entraînant sauter, effrayé. « Être l'épouse d'un Malfoy vous a rendu arrogant et stupide, femme ! La pensée de vous peut exiger n'importe quoi de moi ! » Il a grondé, des yeux se rétrécissant pendant qu'il se tenait et se penchait au-dessus de son bureau vers elle. Elle soutiennent quelques étapes, notant comment sa main contractait vers sa baguette magique, qui s'étendent au côté de son bureau, maintenant demi de couverture en encre. « Quel enfer vous vous pensent font, m'interrogeant au sujet de telles choses, vous connaissez parfaitement le puits… » Il a traîné au loin, dire rien plus. Le silence était deafening, inattendu, et juste comme effrayant que le tumulte quand Lucius a commencé la première fois à crier à elle…

En conclusion, après s'être tenu le premier rôle à son épouse d'une mode très calculée pour une minute (et elle se tenant aussi raidement comme possible, comme s'il attaquerait si elle font n'importe quels mouvements soudains), ses yeux se sont élargis toujours tellement légèrement et ont clignoté avec… quelque chose… Les yeux de Lucius se sont tournés en arrière vers le bas vers le regard fixe à son bureau, et il n'a pas recherché encore après qu'il ait pris un siège, fouettant sa baguette magique de avec un mouchoir de sa poche et alors au moyen de elle pour se débarasser du désordre de l'encre.

Si quelque chose qu'il avait élevé ainsi pâlit sa peau a presque semblé vert. Une couleur très malade et particulièrement désavantageux.

Elle ne s'est jamais rappelée de se sentir si impatiente au sujet de son mari. Oui, elle a été effrayée de lui. Ceux qui ont vraiment connu Lucius Malfoy étaient seulement futés pour le craindre, même sa famille. Mais jusqu'ici, elle ne s'était jamais sentie ainsi… inquiété. Rien n'a affecté Lucius. Rien. Avec sa richesse il n'a eu rien à craindre, aucuns ennemis qu'il pourrait détruire (de plus de manières qu'une).

Que s'était produit… ?

« Chéri… ? » Rien… Il était très audacieux qu'elle essayerait même de lui parler tandis qu'il était dans un tel état. Après qu'il ait déjà crié à elle d'une telle manière. Mais souci, oui, souci, poussé lui à faire ainsi. « Chéri… ? Lucius. ? »

« Je vous verrai au dîner, cher, » Lucius a indiqué brusque, ne rencontrant toujours pas son regard fixe, son air en tant que calme reconstitué à la façon dont il avait été quand elle est entrée dans la première fois la salle inattendue. Il écrivait maintenant presque fiévreusement avec sa cannette. Narcissa a désespérément voulu savoir ce qu'il écrivait, mais nouveau meilleur que pour lui demander. Peut-être il écrivait au Draco, parce que elle a su qu'ils sont restés en contact constamment tandis que leur fils s'occupait de Hogwarts, cependant la nature des lettres étaient un mystère à elle.

Elle a représenté là quelques minutes, observant lui, son esprit fonctionnant furieux, essayant de décider si rester ou aller immédiatement en vitesse. Mais personne ne devraient croiser Lucius Malfoy qu'une deuxième fois de elles est parvenue à partir la première fois… Pas même sa propre épouse…

Ainsi Narcissa a simplement incliné la tête, murmurant un rapide, « naturellement, le chéri, » et a soutenu de la salle, de ses yeux sur son mari et de sa baguette magique le temps plein…

Il avait trouvé le potier, il l'a acculé, il a été attaqué, et alors… il n'y avait rien. Aucune mémoire du tout, aucune mémoire de la voix qui a jeté le sort, ou même ce qui le charme était. Alors se réveillant dans une pile de la blocaille, blessé, seule, et avec le ministère juste autour du coin. Vivant.

Sa vie avait été épargnée.

Lucius Malfoy a ricané, son accrochage de dents.

Un tel acte de la pitié a gaspillé. Quand il a découvert qui l'a attaqué, qui l'a arrêté de faire sa mise à mort, de servir son seigneur, elles payeraient chèrement. Il n'y aurait aucun doutes, aucune considération, aucune pitié. Il n'y avait aucune telle chose. Pas pour ceux qui ont souhaité survivre en ce monde. Légitime, là si j'aucune pitié pour le faible.

L'innocent sont toujours le premier à mourir. Comme elle a eu lieu dans le passé, et sera pour toujours…

Et ses sentiments de doute s'accrocheront pour toujours à son coeur… Mais non, ils partiraient par la suite. Il était simplement resté dans un secteur plein de Dementors trop longtemps, cela est tout… Il partirait…

Il a dû.

Harry a trouvé la lettre quand il est revenu à sa pièce autrefois après que lui, Ron et Hermione aient visité la pièce du lupin. Ils avaient été terriblement déçus quand il n'était pas là et a eu étée l'espérance eux pourrait voir leur vieux professeur, s'assurent qu'il était bien. Naturellement Harry a su que professeur Lupin était très bien à ce jour, Sirius lui a dit ainsi. Mais il était toujours meilleur quand vous pourriez le voir avec vos propres yeux. Le lupin n'a pas bien regardé tous hier…

La lettre avait été fournie par Hedwig, qui s'était reposée dans le windowsill quand il y est arrivé, une enveloppe grisâtre saisie dans des ses serres. Celui qui lui avait demandé qu'envoyer la lettre doit l'avoir instruit pour s'assurer qu'il a obtenu livré, n'importe ce que. Il a pris à la hâte la lettre, la trouvant non marquée sans l'indication quant à qui l'expéditeur pourrait être, et rapidement a chassé autour pour un festin de hibou pour Hedwig. Après avoir finalement alimenté Hedwig, elle a donné une huée polie mais satisfaisante, et avec un signe d'assentiment brusque de sa tête elle était dehors la fenêtre et glissant en arrière vers à Owlery. Un temps plus mauvais était dû avant le jour a été fait.

La lettre était très simple et directe.

Harry,

Celui qui se produise maintenant, vous devez s'observer. Je ne peux pas te dire ce qui me donne le sentiment, je ne suis pas vraiment sûr moi-même, mais je ne crois pas que le danger est terminé pour n'importe lequel d'entre nous encore. Remus et Dumbledore sait ceci aussi, je savent qu'il fait. Je sais que vous n'aimez pas l'idée, mais svp me faites confiance, et espérez également que nous prendrons soin de lui quand le moment vient. Si vous voyez n'importe quoi impair, ou n'importe quoi hors de l'endroit, n'hésitez pas à informer dessus de nous immédiatement. Je sais que vous voulez aider James, mais svp, ne vous entrez pas dans l'ennui.

J'ai parlé à votre père hier. James m'a demandé que regarder dehors pour vous, aussi, et moi fera juste cela, ne font aucune erreur. Il vous pense beaucoup. Vous devriez voir que la manière que son visage s'allume avec la seule mention de votre nom.

Bonne chance aujourd'hui.

Sirius

Quand il était de finition, Harry n'était pas sûr s'il se sent affaibli, contenté ou même frustré. Ce qui a fait il signifiez, le danger n'était pas au-dessus de… Il a dû être. Ce qui font n'importe lequel d'entre elles doit craindre maintenant qu'elles étaient dans Hogwarts. Rien n'a pu les toucher ici. À moins qu'il y ait eu quelque chose ils ne lui indiquaient pas…

Harry a décidé de ne pas partager pour marquer avec des lettres avec Ron ou Hermione en date d'encore, poussant la lettre et l'enveloppe sous ses couvertures. Ses amis l'attendaient toujours dans la salle commune, et il pourrait entendre Ron hurlant pour lui. Le temps de dîner approchait. Il était temps de rendre visite à son père encore.

Le lupin avait causé avec James au sujet de Harry pour les meilleures parties d'une heure. Il est parvenu à atterrir sur les points plus positifs en vie de Harry, comme sa vie à l'école, aux amis de Quidditch, et naturellement de Harry. Le lupin est bien resté à partir de la matière de Voldemort, la chambre des secrets, ou… Sirius… Azkaban.

Pas, James n'a pas su Sirius en date d'encore. Le lupin n'était pas trop sûr de la façon dont James réagirait à ce fait, à où Harry avait été forcé de vivre pendant les quatorze dernières années, que Sirius n'avait pas pu s'occuper de son filleul comme un parrain devrait. Non… Il ne devrait pas découvrir tellement bientôt. James pourrait commencer à délirer encore…

Il avait quitté l'infirmerie, seulement étroitement échappant à Madame Pomfrey, qui a insisté sur le fait qu'il boivent de plus de breuvage magique de Pepperup avant qu'il soit parti. « Vous regardez toujours faible, » a senti son front, « et vous sentir un peu chaud. Vous devriez se reposer, des courses non courantes. Là où êtes vous allant ! ? » Elle avait pratiquement chassé après qu'il comme lupin se soit boulonné pour la porte, James réellement ri agréablement à la scène… Comme il a dit, il seulement a étroitement échappé aux femmes… Madame Pomfrey était toujours aussi dièse qu'elle avait été toute ceux il y a de nombreuses années, quand il était allé à Hogwarts et elle prendrait soin de lui avant et après les pleines lunes.

Lors du renvoi à la salle, le lupin a trouvé que Sirius poussant par les nombreux nombre de professeur Dorrey de choses avait laissé. Son pauvre ami n'a pas regardé tout heureux avec son vêtement actuel--nettoyez les peintures blanches de pyjama avec une robe longue rayée rouge et blanche, ouverte--et même avant qu'il a noté la présence du lupin qu'il a le décalage inconfortablement sous sa robe longue, une grimace sur son visage.

Apparemment (heeh) les elfes de maison a coulé avec ses vieilles robes longues dès qu'il avait tourné le dos à elles (juste comme le lupin avait espéré tous le long). Et peut-être les robes longues reviendraient en meilleure condition qu'elles sont parties, ou améliorent encore, elles les brûleraient simplement et le trouveraient un nouvel ensemble. En outre, Sirius s'était évidemment baigné et rasé car le lupin a demandé. Il ne pourrait pas très bien marcher autour d'un désordre total, quand il a eu l'occasion de nettoyer un peu.

Sirius avait été mal blessé le jour déja pendant le combat… Bien que caché et invisible sous ses robes longues, sa peau pâle ait été plâtrée avec des contusions de chaque couleur (vue plutôt méchante d'A, vraiment…). Elles ont sali sa chair toute le long de son torse droit, jambes inférieures, et même ont atteint vers le haut jusque son cou, où Snape a exercé des représailles contre la propre attaque physique de Sirius quand Sirius a essayé d'étrangler la vie hors de lui. Il avait refusé d'être traité pour lui, mais il ne pourrait pas doucement ne dire « non » à pousser persistant pourtant doux du lupin.

Dans l'heure de son retour, le lupin a fait la meilleure utilisation hors de toutes les choses qu'il avait pris à forme l'infirmerie (ces articles il avait pris avec le consentement de Madame Pomfrey's, naturellement) et tellement le breuvage magique, la crème, et la gaze giflés de guérison sur l'homme que Sirius est apparu moitié mummified du cou vers le bas. « Il guérira complètement en jour ou deux maintenant, » lupin l'avaient assuré, souriant. « Aucun besoin de s'inquiéter. »

Il

a alors procédé faire Sirius manger de la nourriture qu'il avait trouvée dans les cuisines tandis que les elfes de maison se préparaient au dîner (pain de pain d'A, jambes de poulet, lard, et divers fruits). Mais Sirius l'avalant vers le haut de tout sans un autre mot, jusqu'à faire une pause à mi-chemin à travers pour en offrir par culpabilité à lupin. Le lupin a eu un peu de poulet, mais c'était tout. Même tout en restant avec le lupin, Sirius n'a pas obtenu de manger trop. Le lupin n'a pas dû argent acheter beaucoup de nourriture, et il n'a pas été accoutumé à la consommation beaucoup en premier lieu. À moins que, naturellement, elle ait été après la pleine lune, et il devrait récupérer sa force.

Tandis que Sirius finissait la consommation, le lupin a trouvé deux tasses de porcelaine et a fait le thé pour les deux (la seule sorte de boisson qu'il s'est rappelé d'apporter était quelques sacs à thé). Les tasses fines et sensibles, qui ont eu précédemment pour appartenir à professeur Dorrey, étaient blanches et décorées des conceptions complexes. La théière, qui était déjà pleine de l'eau doux, n'était aucun moins impeccable. Ils ont fait le lupin se sentir inconfortable quand il les a tenus, comme ils se casseraient s'il les tenait étroitement, et il a silencieusement souhaité qu'il eût toujours ses bonnes vieilles tasses vigoureuses (au moins elles ne se sont pas brisées complètement quand il les a laissées tomber)…

Le lupin s'est maintenant reposé dans un fauteuil faisant face à la cheminée, Sirius reposant dans une chaise semblable seulement quelques pieds loin. L'autre homme s'est tenu le premier rôle, transfixed par les flammes de danse sur le foyer, alors que le lupin se reposait soignant sa tasse de thé. Le lupin n'a plus jugé qu'il a eu l'estomac pour le boire (peut-être il ne devrait pas le 'VE fait lui si fort ?), ainsi il s'est juste reposé dans son recouvrement jusqu'à ce qu'il ait finalement eu l'esprit pour placer juste la tasse sur le plancher (il n'y avait aucune table voisine pour la mettre dessus). Il n'était pas sûr de son queasiness était dû à la maladie ou à l'inquiétude…

Depuis que Sirius avait envoyé cette lettre à Harry, Sirius était devenu sensiblement incommode, et le lupin ne pourrait pas aider mais noter pendant que Sirius jetait un coup d'oeil constamment en arrière dans son fauteuil vers la porte, comme si s'attendant à ce que quelqu'un vienne frappant à toutes minutes. La lettre, pendant que le lupin la comprenait, a été signifiée en tant que conseil amical. Conseils que seulement un parent (ou quelqu'un tout aussi étroitement, comme un parrain) pourrait sans risque donner sans risque de réprimande pour leur droiture. Harry avait toujours cru au conseil de Sirius avant, mais en des sujets au sujet de James… Harry ne pourrait pas vouloir l'entendre…

Ou est au moins ce ce que Sirius a figuré.

Le lupin pourrait indiquer Sirius a senti la même manière qu'il a faite. Il a estimé qu'il devrait faire quelque chose aider. Ils tous les deux ont possédé James qui beaucoup… Ils ne pourraient pas simplement reculer et observer comme événements dévoilés avant leurs yeux…

« Vous pensez trop fort, » Sirius a indiqué, très doucement, mais il était assez pour casser le train du lupin de la pensée confus.

Le lupin s'est demandé comment il a fait cela parfois… Sirius n'avait pas même regardé vers le haut lui ce temps plein, et il connaissait toujours quel lupin pensait… D'autres temps Sirius ont pu être totalement inconscients au se sent de d'autres, mais pas à ce moment.

Ils ont dépensé loin à beaucoup d'heure ensemble… Ou peut-être Sirius a eu pour passer trop d'heure dans Azkaban… Urgh, sa tête était si brumeux… Peut-être il devrait avoir pris ce breuvage magique de Pepperup après tous… ?

« Je pensais à vous, réellement, » le lupin marmonné dans la réponse, observant son ami pour une certaine sorte de réaction. Sirius a maintenant regardé vers le haut lui, perplexe.

« Je… ? »

« Vous semblez préoccupé. Très préoccupé, en fait. » « Sur des doutes… » Le lupin s'est plié vers le bas et a pris sa tasse de thé, prenant un sip. « Dites-moi ce qui est sur votre esprit. » « Les nombreuses choses sur votre esprit, j'imaginerais. »

« Bien, si vous insistez sur jouer le physiatrist, professeur Lupin. »

Le lupin a choisi de ne pas présenter ses observations sur le titre de « professeur »… « Bon ? »

« … Vous le pensez serez bien ? »

Le lupin a maintenant regardé à Sirius d'un air interrogateur, à ses fronts et se plisser de front. « Harry ? Ou James ? »

« Tous les deux. »

Le « temps peut seulement indiquer, vraiment, » le lupin remarqué raisonnablement, mais un sourire s'est attardé sur ses lèvres pendant qu'il regardait Sirius dans l'oeil. « Mais pour maintenant, je pense qu'elles seront simplement bonnes… »

Ah, comment il a prié qui serait vrai. Si seulement il pourrait croire ses propres mots…

Attente…

Observation…

Oh oui, toujours observant. Maintenant tout là était de faire devait observer, montre et montre.

Oh le regard, potier de petit garçon est ici maintenant… Temps au goooo… (heeh)

Sirius était fatigué de se reposer là dans silencieux. Il le conduisait fou !

« Remus ? »

Le lupin a recherché de son thé (« lambinez le thé sanglant… "), celui tasse de thé soufflée toujours saisie dans des ses mains. Le lupin s'était tenu le premier rôle distraitement dans le feu depuis après qu'ils aient parlé des minutes avant. La voix de Sirius a maintenant interrompu ses pensées d'amis pour la deuxième fois cette soirée, et lupin tourné à l'homme s'asseyant dans l'autre fauteuil. « S.M. ? » Le lupin souriait somnolent, comme il était prêt à laisser tomber au loin n'importe quelle seconde.

« Je m'étais interrogé sur quelque chose qui n'est pas tout à fait exacte, je pense… » Aucun il ne s'est pas senti exact, et il l'avait branché sur table d'écoute depuis que cette épreuve entière a commencé…

« Ce qui est lui ? »

Ou le lupin de cours a su « ce qui était il », il juste n'a pas voulu le dire. « Au sujet de James… Je le trouve impair, oscillations de cette des « humeur » ou celui qu'il éprouve. Si son esprit n'est pas dérangé, je voudrais vraiment savoir l'expliquer. Je comprends… Avec le lis… » Il a vu des yeux de lupin serrer fermé soudainement, puis rouvre un moment plus tard. Est peut-être n'était pas sujet un bon à apporte vers le haut… « Il n'est pas juste l'homme que je me rappelle le pour être. »

« Nous devons faire face à la possibilité qui soit peut ne pas être l'homme que nous avons connu. »

Sirius a avalé péniblement. Pas, il n'a pas voulu penser à lui de cette façon. James a juste eu besoin d'une certaine heure, celle est tout. Une certaine heure, alors il serait de nouveau à la normale, et Harry pourrait avoir le père qu'il avait toujours eu besoin mais ne pourrait pas avoir… « Il juste… James est devenu si fâché, le regard dans ses yeux. » Sirius digité sa mâchoire, où James l'avait poinçonné le jour avant. « Je ne l'ai honnêtement jamais vu comme cela avant… » James avait été si irrationnel et enfantin… James qu'il a connu n'a jamais nié la vérité, n'importe comment beaucoup il pourrait blesser de déprécié lui… « Pourquoi… ? »

Absent mindedly tout en sirotant son thé, le lupin marmonnait, « attendant jusqu'à ce que le coût soit clair… »

Sirius a regardé au lupin curieusement. « Attendant ? »

Le lupin a clignoté, évidemment réalisant il avait parlé à haute voix sans signifier à, mais avait décidé d'élaborer de toute façon. « Beaucoup de bêtes ont la capacité de marcher parmi des humains. » Il a remué son thé, la cuillère en métal cliquant sur contre la porcelaine. « Quand la bête est acculée et sait qu'elle est secrète a été compromise, elle veillera à se cacher au point d'être invisible. Comme si c'était devenu un « fantôme », si vous. Il ne mettra pas sa vie en danger s'il a menacé, et il attendra jusqu'au bon moment pour ranimer ou s'indiquer dans des conditions plus sûres… »

« Comment vous savez ceci ? » Pourquoi se référait-il à James en tant que quelque chose presque… inhumaine ?

Le lupin a jeté un coup d'oeil en arrière sur lui, et Sirius pourrait voir que ses yeux ont semblé presque jaunes dans la lumière du feu. Il souriait d'un air affecté faiblement. « Je suis une bête, Sirius, je saurais, pas je ? » Il n'a pas laissé Sirius commenter avant qu'il ait continué, « en ce moment la colère de James est comme un monstre de sommeil, et toute cette colère suffira est d'attendre une chance de se libérer. »

« Mais ce qui il faites quand elle a libéré… ? » L'esprit de Sirius a clignoté avec des images d'hier, de James criant dans la fureur et du monde s'effondrant aux morceaux autour de eux…

« Vous devriez savoir mieux que n'importe qui, Sirius. Les travaux fâchés aiment toutes autres émotions négatives. Il cherche à détruire… Mais… La colère de James peut être quelque chose plus vraie que nous pourrions jamais imaginer… »

Naturellement une bête de sommeil attendait pour ranimer… Attendant un temps pour frapper enfin…

« James… Vous ne pouvez pas jamais me laisser maintenant… »

Pour être continué…

Limite de magicien

« Quand un magicien sauve la vie d'un autre magicien, elle crée un certain lien entre eux… … C'est magique à son plus profond, son unpenetrable, Harry… »

Albus Dumbledore Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban, chapitre 22 (poteau de hibou encore), par J.K. Rowling

« … En de telles fois des crises, vous ne pouvez pas se permettre de laisser vos propres différences vous détruire. Et je vous assure, elles volonté par la suite, mes garçons… »

Albus Dumbledore Fanfiction « malédictions charmées », réunions, par Madame Geuna

« C'est le calme avant l'orage… »

La « patience… »

Ronflement.

« Soyez patient… »

Lucius a mangé dans le silence avec son épouse, pensée qu'il a ouvert sa bouche occasionnellement pour présenter ses observations sur son repas. Elle avait essayé sans succès plus d'une fois de commencer vers le haut une conversation avec lui. Narcissa était encore effrayé de lui, il pourrait dire, mais il s'est senti bien mieux qu'il a eu. Lucius avait nettoyé, avait guéri ses blessures, et avait changé ses robes longues. Personne autres que Narcissa n'auraient noté son état plus tôt qui le jour…

Narcissa a pris et sip de son potage, ses yeux sur son mari le temps plein. Lucius a pensé que c'était terriblement ennuyant, mais il ne dirait rien. « Vous irez travailler en même temps demain, chéri ? »

« Pourquoi ? »

Elle a soupiré, regardant vers le bas son potage. S.M.… Son épouse a honnêtement regardé… s'est inquiétée ? Pas, elle était s'est à peine jamais inquiétée de lui. « Je pensais… que peut-être vous devriez obtenir encore plus de sommeil. Vous avez été éveillé pendant des heures maintenant. »

« Elle vraiment est inquiétée… » C'était étonnant, considérant leurs positions comme le « mari et l'épouse » sont rarement allés n'importe où au delà du titre lui-même. Ils n'ont pas partagé « des moments affectueux » les uns avec les autres. « On s'attend à ce que j'aille à Hogwarts sur des affaires demain. Je dormirai autant que je peux jusque-là, vous n'ai pas besoin de concerner. » Il a pris à un sip un vin… Millimètre, très gentil…

Narcissa n'a pas semblé heureux avec ceci en tant que tous, mais elle n'a pas discuté, ni elle a demandé pourquoi il allait. « Fait le Draco savent de votre visite ? »

« Je lui ai écrit un hibou, et je le lui enverrai le matin. » Un autre sip de vin. Draco… L'enfant I maintenant, mais par la suite lui se développerait jusqu'à continuent pour quel Lucius a travaillé. Une fois que Hogwarts était à l'écart, le Draco pourrait commencer sa vraie formation… « Je serai sûr à grand il tandis que je suis là. » Mais il ne pourrait pas tracasser avec cela pour longtemps.

Il y avait des affaires pour prendre en compte pour son principal…

Harry s'attendrait à la deuxième réunion entre lui et son père à être étonnant, sentimental et simplement hallucinant dans son importance et merveille, pas vous ? Bien, car il s'est produit, elle était quelque chose mais… Elle humiliait, réellement. Tout qu'ils ont fait était… stand là… Avoir Madame Pomfrey se tenir dans la chambre, observant du côté, n'a pas aidé dans le plus léger, l'un ou l'autre.

Ils étaient arrivés juste à l'heure, dû à Hermione continue d'insister sur le fait qu'ils doivent être ponctuels. Son père s'était tenu devant son lit, arpenter, causant avec Madame Pomfrey comme le faisait cela il. Quand il a vu Harry et ses amis qu'il s'est arrêtés, souri… Et maintenant, ici ils étaient…

« Ce qui maintenant, » « partent » la pensée de Harry, avalant dur, se tenant le premier rôle à ses mains pour un instant, et pensé à la situation.

Formellement quand il rencontrerait une nouvelle personne, Harry serrerait simplement leur main. Puits au moins avec la chose entière de « introduction », qu'il vraiment n'a pas eu besoin de faire, quoi qu'il en soit. Mais ce n'était pas « formel », vraiment… C'était un son père, un relatif… Bien, il ne pourrait pas se rappeler d'étreindre jamais un du Dursley avant… Améliorez encore, il serait probablement plus sûr s'il restait de cette façon. Il n'a pas désiré étreindre ou toucher Dursley l'un des à moins qu'il ait été avec un poteau très long…

Attente ! Il a étreint son parrain ! Il l'a faite toute l'heure en fait ! Ainsi il pourrait ! Il devrait !

ARGH, il s'était tenu ici trop longtemps, Ron et Hermione étaient tenir le premier rôle-font il maintenant ou pas du tout !

Il devenait nerveux… James n'était pas même sûr comment se déplacer avec Harry ici.

« Dammit. » Et il vraiment n'a pas aidé que ses deux amis (Ron et Hermione ?) juste tenu le premier rôle à lui comme il était en ligne quelque-quelque chose pour l'exposition ! James n'a pas regardé… droit tellement mauvais… ? Madame Pomfrey avait acquis pour lui quelques robes longues pour qu'il habille dedans, aussi, ainsi il s'est senti plus confortable. Elles n'aidaient pas, vraiment (au moins dans certains cas), mais elles n'aidaient pas son embarras. Il s'asseyait sur le bord du lit, du Harry et de lui des amis se tenant au lieu de se reposer dans les chaises juste derrière chacune de elles… Oh quelqu'un font quelque chose déjà !

Puis, en conclusion, Harry a entrepris une démarche.

Tout d'abord elle a regardé comme si le garçon plongeaient à lui pour une certaine raison impaire, mais James a su ce que Harry faisait après que ses bras enroulés autour des épaules de James et serrés un peu.

Elle était douce (bien qu'acquis) et James s'est bientôt trouvé étreindre en arrière, une partie de la tension absorbant.

Le « papa, » Harry a dit pendant qu'il laissait aller, souriant, « j'ai voulu que vous rencontrassiez mes amis. C'est Ron Weasley et Hermione Granger. »

James a incliné la tête vers chacun de eux, serrant leur main. « Plaisir. »

Et en conclusion, les autres trois ont pris un siège. Il y avait un moment de silence tolérable avant que Ron ait parlé vers le haut, grimaçant, « nous ont entendu un sort sanglant au sujet de vous, M. Potter… Il est vraiment grand de vous rencontrer finalement. »

Hermione a souri winningly, ses joues rincé pendant qu'elle inclinait la tête d'accord. « Heurtant. C'est un vrai honneur, monsieur. »

James a souri aussi bien, Hermione le rappelant soudainement le lis pour quelque raison… Pas, il laisserait qui ruinent le moment, pas maintenant… « Et j'ai entendu beaucoup au sujet de vous aussi bien… »

Hermione a semblé hésité, alors que Ron regardait étonné et soupçonneux. « Utilisation. ? Qu'avez-vous entendu… ? Vous n'êtes pas embrouillant j'avec mes frères, êtes vous ? »

« Remus-heu, professeur Lupin était dedans ici premier et il me disait un peu au sujet de Harry. » Il a donné un sourire vers Harry, qui a souri en arrière, regardant un peu incertain au sujet de ce que le lupin pourrait lui avoir indiqué. « Ne vous inquiétez pas, rien mauvais… pourtant… Tant que Sirius ne s'est pas effacé sur vous, quoi qu'il en soit… »

« UM… » Harry a fait une pause, comme si recherchant les mots de droite. « Je devine seulement les choses que je devrais savoir, je devine… »

« … Je fais confiance que vous n'avez pas autant des ennuis que j'ai fait à votre âge… » Quand James a vu les expressions sur leurs visages qu'il a commencé à rire, il ne pourrait pas s'aider. « Oh MERLIN, vous êtes ce mauvais, êtes vous ? »

Harry rinçait le rouge, son fléchissement principal. « Bon… I… »

« Harry n'a pas beaucoup des ennuis, » Ron a expliqué rapidement. « Je veux dire, aucun moins que n'importe qui autrement je supposent. Je veux dire, nous que tout a des ennuis ! Ils sont comme eux viennent nous recherchant ! »

Hermione a soupiré, tapotant un Harry très embarrassed sur l'épaule. « Ron tend à embellir un peu. »

Ron a marmonné quelque chose sous son souffle, se reposant en arrière.

Mais mon, ils étaient certainement un groupe intéressant ! Groupe I merveilleux d'amis, juste comme quand il était jeune…

Pour un instant il a observé Harry et Hermione. La fille avait toujours sa main sur son épaule, un geste de consolation qu'il a accepté. Il s'est rappelé le lis faire cela à lui toute l'heure…

Oh attente… ces deux… Étaient-ils… ? « Oh… Ah ! » Elle était si évidente ! Juste comme James et le lis quand ils étaient à l'école ! Et avant qu'il vraiment ait pensé cela beaucoup, les mots sautaient hors de sa bouche, « elle est très joli… Vous avez deux ans êtes très chanceux. »

Harry a clignoté vers le haut à lui. « Ce qui vous voulez dire ? »

« … Hermione ressemble à une fille merveilleuse… Je veux dire, vous deux… Vous savez… »

Il était quand James a vu l'expression choquée sur des visages de Harry et de Hermione, et le regard de l'horreur vile écrit sur Ron, quand James a réalisé qu'il avait fait une grande, grande erreur…

« Ainsi, comment sont ils faisant, » professeur McGonagall a demandé à la hâte. « Sont ils faisant bien ? »

Ils se tenaient juste en dehors des portes de l'infirmerie. Rien l'intérieur d'occupants a su qu'elles étaient là, mais ce n'était pas certainement l'autre manière autour. Harry et ses amis se sont assis, parlant tranquillement à M. Potter… La situation a regardé très tendue, en effet…

« J'ai peur qu'ils soient tous qui tournent une nuance plutôt intéressante de cramoisi, Minerva, » Dumbledore ai murmuré, tout le moment essayant de forcer le rire de sa voix. Elle n'était jamais polie pour rire des dépenses de d'autres… Mais il y a des périodes dans lesquelles cela ne peut pas être aidé. « Oh, pour être jeune encore… »

McGonagall a fait un visage, secouant sa tête. « Professeur Dumbledore, vraiment ! »

« J'ai également peur que le potier de James aura besoin d'un peu de l'entraînement sur la façon dont élever un adolescent, » il a dit sérieusement, soigneusement fermant la porte à l'infirmerie. « Et nous ne devrions pas observer ceci, » bien que Madame Pomfrey devrait l'avoir informé de cette réunion en premier lieu… Pendant qu'il commençait à descendre en arrière le vestibule, fin de McGonagall derrière, il a agréablement demandé, « comment ayez vos classes allant récemment, Minerva ? »

« Très bien, » elle a répondu à la hâte. « Mais M. Arthur Weasley ; est ce pourquoi vous lui avez demandé de venir ici ? »

« Oui, Arthur restera chez Hogwarts en tant qu'invité provisoire. Il ne prendra pas trop de pièce dans le château, je suis sûr. »

« Et le ministre permettra ceci, » McGonagall a indiqué incrédule, soulevant un sourcil de cette façon distinguée qu'elle a toujours semblé posséder. « Pourquoi il serait si clément. Vous n'avez pas été en de bons termes dedans tellement longtemps, et (« non ce je les pense devrais ») je ne me suis jamais attendu à ce que cela s'améliore… »

« Ni l'un ni l'autre n'ont fait I, » Dumbledore ont murmuré, retentissant tout sauf contrarié. « Je n'ai aucun choix si nous en voulons M. Potter ou d'utilisation de rester sûrs… » « Si tout va bien elle vaudra l'effort… »

« Mais le ministère pourrait décider de couvrir ceci vers le haut ! »

« Je suis en désaccord. Même le fondant de Cornelius n'oserait pas font une telle chose… »

/Flashback à la partie précédente de la conversation entre le fondant et le Dumbledore le jour avant…/

« Ceci peut seulement signifier des choses foncées. Choses foncées. »

« Je prie de différer, Cornelius. » Dumbledore s'est reposé en arrière dans son fauteuil, pliant ses longs doigts délicatement pendant qu'il se tenait le premier rôle en avant dans le feu et à la tête de pendillement du ministre de la magie. « Ce sont de bonnes périodes en effet, pour que le potier de James retourne-- »

« Svp, Dumbledore, la synchronisation est trop soupçonneux ! Première attaque de Dementors Londres au fond--Beaucoup ont été tués hier… Et alors le potier de James révèle chez Hogwarts ! Il est inconcevable, sûrement ! »

« Je vous ai dit que le Dementors ne pourrait pas être fait confiance. Ils sont les créatures foncées… »

Le fondant de Cornelius a ignoré le commentaire, continuant à la hâte, « et une équipe de ministère a été attaquée tout en recherchant le Dementors. Par d'autres magiciens (« même le prophète quotidien sait ceci à ce jour ! "). Et ce « potier de James » a été également vu par M. Ollivander dans la ruelle de Diagon. Comment vous expliquez cela ? »

Le « potier de James errait et perdu jusqu'à ce qu'il soit venu chez nous, et il a été vu plus tôt le matin. Il n'est aucune surprise qu'il viendrait ici. Après tout, c'est M. Potter de l'endroit le plus sûr pourrait se rappeler. Il aurait eu assez de temps d'atteindre Hogwarts par beaucoup de différents moyens après qu'il ait laissé Ollivander. Et quant à l'attaque… » Avec regrets, Dumbledore se rendait entièrement compte ou qui avait attaqué l'équipe de ministère. Mais cela ne le ferait aucun bien d'obtenir Sirius, lupin ou Snape dans cette matière plus qu'ils étaient déjà… « Mangeurs de la mort, peut-être… ? »

Le fondant a considéré réellement ceci. « Tirant profit de la situation ? Comment comme eux, je suppose… »

Dumbledore a secoué sa tête. « Peut-être ils n'ont pas été envoyés par Death Eaters ? Vous devriez se rendre entièrement compte à ce jour, Voldemort-- »

La tête du fondant de « numéro » a semblé trembler soudainement et devenir comme folle hors focale. « Ceci n'a rien à faire avec -Qui-Devoir-Non-Être-Appelé, et il pas ! J'ai entendu assez de vos prétentions, je veux des faits. Et je n'ai aucune manière de dire que cet homme est qui il dit qu'il est. »

Dumbledore lui avait déjà indiqué à plusieurs reprises au sujet de « Temps-Turner » songeur et étrange. Mais naturellement, le fondant ne prendrait pas son mot pour lui… « Ce que l'autre évidence vous exigerait, » il a demandé évidemment.

Le fondant a semblé obtenir contrarié avec Dumbledore calme, attitude fraîche envers le tout ceci. « Dans ce cas, vous vous occuperiez du tout de si j'envoyais quelques personnes pour regarder cette évidence elles-mêmes ? » Cela a presque ressemblé à d'une menace, un défi. Il était probablement. « Je veux juste être sûr, Dumbledore. C'est un homme qui a supposé pour être mort, et cependant -Qui-Devoir-Non-Être-Appelé n'est pas retourné, j'admettent qu'il y a eu une quantité peu commune d'activité de mangeur de la mort. Ceux probablement essayant d'effrayer les personnes, ceux avec une aversion pour Muggles, qui est tout. Elles n'ont rien mais quelques tours bon marché. »

« Elles n'ont pas besoin d'essayer dur, Cornelius. Vous trop simplifiez. » Et comment n'importe qui pourrait classifier une attaque de Dementor pendant que « un tour bon marché » était au delà de lui…

« Et moi trouvent est très peu commun que M. Potter pourrait… survivre. Seulement une autre personne a pu survivre à une attaque par lui… »

« Tel père, tel fils, » Dumbledore a noté, souriant toujours tellement légèrement, donnant un rire étouffé presque inaudible. « Et avec tout le respect dû, Cornelius, je suis davantage que certain que vos hommes découvriront en fait la vérité demain. Mais pensez cela, Cornelius. Harry Potter est déjà un symbole d'espoir pour les communautés de Wizarding partout dans le monde. Pensez juste cela… Harry Potter et James traînent, venant ensemble pour former un symbole encore plus lumineux d'espoir. »

Le fondant a semblé penser à celui-ci, ses yeux glaçant plus de dans la pensée.

« Et, » Dumbledore a continué, se déplaçant dedans pour la « mise à mort », « votre réputation deviendra encore plus grand si vous êtes celui pour l'annoncer officiellement au monde. »

Le visage du fondant s'est allumé comme un arbre de Noël.

Dumbledore a incliné la tête à se, souriant. Ou le fondant de cours plongerait à la chance de se rendre le sembler bon pour le public. C'était l'occasion parfaite.

« Toute la droite, Dumbledore, » le fondant m'a indiqué doucement, comme s'il avait pris cette décision après beaucoup de délibération, « enverra trois fonctionnaires au-dessus de demain. Et maintenez dans l'esprit, ils pourront dire si ceci songeur à vous a été effilé avec de quelque façon. »

Retour en arrière de /End

« Je dois jouer le gage à Cornelius tant que je peux… Il maintiendra chacun sûr, pour maintenant… » « Cornelius ne peut pas toucher M. Potter, pas avec tant de témoins et le potentiel de redresser sa prise sur le public. »

McGonagall a murmuré quelque chose plutôt en travers, puis a chuchoté, « et puis, que diriez-vous de M. Black et de professeur Lupin… »

« Personne ne découvriront le noir de Sirius est dans ces murs, et tant que le lupin suit le code de conduite de loup-garou, et a été correctement entré dans l'enregistrement de loup-garou (« bien que je l'aie sans doute soit déjà »), je doutent sérieusement qu'il y ait un problème. »

Mais toujours, McGonagall a froncé les sourcils. « Nous le mettons en danger aussi bien, Albus. Êtes-vous sûr là n'est-vous pas quelque chose que nous pouvons faire… ? Les gens ne prennent pas avec bonté aux loups-garou, et ni l'un ni l'autre ne fait le ministre… »

Dumbledore a su ce qu'elle pensait, qui était terriblement quelque part le long des lignes d'une unité de capture de loup-garou… Mais personne n'oseraient font cela à quelqu'un tel que le lupin de Remus J. Jamais. Il était trop bien connu pour son « bon comportement », a eu trop d'amis dans les endroits élevés, et les services de support de loup-garou coup hargneux que n'importe qui responsable étaient il à venir pour nuire. Lucius ou n'importe qui autrement n'oserait pas le toucher quand il a eu tant d'alliés.

Il a soupiré, souriant faiblement. « Chacun sera sûr tant que nous maintenons un oeil pointu ouvert et un esprit clair, Minerva. »

« Oui… Mais… Que sommes-nous combattant maintenant… ? Sinon le seigneur foncé, qui ? »

Dumbledore a souri alors. « Je suis dans l'obscurité autant que vous êtes, Minerva. »

« Professeur Dumbledore- »

« Et j'attends avec intérêt un certain pâté en croûte de potiron ! Il est-vous délicieux, ne convenez-vous pas ? Délicieux avec une tache de crème fouettée. »

Professeur McGonagall lui a donné un regard plutôt stupéfié et presque frustré, mais a secoué sa tête et n'a dit rien pendant qu'ils tournaient le coin au grand hall, où des voix pourraient déjà être entendues en tant que dîner attendu par étudiants…

Ce n'était aucune utilisation lui parlant, et Sirius prévu sur le garder de cette façon. Il n'a pas voulu l'a entendu, ainsi il a cessé l'écoute. C'était quelque chose qu'il était toujours bon à quand elle est venue à rêveur, l'ignorant quand il disait que quelque chose il n'a eu aucun intérêt dedans. Le même exact la même chose se produirait dans le dos de classe de Transfiguration de professeur Dumbledore's quand elles étaient dans Hogwarts, quand il inclinerait la tête au loin ou début rêvassant (le lupin était assez aimable pour rappeler ses vieilles habitudes).

Mais dans ce cas-ci, il n'était pas simplement que quelque chose Sirius n'a eu aucun intérêt dedans. Il était quelque chose qu'il a détestée… Dédaigné ! MERLIN, il faisait son ébullition de sang pensant juste cela ! « Dammit, dammit, dammit… »

Même maintenant, le lupin, habillé dans une paire de pyjamas amples de Hogwarts, a préparé un lit pour Sirius dans le secteur vivant par la cheminée. Le lupin prendrait le lit, car Sirius avait insisté depuis qu'il était encore semblé peu un malade. Il transfigurated une couverture dans une sorte de matelas, qui était une tâche très simple, et a vidé un certain nombre de couvertures et d'oreillers sur celui. Pourtant toujours, il parlait. Chose à peu près identique, à plusieurs reprises.

Le lupin n'était jamais ce dos persistant à l'école…

« Je ne veux pas l'entendre, Remus, » il a dit (encore) comme le lupin a laissé tomber une autre couverture vers le bas et a croisé ses bras au-dessus de son coffre défensif. « Vous pouvez juste le donner vers le haut maintenant. Je ne me soucie guère, correct ? » « Svp, svp, svp, laissez-juste le seul, rêveur… »

Mais naturellement le lupin ne le laisserait pas seul.

« Le lien d'un magicien, Sirius. Vous devez comprendre. »

« Je ne crois pas en de telles choses… »

Le lupin a froncé les sourcils pendant que Sirius tournait loin et a commencé à s'occuper par un ensemble de livres de DADA que professeur Dorrey était parti, prenant un et examinant la couverture avec l'intérêt faux.

« Vous… Je ne crois pas cela--Je ne fais pas ! Vous êtes un magicien développé, Sirius. »

« Ce ne signifie rien ! » Il a claqué le livre en arrière vers le bas avec une fente assourdissante ! que fait son propre coeur sauter et nombre causé d'autres livres empilés à culbuter sur le plancher. « Fichu il ! Fichu Snape ! »

« Calmez vers le bas, » lupin insisté doucement. « Severus n'est pas notre ennemi. Peut-être une fois, mais pas maintenant. »

« James ne devrait pas le 'VE pris la peine pour sauver ce bâtard-- »

« Et laissez-moi devenir un meurtrier ? »

Silence…

Sirius a pâli. « Aucun… Je n'ai pas voulu dire cela, je jure, Remus ! »

« Essayez alors de penser avant que vous parliez la fois prochaine… »

Sirius n'a pu indiquer rien… Ne pourrait pas penser à n'importe quoi dire qui aiderait. Il avait été celui pour dire Snape au sujet de l'arbre Whomping. C'avait été son défaut il y a toutes ces années et il était toujours…

« Bonsoir, Sirius, » le lupin a indiqué calmement. Alors il a tourné et a égrappé hors de la salle en dehors tellement comme regard en arrière à son ami. Quand le lupin est entré dans sa chambre à coucher, il a claqué la porte derrière lui.

Et Sirius pourrait seulement regarder fixement après lui, puis vers le bas au lupin de « lit » s'était préparé à lui…

« Fichu. »

« Je suis un tel imbécile… »

Hermione leur avait laissé des minutes avant. Pigwidgeon avait également été là des minutes avant, fournissant une lettre à Ron. Cela avait pris des minutes de Ron pour snag réellement le hibou de l'air et pour recevoir finalement la lettre, qui s'est avérée être de sa mère. Après inscription d'une réponse rapide, il avait retourné à son lit comme le faisait Harry.

Est-ce qu'alors Harry était-il sûr que Neville était endormi, il a-t-il demandé Ron, « ainsi que vous a pensé à lui ? Il n'a pas semblé très… « a déséquilibré » à moi… Il a semblé très bien, vous ne pensent pas ? » Il était. Il était vraiment ! Il engendrent était normale, raisonnable. Il n'a eu aucune idée ce que chacun autrement jacassait sur environ.

Ron a incliné la tête. Il a été très tout à fait depuis qu'ils ont laissé l'aile médicale, et encore plus tranquillité quand il avait reçu la lettre. Harry n'avait pas pensé pour interroger lui au sujet de elle cependant, mais peut-être lui devrait… ? « Semblé ainsi à moi aussi bien. Bien que, il ait fait semble peu un dérangé. » Harry lui a donné un regard, et il a rapidement corrigé, « Goofy--heu, je veux dire, il ai semblé comme il avait un bon sens de l'humour… ? Vous savez, comme Fred et George. Je veux dire, votre papa étais comme eux par le passé, bien ? Jeu des polissons et de cette sorte de chose ? »

Harry a souri. « Vous avez raison… Et il connaît beaucoup Quidditch et tous. Vous pouvez lui parler au sujet d'une position de Quidditch l'année prochaine ! » La prochaine moitié de l'équipe actuelle de Gryffindor Quidditch recevrait un diplôme. « Peut-être nous pouvons jouer un jeu de Quidditch quand le temps s'améliore, vous pensons ? Je peux le montrer que le balai Sirius m'a donné. J'ai parié que vous qu'il il avez choqué combien les balais ont avancé de nos jours. »

Ron a ri sous cape, secouant sa tête. « Vous sont vraiment excité, n'est-ce pas ? Nous avons eu quelques conversations intéressantes, n'est-ce pas ? N'a pas vraiment pensé qu'elle ne serait pas comme celle. Vous êtes le papa gentil. »

« Elle tout est vraiment bien entrée à la fin… »

« À la fin… »

Il s'est effondu en arrière dans son lit, jetant pratiquement ses verres sur le stand de nuit. « J'espère que je n'ai pas fait un cul total de me, » Harry ai gémi, pressant les paumes sur ses mains à ses yeux. « Je ne peux pas croire il a pensé que Hermione était mon… » Il a traîné au loin, la mémoire rendant lui le sentir juste comme embarrassed qu'il s'était senti qu'alors l'événement a eu lieu.

« Harry… Vous pensez à elle… de cette façon ? »

La question de Ron est sortie nulle part, mais elle n'était pas nécessairement inattendue. Harry a pensé cela. « Non bon, réellement… » Son esprit a clignoté à la fin de l'année dernière, quand elle l'a embrassé sur la joue… Personne n'avaient avant jamais fait cela à lui. S.M., il a dû être honnête à son meilleur ami… « Bien, peut-être la pensée est venue à l'esprit… une fois. Pourquoi ? »

« Aucune raison, » Ron a indiqué rapidement, fermant son rideau. « Nuit, Harry. »

Harry s'étendent là plus un moment dans le silence, comme si la moitié s'attendent à ce que Ron indique autre chose… Mais il n'a pas fait. « Nuit de G, Ron. » Et pendant qu'il se fermait ses yeux Harry se sont rappelés que quelque chose qu'il avait presque oubliée. « Hé, Ron, que cette lettre vous a-t-elle été reçue avant environ ? Celui de votre mère ? »

Il y avait une longue pause, comme Ron essayait de penser à quelque chose dire, puis,

La « maman a juste voulu s'assurer que j'étais très bien, » Ron a indiqué par derrière son rideau fermé, « juste comme toujours. Vous savez surprotecteur elle peut être… »

Harry se serait senti jaloux, mais a su mieux, quoiqu'il n'ait pas eu une mère autour à être se soit inquiété de lui… « Droit… » Avec le ce, Harry a fermé son rideau toute la manière et a fermé ses yeux…

Dimanche suivant matin…

« Aucun Portkey ? Êtes vous sérieux ? »

« Vous ne pouvez pas honnêtement s'attendre à ce que nous le fassent là sans un ? »

« C'est ridicule ! »

M. Weasley a froncé les sourcils dehors dans le temps pluvieux tandis qu'il écoutent les trois hommes discutent à une jeune sorcière de ministère qui a regardé en particulier harcelée, ses joues s'élevant roses.

Mais vous avez dû lui donner le crédit. Normalement un soutiendrait vers le bas d'un argument avec leurs supérieurs, mais cette femme n'a pas fait. « Le ministre a pensé qu'il ne serait pas sûr, » elle a essayé d'expliquer évidemment, sa voix reportant à peine les bruits des trois hommes hurlant à elle immédiatement. « Il serait dangereux que Hogwarts permette à un Portkey sans garantie d'entrer, il signifierait que les défenses d'écoles seront enlevées-- »

« Intolérable, » Edouard Thornback (du département du transport magique) s'est cassé, rétrécissant ses yeux. Thornback était un git judicieux et insupportable que M. Weasley avait appris à détester il y a bien longtemps. Il était le type qui a aimé se vanter de ses propres accomplissements. Comment il avait été promu deux fois dans un dos de mois quand il avait juste commencé dans le département. Il était grand et maigre avec les cheveux blancs très luisants. L'âge ne lui était pas très bon, l'un ou l'autre.

Le deuxième homme était Samuel apaisent du comité des charmes expérimentaux, et M. Weasley a réellement plutôt aimé l'homme. Après tout, ils étaient dans le même département (inversion magique accidentelle). Apaisez était au sujet de propre taille de M. Weasley's, cheveux blonds, dans sa fin des années '20, et a habituellement eu un visage aimable. Ce matin, cependant, apaisent n'a pas regardé tout heureux qu'il ait dû se réveiller tôt pour une tâche sur les brèves informations (n'importe comment grand l'importance). Il s'est maintenant tenu à côté de M. Weasley, croisant ses bras au-dessus de son coffre, décidant de ne pas dire toute autre chose pour le moment.

Pour finir, était professeur Donald A. Rum du département des mystères… Un ouvrier ivre, dans la mesure où M. Weasley a su, mais plutôt brillant pour le département des mystères si sobre. Ce matin, cependant, il avait assurément décidé de ne pas boire n'importe quoi afin de sembler professionnel, mais n'était pas très heureux à son sujet. Il a eu des cheveux de brun foncé avec une barbe courte épaisse, plus court que M. Weasley, et ses yeux ont semblé avoir les ombres permanentes sous eux. Combien de sommeil a-t-il obtenu à chaque nuit… ?

« Combien de temps vous la supposez nous prendrez pour la faire à Hogwarts, » rhum demandé.

« Bien, je ne peux pas dire… Vous apparaîtrez quelque part au delà de la frontière de Hogwarts (« oh, ce va être une douleur par ce temps "), mais pas directement dans le château. Puisque nous ne pouvons pas obtenir un endroit exact, il peut y a un risque ce vous Portkey vous-même dans un mur. Le Portkey précédent a été déjà employé, ensuite-- »

« Attendez, » M. Weasley l'a arrêtée là, en soulevant une main pour la faire taire un moment. « Quelqu'un est déjà parti ? Sans nous ? Qui ? »

« Heu… » La fille a froncé les sourcils. « Je devrai examiner mes papiers pour assurer le ce, monsieur. C'était un poste du matin, je n'était pas même ici pour aider encore. »

Apaisez a cliqué sur sa langue, partageant un regard perplexe avec M. Weasley. « Nous avons été informés que nous sommes les seules personnes à envoyer à Hogwarts. Pourquoi n'était pas nous avons dit là étions quelqu'un d'autre ? »

« Et évidemment quelqu'un de plus grande importance, » M. Weasley remarquable, « s'il peut seul être envoyé sans ajoutent ou aide. Pour gaspiller un Portkey sur un homme est ridicule. »

« II… » Elle était pâle maintenant, à une perte pour des mots. « Je suis désolé, I-- »

« Arrêtez votre bavardage, fille, » Thornback s'est cassé, son visage froissé dans un air menaçant. « Découvrez ! Immédiatement ! Nous voulons être sur le notre étions aussitôt que possible ! »

La fille a incliné la tête rapidement, engloutissant. « Oui monsieur ! » Alors elle avait tourné et s'était sauvée la salle à la recherche des réponses qui ont été exigées de elle.

« Je devrais rapporter cette fille, » Thornback ai reniflé dédaigneusement, regardant extrêmement maussade. « Ne réalisant pas son travail à tout-nous allons être en retard à coup sûr ! »

M. Weasley avait entendu asse'à ce sujet. « Ce n'est pas son défaut (« la pauvre fille »), et ne s'inquiète pas. Nous ne sommes pas programmés pour partir pendant un moment maintenant. Ce que je voudrais savoir est qui cette personne était qui à gauche en avant de nous… »

Le rhum a gesticulé, croisant ses bras au-dessus de son coffre. « Ne savez pas… Mais il doit avoir été quelque chose décidée à la dernière minute, parce qu'autrement nous aurions pour savoir, droit ? »

M. Weasley n'était pas sûr, mais celui qui que cette personne était… de façon ou d'autre M. Weasley a eu très, sentiment très mauvais…

« Magie de l'aube du temps », chapitre VII : « Magie antique : Magie de la sorte la plus puissante »

La magie n'a pas été toujours armée par une baguette magique. La vieille magie (également désignée sous le nom de la magie antique ; voyez que le chapitre I) est magique qui n'est pas moulé par un magicien ou une sorcière avec une baguette magique. Ce fait partie du « magique-ness », si vous, de l'univers. Bien que la magie wandless soit habituellement vue comme type de réflexe pendant des périodes du danger ou de l'effort émotif, quelques charmes très complexes peuvent être par distraction moulés pendant le plus grand des situations. Il y a un certain nombre d'exemples :

Le lupin a écrémé par celui passe, lisant. « Dévouement… Le dragon se cache… Cravates de sang de famille… Ah, il y a de lui. Le magicien colle… »

Quand un magicien sauve la vie d'un autre magicien, il crée un certain lien entre eux, une « dette de la vie. » Comme l'autre « magie antique », un magicien ou une sorcière n'a aucun contrôle des résultats finaux de ce lien. Cette magie ne peut pas être, ni détruit (certains indiquent même dans la mort, semblable cassé au « dévouement » ; voyez le premier exemple), et la quantité de « dette » requise pour finir la magie, finissant le lien, ne pouvez pas être accompli vers la fin de sa vie…

Le lupin a soupiré, doucement fermant l'arrangement de livre il de côté, continuant sa recherche par les livres abandonnés de Dorrey. Certains d'entre eux étaient bons tranquille. Pitié qu'il a laissée dans une telle hâte…

« Où êtes vous allant, Remus ? »

Le lupin a pensé qu'il s'était déplacé assez tranquillement pour ne pas réveiller son ami de sommeil, mais évidemment il avait tort. Sirius le regardait maintenant d'une manière dont a suggéré qu'il ait observé le lupin pendant quelque temps maintenant, ses longs, foncés cheveux un désordre embrouillé de des nuits évidemment changeantes de sommeil. Sirius a semblé épuisé avec les cercles foncés sous ses yeux. Il n'a dit rien, attendant le lupin pour parler d'abord. Ainsi il a fait.

« Vous avez dormi du tout, » lupin demandé. « Vous regardez un désordre. »

Sirius a ignoré ce commentaire, l'observant toujours. Des « cauchemars, je devine. Mauvais rêves. »

« Environ ? »

« Ne peut pas se rappeler, exactement. Là où êtes vous allant ? »

« Je vais déjeuner dans le grand hall. » Ceci l'a rappelé de façon ou d'autre de redresser ses robes longues un peu, essayant d'apparaître comme fini comme possible. Les elfes de maison avaient été assez aimables pour les nettoyer pour lui la nuit dernière, et leur omettent pour lui ce matin. « Pendant qu'un professeur je devrait au moins être présent à la table principale, ne convenez-vous pas ? Et je suis en retard déjà. » Il ne s'est pas senti comme parler beaucoup à Sirius, pas après ce qu'il a dit. Il pourrait être ainsi dirigé chaud, il était incroyable. « Je serai sûr de t'apporter quelque chose manger dans l'heure, bien ? Obtenez encore plus de sommeil. »

« Je n'en ai pas besoin, » Sirius ai insisté, se tenant de son désordre des couvertures et enroulant la robe longue étroitement autour de se comme il étaient froid.

« Oui, vous faites. Vous êtes inutile à n'importe qui si vous êtes à moitié endormi. Et vous ne pouvez pas quitter cette pièce du tout aujourd'hui, Animagus ou autrement. Avec le ministère environ, Auror ou pas, vous ne pouvez pas prendre le risque. » Il a trouvé ce qu'il recherchait, cette addition d'années du manuel de DADA. Professeur Dorrey de pensée de lupin aurait un de ces derniers s'étendant autour quelque part. Il a mis le livre sous son bras et a marché de façon constante à la porte, ne faisant pas une pause pour prendre même un regard chez Sirius. « Je vous verrai plus tard-- »

« Remus, je suis désolé au sujet de ce que j'ai dit… »

Ceci a fait le lupin s'arrêter juste comme il atteignait dehors pour la poignée de porte, sa perte de vitesse de main juste au-dessus de lui. Vous savez qu'il a signifié quelque chose quand le noir de Sirius a fait des excuses pour ses propres comportement (irrationnel). Ce n'était pas juste sa « chose ». Le lupin n'a pas regardé en arrière encore quand il a demandé, « sont vous… ? »

« Oui. Regardez, je déteste Snape, I vraiment que faire-vous savez que je fais… Pas même un lien de magicien peut changer cela… » Le lupin était sur le point de présenter ses observations sur ceci, mais Sirius continu, « mais… Puisque je n'ai pas un choix dans la matière… Je…, » il tendais avec les mots, maintenant, « j'essayerai de lui être civil… bien ? »

Le lupin a pu aider mais rire, regarder en arrière Sirius maintenant. « Civil ? Ma qualité, Padfoot, au-dessus de qui est et au delà de vos normes habituelles. »

Sirius a gesticulé, semblant contrarié. « Je suppose que je ne peux pas casser ce lien, peux I… ? » Le lupin a secoué sa tête dans la réponse, et Sirius a laissé dehors un gémissement torturé. « Au moins je ne suis pas seul en cela… Avec vous et James… » Alors il a croisé ses bras, ensemble de visage. « Bien, s'il peut le placer de côté juste, que moi peux, au moins… Il me fera aucun bon si je laissais que le git pompeux tirent le meilleur parti de moi, est là ? »

Le lupin a juste secoué son chef, soupirant. « Je vous verrai, Padfoot. »

« J'attendrai bien ici, rêveur. »

« Oh, » lupin arrêté, des doutes… « Il y a un livre là-bas sur la table, « magie de l'aube du temps ». Vous devez essayer de le lire autrefois… »

Alors avec un petit sourire, le lupin a fermé la porte derrière lui…

James avait été donné un ensemble de robes longues à l'usage, comme il avait le jour avant. Mais à la différence des robes longues il a porté hier, ces robes longues n'ont pas eu le joint de Gryffindor brodé sur l'avant, le gilet de chandail était gris plein, et sa cravate était noire.

La couleur du deuil…

Il a soupiré pendant qu'il ajustait la cravate, des yeux se tenant le premier rôle en avant dans le miroir réglé sur son nightstand. Il ne pourrait pas se rappeler la dernière fois où il avait attaché une cravate, mais elle a semblé comme tellement il y a bien longtemps… La couleur était un rappel horrible de ce qu'il avait perdu seulement il y a des jours…

« Madame Pomfrey, quand le ministère arrivera… ? »

Madame Pomfrey a recherché des serviettes qu'elle était se plier, pensant pour un instant. « J'ai été dit qu'elles devraient être ici en peu d'heures… Après déjeuner, je crois. » Alors elle a demandé, « est là quelque chose que vous avez besoin, M. Potter ? »

« Aucun… non, merci. Je me demandais juste. » Il se demandait également quelles questions ils lui poseraient, si quels… Voudraient-ils savoir il avait été réduit dans son combat avec Voldemort ? Comment il a été aveuglé par la fumée… ? Comment le premier projectile du seigneur foncé avait-il brisé sa baguette magique et son poignet ? Ou comment a-t-il obtenu une entaille du côté de sa tête quand il s'est laissé tomber au plancher… ? Naturellement ils auraient besoin d'une certaine sorte de confirmation de ce qui était dans le songeur… « Je ne pense pas que j'aurai besoin de toute autre chose. Merci de ces vêtements… »

Madame Pomfrey a incliné la tête, souriant avec bonté. « Je dois juste laisser tomber quelques uns de ces derniers au loin dans la prochaine salle. Vous serez bien ? »

James a laissé dehors un petit rire. « Je suis certainement capable par me, Pomfrey, vraiment. Je suis adulte. »

Elle a incliné la tête encore. « Naturellement. » Alors elle a balayé de la salle, une pile de serviettes dans des ses bras. Madame Pomfrey serait pour toujours une poule de mère à ses brevets, quoiqu'il se soit senti parfaitement bon. S.M.… Elle n'avait pas changé un peu après toutes ces années.

James s'est tenu le premier rôle après elle, puis a regardé en arrière sa réflexion dans le miroir. Il a froncé les sourcils, évoquant une main à ses cheveux… C'était un désordre sanglant, comme d'habitude. Il du tout n'a pas été étonné que Harry s'est avéré justement hériter de sa coiffure plutôt sauvage et tout à fait frustrante…

Il y avait le bruit de bruir derrière lui, puis le bruit d'un écran de lit étant déplacé le long du plancher en pierre. « Cessez de primping, potier, il est écoeurant. »

James a presque sauté de sa peau et il tournent autour, entaillant. « Severus ? ! » Assez Sure, c'était Severus Snape ! Il s'asseyait dans un lit dans le coin lointain de la salle (cachée loin, le pauvre camarade…), habillé dans le pantalon de pyjama et une chemise ouverte, son coffre enveloppé abondamment avec des bandages. Son air menaçant n'avait pas changé du tout…

Snape a roulé ses yeux à l'expression choquée de James, grognant pendant qu'il redressait le sien en arrière. « Étonné ? »

« Je n'ai eu aucune idée vous où ici, » James a admis, se sentant comme un idiot complet et total (naturellement il ne devrait pas dire Snape qui, il conviendrait probablement…). Mais il s'est également demandé comment Snape est parvenu à rester là le temps plein sans faire un sain…

« Aussi averti que jamais, il semble, » Snape a murmuré sèchement, soigneusement obtenant à ses pieds et atteignant pour la robe longue s'étendant à travers une chaise, qui était également derrière l'écran avec lui. Il a sélectionné dedans vers le haut et a commencé à le mettre dessus, ses yeux sur James le temps plein. Il a fait un visage. « Cessez de se tenir le premier rôle à moi comme cela. Il n'est pas comme je revenais des morts. »

Ce dernier par commentaire James cassé sien de nouveau dans la réalité, et a croisé ses bras, fronçant les sourcils. « Aussi de bonne composition que toujours, êtes vous, Severus ? »

« En effet. »

Alors James s'est rappelé que quelque chose le lupin lui a indiqué hier…

/James était ont un temps merveilleux parler au lupin, découvrant de nouvelles choses au sujet de son fils. Il était environ quinze minutes dans la conversation quand Severus Snape a été apporté vers le haut. Comment il était le maître de breuvages magiques chez Hogwarts. Au sujet… d'autres choses… « Il avait protégé pendant longtemps Harry maintenant. »

James était un peu davantage que choqué au sujet de ceci. « Harry… ? Vraiment ? » Le lupin a incliné la tête. « Mais pourquoi ? Il m'est toujours détesté »

« Je ne peux pas être sûr, James, mais vous savez… Je suppose que c'était sa manière de l'essai de compenser sa « dette » à vous… Vous avez été allé, et il n'a jamais eu une chance de vous payer en arrière… a fait il ? »

« Je devine pas… »

« Mais ne vous inquiétez pas. » Le lupin a souri. « Honnêtement, il n'est pas aussi mauvais qu'il semble. Il a sacrifié beaucoup pour notre cause… Nous sommes tous la combattons toujours, James. Severus ne peut pas être l'âme la plus aimable, mais il est l'un de « nous » one-way des autres… »/

James était silence pendant une minute, de même que Snape (il a cependant semblé plus heureux que manière), mais il a finalement dit. « J'ai voulu vous remercier, vous sais… »

Snape lui a donné un regard, reniflant. « Remerciez-moi ? Pourquoi jamais devriez-vous faire cela ? S.M. ? »

Oh doutes, peut-être une autre heure… Snape n'était jamais la personne la plus facile à parler à. « … ne vous occupez jamais, Severus… »

« Non, je voudrais vraiment savoir. Après tout, vous avez déjà remercié soyez assez déjà. » Il a fait des gestes à sa blessure bandée.

James a grimacé, cependant pas complètement sûr de ce qu'a voulu dire il. Mais là semblé être seulement une chose logique à dire, ainsi lui l'a dite. « Je suis désolé… »

Snape a soufflé. « Vous êtes désolé ? Ah, je suppose je devrais penser qu'un simple « je suis désolé que » fixe des choses ? Tout que vous « été par » vous certainement n'avez pas changé du tout. »

James n'a pas pu aider mais sentir coupable, mais également a très ennuyé. « Et vous évidemment n'ont pas changé, non plus. Gémissant toujours au-dessus de quelque chose qui s'est produite… ce qui… ? Combien de temps a-t-il été ? Sur il y a dix-sept ans ? »

L'oeil de Snape a contracté à ceci. « Même après que le sauvetage de votre vie où rien n'a changée, » il a sifflé. « Après toutes ces années, je suis encore enchaîné à vous, potier. Je vraiment ne peux pas voir pourquoi ma dette n'a pas été payée, après s'être occupé de votre fils pathétique toute cette fois. » James a gelé à la mention de son fils, et Snape a semblé prendre sa réaction comme encouragement, souriant d'un air affecté. « Et vous presque avez pris ma vie avant. J'ai su que vous n'étiez pas vraiment tout que vous avez semblé, bien que vous ayez probablement voulu le garder que manière, n'a-t-il pas fait vous ? Montrant vos couleurs vraies enfin, potier ? »

/« Vous êtes l'une d'entre elles, aussi ? Je devrais avoir su… Vous de toutes les personnes. » Snape l'a détesté, naturellement il a fait. Snape l'a voulu des morts, il a eu aussi. Il a toujours eu.

« Tuez-le… »

« Tuez-le avant qu'il vous tue d'abord… »

« Il est » de mangeur de la mort…/

James a secoué sa tête brusquement, des images clignotant dans sa tête. Mémoires des événements renvoyés qui s'étaient enterrés de façon ou d'autre. Il a voulu oublier encore… « II ne le savent pas de ce que vous parlez, » a murmuré défensif. Snape essayait juste de salir avec sa tête, comme il employait toujours à. Cependant, cela n'avait avant jamais fonctionné… Pourquoi ne peut-il pas garder une tête fraîche maintenant… ? « Dammit, pourquoi ne peux pas je battre en retraite ! ? »

Les yeux de Snape ont tiré au loin, clignoté sa colère. « Vous oubliez facilement, faites-vous, » il a demandé, le calme mortel. « Alors je suppose que vous ne vous rappelez pas comment j'ai obtenu ceci ? » Il a fait des gestes aux bandages qui ont presque totalement couvert son torse haut et inférieur. Les bandages étaient peu des roses autour du milieu de…

/He n'a pas eu besoin d'une baguette magique pour blesser… de Snape/

James a rapporté une mesure, les mémoires de ses propres pensées malveillantes faisant à sien la sensation dégoûtée… Il a vraiment pensé cela… avant…

/Prongs, sang, hurlant,… criard/

« Je… ne peux pas me rappeler. » « Non, je juste ne veux pas me rappeler… Pourquoi est ce qui revient maintenant… ? »

Snape l'a regardé soupçonneusement, tenant plus droit qu'il a eu, semblant victorieux et prudent. Pour penser, après toutes ces années, Snape ne l'a pas détesté moins. « Vous vraiment ne vous rappelez pas, ne vous faites pas ? » Il n'a pas semblé convaincu dans le plus léger. « Si c'est vrai, pourriez-vous juste se casser encore à tout moment, n'est-ce pas ? Vous rappelleriez-vous cela du tout, S.M. ? Vous pourriez blesser quelqu'un comme vous m'avez fait. Comme vous a fait vos petits amis… »

/« Arrêt il, James ! »

« JAMES ! »

« Étourdissez ! ÉTOURDISSEZ ! ! »

« Je les tuerai, » James ai poussé des cris perçants, luttant. « Laissez-moi partir ! ! Je vous tuerai pour ce que vous avez fait ! ! Je VOUS TUERAI… ! ! »/

James a pris une prise pointue de souffle, sentant une vague pendant que la nausée et sa tête commençaient à faire mal faiblement. Snape a continué à parler.

« Vous êtes encore dangereux, potier. Je sais que vous êtes, même si chacun est autrement trop aveugle pour le voir. » Pour un instant sa tonalité était très sérieuse et non rancunière, taunting, ou essayant le mal. Il employait juste la vérité, ou ce qu'il a certainement pensé pour être la vérité. « Une fois que vous la réalisez, puis peut-être vous pouvez faire quelque chose l'arrêter avant que quelqu'un obtienne tué. Vous ne voulez pas le sang sur vous des mains, vous faites ? »

« Ne pourrait pas… » Il a rapporté une autre mesure, se cognant dans le bord de son lit. Puisqu'il ne pourrait être de retour plus, il s'est assis sur le bord de lit, se tenant le premier rôle blanc en avant. « Je ne pourrais pas jamais blesser n'importe qui comme cela, je ne pourrais pas… »

/« Obtenez outre de moi, potier ! ! Obtenez l'ACK ! » Snape a lutté, essayant de s'échapper des mains enroulées étroitement autour de sa gorge. Il a haleté pour l'air.

James n'a pas pu aider mais se sentir satisfaisant, voyant Snape obstruer à la mort.

Il a pensé à l'essai de casser… du cou de Snape/

« Il n'était pas moi, il n'était pas moi ! »

Snape a été regardé immensément a maintenant fait tic tac au loin. « Naturellement c'était vous ! Ne le voyez-vous pas, potier ! ? Vous êtes le danger ici ! Vous, et seulement vous ! Wake-up et réalisez ce fait déjà ! »

« Aucun… » Le « non, celui n'a pas pu être exact… Il ne pourrait pas… Il ne pourrait pas… »

Hors du coin de son oeil, il pourrait voir le miroir sur le nightstand. Mais dans le miroir était non sa propre réflexion, mais les femmes, l'étranger familier de ses rêves… Sourire…

Le visage du lis de port de chose…

James à peine noté comme monde commencent à noircir dehors autour de lui.

Snape ne pourrait pas l'expliquer, mais même pendant qu'il se tenait faisant face à James, l'air autour du sien a décalé… Il était impair et difficile d'expliquer, mais il s'est développé plus froid dans la chambre et quelque chose dans les yeux du potier s'est développée plus froide avec elle…

Il n'a pas même su pourquoi il a commencé à crier au potier en premier lieu. Peut-être c'était les quatorze années où il avait été lié à lui, même après le sien la « mort » supposée. Avoir ce poids sur ses épaules. Peut-être c'était l'occasion réellement « de donner un coup de pied » le potier tandis qu'il était vers le bas, l'observant tortiller. Mais d'une manière ou d'une autre, utilisant la « vérité » était la plus grande arme de tous. Le potier de James ne pourrait pas se cacher de ses propres crimes, juste comme Snape ne pourrait pas se cacher de ses propres. Le potier a dû faire face à la réalité, réalisent ce qu'il a fait, réalisent le danger qu'il pose pour chacun autour de lui. S'il devaient avoir un autre épisode comme avant…

Snape était sur le point de dire autre chose, voyant car James s'était reposé là dans le silence trop longtemps, mais d'autre part soudainement James l'a battu à lui, marmonnant que quelque chose Snape ne pourrait pas tout à fait faire dehors.

Snape a froncé les sourcils. « Ce qui ? » Il a observé le potier, dont les yeux s'étendent sur son nightstand. Il a touché la surface en bois comme si s'attendant à quelque chose être là. « Ce qui vous ont fait pour dire, » Snape a demandé, ne prenant pas la peine de cacher son impatience.

La « baguette magique, » potier répété, marmonnant toujours, mais cette fois Snape a pu le faire dehors. « Où est ma baguette magique… ? » Les yeux du potier se sont rétrécis, mais un sourire affecté tordu est apparu sur ses lèvres. « Vous l'avez enlevé, n'avez pas fait vous ? »

Les propres yeux de Snape se sont rétrécis pendant qu'il observait le potier étroitement, soudainement très circonspect de l'homme. Mais pourrait-il probablement faire pour lui nuire maintenant ? « Non, » Snape a indiqué acide, « je n'ai pas fait. » Il a pensé pour un instant, puis a dit matière-de-effectif, « j'imagine qu'un de vos amis étaient assez futé pour emporter vos seulement moyens de nuire à n'importe qui. »

Le potier n'a pas même reculé cette fois, et il s'est levé de son lit. « Je le dirais à peine mes seulement moyens de nuire… à n'importe qui. » Il a pris une mesure vers Snape, qui n'a pas déplacé un muscle. « Ollivander… M. Ollivander me l'a donné comme présent, vous voient… »

Un autre pas en avant, pourtant un Snape ne s'est toujours pas déplacé. Mais il s'est senti encore plus froid qu'avant. L'utilisation de potier était-elle une certaine sorte de magie sur lui… ?

« Je ainsi haine pour que quelque chose arrive à elle… » Le potier a incliné sa tête au côté, sien visage impassible pourtant curieux. « Vous me détestez toujours comme toujours, ne faites pas vous Severus ? Toujours si froids, si méchants, ainsi moyen… » Le potier a ricané, et à ce jour il était directement dans le visage de Snape.

Snape presque a été presque étonné. Il n'avait avant jamais vu une telle expression sur le visage du potier. Et, tout à fait franchement, il agissait certainement infiniment comme un Slytherin pour quelque raison… Mais naturellement, Snape était la tête de la maison de Slytherin…

« Si vous essayez de m'insulter, » Snape a indiqué sans à-coup, « vous êtes loin de lui. » Il avait entendu beaucoup plus mauvais venu des bouches de ses étudiants. Alors Snape a attendu le potier pour indiquer quelque chose, faire un retour, pour se défendre comme il employait toujours à.

Mais le potier de James a fait quelque chose très inattendue.

Pour un potier de moment des dents ont été grincées, il ont grondé, regardant le mal et comme s'il pourrait éclater dans des larmes (s'il faisait réellement ceci, Snape étaient sûres qu'il ne pourrait pas se garder de rire). Puis tous ce qui se sont fanés loin, et lui ont souri… Un gai, pourtant… mal (?) expression qui a envoyé l'épine d'un Snape de frisson vers le bas.

« Je travaillerai à elle, puis, » il a dit.

Puis, avant que Snape ait eu une chance de dire n'importe quoi, James avait tourné et a fonctionné de la salle, manquant étroitement Madame Pomfrey pendant qu'elle entrait par la porte. Elle a haleté dans le choc et est à peine sortie de la manière à temps, saisissant un certain nombre de fioles de breuvage magique à son coffre ainsi elles ne se briseraient pas au plancher. « M. Potter ! ? M. Potter ! Revenu ! »

Snape s'est juste tenu le premier rôle après lui, simplement choqué (bien qu'il n'admettrait pas cela dehors fort). Peut-être c'était son défaut dont le potier a coulé, mais il certainement n'a regretté rien qu'il avait dit… Peut-être le potier de James était en effet devenu fou encore… ?

« Qu'est produit ici ! ? Là où a fait M. Potter allez ! ? » Madame Pomfrey hurlait frénétique, mais Snape n'écoutait pas. Il s'est juste tenu le premier rôle au loin après l'autre homme, ses yeux maintenant rétrécis brutalement.

« Bondissez » ou pas, il n'a souhaité rien à mais le malheur arriver au potier de James…

Les cris étaient de retour.

La douleur était de retour.

Le lis était de retour… Elle était là, toujours. Mais non son lis… Ce lis dans ses rêves, chuchotant à lui, clignotant un sourire qui n'a jamais atteint ses yeux, les yeux qui soient pourrait reconnaître en tant que vraiment sien plus… C'était si douloureux maintenant… Mais néanmoins, à James, il était comme un rêve. Un cauchemar qui reviendrait toujours pour le hanter.

Rire…

Cris…

« Vous devez posséder l'enfer, garçon, vous devez posséder l'enfer, garçon, vous devez posséder l'enfer, garçon… »

Mais au moins, il va tout partir… Enfin…

Rire…

Hier, bien que personne à peine notés, les hiboux n'aient fourni tout leur courrier. La majeure partie du courrier avait été remise à plus tard, dû pour pleuvoir aussi bien que d'autres raisons qu'elles étaient sûres de trouver au sujet de ce jour…

Quand les hiboux ont hérité le grand hall que le matin, Hermione était le seul des trois d'entre eux pour obtenir n'importe quel courrier. Elle a reçu une lettre de ses parents, aussi bien que deux nouvelles copies du prophète quotidien (un daté pour hier, et de l'autre daté ce dimanche).

Pas à n'importe qui la surprise, presque chaque article a eu quelque chose faire avec les attaques de Dementor à partir du jour avant bout, aussi bien qu'un mystère au sein du ministère lui-même, qui a entouré une personne qui a pour être identifiée encore (seulement Harry, Ron et Hermione a su du tout ceci déjà). Il a également raconté une attaque sur un groupe de fonctionnaires de ministère qui avaient été attaqués par un groupe mystérieux… Dumbledore avait indiqué que l'école au sujet des la plupart de ceci hier pendant le dîner, et lui n'ont pas bien dépendu de la plupart des étudiants. Presque chacun a perdu leurs appétits…

Harry avait à moitié peur pour voir quelque chose écrite par Rita Skeeter une fois que toute la vérité sortait, mais si tout va bien peu de morceau de Hermione de chantage la maintiendrait dans la ligne… Plus d'une fois dans les articles a fait Harry voient des mentions de seigneur Voldemort et de mangeurs de la mort par rapport au Dementors… « Demandez-vous combien cela va effrayer des personnes… ? »

M. Ollivander a été mentionné, presque, comme un témoin de voir l'homme que le ministère avait recherché. M. Ollivander comme désigné sous le nom « du propriétaire à un petit magasin de baguette magique du souterrain de Londres » (M. Ollivander pourrait avoir préféré son nom réel ont été mentionnés… pour des raisons de publicité, naturellement).

Tandis que Hermione continu pour balayer par son (et parfois lisant à haute voix certains points qu'elle a trouvés intéressant) Harry de papier mangeait et Ron lu au-dessus de son épaule. Hermione n'était pas le seul avec cette copie particulière du prophète quotidien ; chaque table de maison dans le grand hall a eu au moins une lecture de personne il. Le Ravenclaws l'a trouvée la fascination. Harry, franchement, était malade et fatigué d'entendre parler de l'incident entier. Il a fait son estomac serrer et il obtiendrait des goosebumps. Il allait bien averti comment effrayer un Dementor pourrait être, mais pour faire attaquer un tout de dehors comme cela sur un secteur peuplé… C'était un signe des choses de venir.

« Il sorta rampant, vous savent ? » Le doyen a dit tranquillement à Harry. « Je vous veux dire, fais pense vraiment qu'il a n'importe quoi faire avec lequel… ? »

Harry n'a dit rien, et seulement gesticulé, tirant un regard rapide à Hermione et à Ron, qui ont reposé l'opposé de lui. Il a su que c'a dû être Voldemort, mais il n'a pas voulu effrayer son ami ou n'importe qui autrement… Après tout, la plupart d'entre eux pensée il pendant que quand elle est venue au sien la « cicatrice folle fait souffrir ».

« Qui vous supposent ce type sont, » quelqu'un le long de la table demandée. Harry a regardé et a trouvé que c'avait été Ginny, qui regardait une copie du prophète quotidien aussi bien.

Lee Jordanie s'asseyait à côté de Fred, parlant excitedly à tous les deux lui et George. « Il pourrait être quelqu'un nouveau, vous pensent ? »

Est-ce que « ouais, » le doyen a dit, « veux dire, vous n'ai-je pas les mêmes criminels maintes et maintes fois, bien ? Elle obtiendrait juste le sondage sanglant, pas elle ? »

Seamus a roulé ses yeux. Le « doyen, ceci n'est pas une exposition de TV de Muggle, vous savez. »

« Vous le pensez est dangereux, celui qui qu'il est, » une autre année de Gryffindor quatrième, Natalie MacDonald, demandé Ginny, regardant peu un nerveux. « N'était pas votre frère attaqué… ? »

Ginny a incliné la tête faiblement, regardant vers le bas son plat tristement. « Mon frère… Il était dans le groupe qui était attaque… Caverne dans… Mais il est très bien maintenant, honnêtement. »

À entendre ceci, Hermione a gelé, ses yeux sur Ron. Harry avait fait la même chose, sa fourchette se laissant tomber de sa main et frappant la table avec un cliquetis fort !

« Vous êtes frère avez été attaqué, » Hermione avez pleuré, horrifié. « Quand ? ! »

« Vous ne nous avez jamais dit que, » Harry a ajouté, également déconcerté par ce fait.

« Est il bien ? »

« Ce qui s'est produit ? »

Ron avait tourné aussi le rouge que ses cheveux, bien que regardé a élevé quand il a vu que toute l'attention avait été tournée à lui (bien, et le reste de la séance du Weasley à la table…). Il a aimé l'attention, mais ce n'était pas la sorte d'attention qu'il a voulue avec un tel soumis… « Oh, heu, Charlie… a été blessé quand il était au ministère… Je pense qu'il essayait juste de rendre visite au papa après qu'il soit revenu de Roumanie pendant de petites vacances, et avec tout cela allant sur… »

Le « papa était dehors là, aussi, » George s'est ajouté aux personnes autour de lui quand Ron a traîné au loin.

« Il est bien, bien que, » Fred ait continué gravement.

« Ils tous les deux sont. »

« Il prend beaucoup plus pour réduire un Weasley ! » Fred a donné à Ginny un tapotement d'une manière encourageante sur le dos ; elle regardait toujours vers le bas son plat comme s'elle étaient au sujet du cri. Alors il s'est soudainement corrigé. « Bien, peut-être sans compter que leur mère, quoi qu'il en soit… » Ce commentaire a élu un rire bébête aussi bien ri sous cape ou deux de la table, et fait de Ginny, souriant avec reconnaissance.

Tandis que la conversation continuait pour d'autres, Harry se tenait le premier rôle toujours chez Ron. « Pourquoi vous ne nous avez pas dit ? »

Ron a décalé avec difficulté dans son siège, ses yeux dardant avec difficulté de Harry à Hermione, qui a regardé comme elle était sur le point de pleurer encore plus que Ginny aurait. « Aller était-il allumé beaucoup, savez-vous ? La nuit dernière, j'ai reçu une lettre de la maman… (« De sorte que soit ce qui était la lettre… ") je n'ai pas voulu qu'elle obtînt de la manière de n'importe quoi--«

« Obtenez de la manière de rien, » Harry a dit, peu brusquement. « Vous êtes famille est juste comme important que mine-comme n'importe qui ! »

Hermione avait placé une main sur le dos de Ron et frottait d'une manière dont a semblé soulageant, regardant vers le haut lui worriedly. « Êtes vous sure que vous êtes bien… ? »

Ron était probablement le seul à la notification que Ron avait élevé peu un plus rouge, un sourire contractant au bord de sa bouche. « Y-Yeah, je veux dire… L'amende juste de Charlie, maman a indiqué ainsi et tous… Je n'ai pas pensé que vous des types… » Il a traîné au loin incertain, ses yeux partant jamais vraiment de Hermione.

Harry se sentait comme la personne la plus cruelle sur la planète. Toute cette fois, continuant au sujet de ses propres ennuis de famille, et Ron ont eu certaines de ses propres tous le long de… « Ne gardez pas n'importe quoi de pareil de moi juste pour mon sac, Ron. Homme, je ne peux pas le croire… » M. Weasley et Charlie… Ils pourraient être morts… Comment Ron a-t-il pu être si calme à son sujet ! ?

« Ne vous inquiétez pas, » Ron a indiqué encore, souriant cette fois chez Harry, regardant à partir de Hermione pour la première fois. « Comme Fred a dit, il prend beaucoup pour prendre vers le bas un Weasley ! »

Il y avait une longue pause, puis une question posées davantage de de bas la table. « Vous le pensez est noir de Sirius ? »

« Aaaah, ne sont pas idiot, » Katie commenté Bell.

« Ils diraient juste ainsi s'il était, » Seamus ont convenu. « En outre, ils n'ont pas entendu du noir depuis qu'il était ici il y a quelques années, droit ? Il ne pourrait pas être lui ! Peut-être ils ne savent pas même ? »

Ceci a eu comme conséquence un jet de bas murmures sur la longueur de la table…

« Hé, regard à ceci ! » C'était le doyen, qui a eu une prise ou le journal de Hermione après qu'elle le place pour avaler. « Le ministère envoie censément certains au-dessus de demain… Pourquoi elles feraient n'importe quoi de pareil ? »

Harry, Hermione et Ron tous ont échangé les regards inquiétés. Ils n'ont pas aimé le bruit de cela, et ils ont certainement eu pour ne pas entendre parler de n'importe quelles personnes de ministère venant à Hogwarts de Dumbledore ou de n'importe qui autrement…

Neville a englouti en bas de son gruau, regardant soudainement nerveux, ses yeux s'élargissant. « Vous ne supposez pas que signifie que celui qui il est… Ils sont à cette école… ? »

Encore, une vapeur des murmures le long de la table, plus fortes différents cette fois et plus excité, et Harry, Ron et Hermione tous regards inquiétés échangés. Les tables de Hufflepuff et de Ravenclaw étaient entrées sur l'action aussi bien, et certains étaient venus pour se tenir, s'ajoutant à la conversation. Harry ne pourrait pas aider mais repérer Cho Chang (avec Ravenclaws Su Li et botte et Hufflepuff Mandy Brocklehurst de Terry) vers le bas à l'extrémité de la table près de Ginny.

Le Pinson-Fletchley de Justin se tenait maintenant avec le coin de Michael, l'Anthony Goldstein et le Wayne Hopkins, qui étaient venus de la table de Hufflepuff il y a un moment. Il était le premier à commenter directement Neville, l'énonciation, « qui peut être. Et là allait beaucoup hier, droite ? N'importe qui pourrait avoir glissé dans le château inaperçu, le noir de Sirius ou pas ! »

« Mais ce n'est pas noir de Sirius, » Harry a dit catégoriquement, essayant de cacher la défensivité dans sa tonalité.

Orla Quirke de Ravenclaw a demandé tranquillement, « puis qui, vous supposent ? »

Neville a sauté dans son siège pendant qu'une pensée venait à l'esprit, « vous la pensent est professeur Lupin ? ! »

« Aucune manière, » Ron et Harry les deux dits fort, entraînant beaucoup de paires de yeux être orienté sur eux encore. Ron a continué, « il aidait Snape et Hagrid avec des ces Skrewts, se rappellent-ils ? Il ne pourrait pas avoir ! » Il y avait marmonner de l'accord le long de la table. Hermione n'a été plus intéressé à la conversation, et de nouveau repris pour le livre, « le livre standard des charmes, évaluent 5 », commençant où elle a cessé le jour avant.

Ceci obtenait compliqué… Trop de personnes parlant, trop de maisons héritant ceci. Et le Ravenclaws faisaient une discussion hors de ce qui avait commencé en tant que conversation légère… Harry s'est demandé si le directeur dirait n'importe quoi arrêter ceci. Il a jeté un coup d'oeil vers le haut sur la table de corps enseignant, où Hagrid s'est reposé avec ses mains couvertes dans des bandages, et un siège du maître de breuvages magiques s'est tenu vide. Snape était toujours dans l'aile d'hôpital, et professeur Lupin avait déjà pris le même siège qu'il a eu il y a deux ans. Lui et McGonagall parlaient tranquillement. Personne n'a été terriblement choqué au sujet de son retour, certains où plus qu'enthousiasmé, mais il y avait beaucoup qui étaient moins qu'enthousiasmé…

Perdu dans la pensée, Harry prêtait à peine l'attention à la discussion continue.

« Correct, ce n'est aucun noir de Sirius, » ils avait convenu.

« Qui vous le supposent sont alors, huh ? »

« Oh, » est venue une voix snide et traînante juste derrière de Ron et Hermione, « il pourrait juste avoir raison sous vos nez… »

Harry a recherché brusquement, a effrayé, et a immédiatement fait un visage. « Malfoy… » Assez Sure, c'était Malfoy, flanqué de Crabbe et de Goyle.

Quelque l'autre Slytherins était venu aussi bien le long de la table, même la jointure dedans avec la discussion. Harry n'avait pas noté avant, mais a eu a jamais vraiment pensé que Slytherins étaient les types à joindre dedans sur des discussions avec d'autres maisons, mais il doit avoir eu tort. Elles ont semblé obtenir le long de… Bien, au moins avec Ravenclaw et Hufflepuff. Mais à la différence de ses autres housemates, le Draco a regardé comme il avait d'autres plans, des yeux réglés sur Harry.

Ceci n'a pas semblé bon. « Ce qui vous veulent, Malfoy ? » Harry dit impatiemment.

Le Draco a seulement ricané, ses yeux se rétrécissant brutalement pendant qu'il ignorait la question de Harry. « Mais vous savez probablement, ne faites pas vous, potier ? »

Harry a dû admettre, il était nerveux maintenant, sa main démangeant pour saisir pour sa baguette magique, juste au cas où. Il a eu un mauvais sentiment qui mangeait à son intestin…

« Ce qui sont vous parlant, » Ron a exigé, tournant dans son siège pour briller vers le haut à l'autre garçon. Même Hermione avait établi son livre et regardait le Draco, mais le garçon ignorait totalement les deux.

« Mon père a eu quelques choses intéressantes à me dire que, traînez. » Il a ondulé une lettre ouverte dans sa main, aucun doute la lettre dite du père du Draco. « Dites-moi que, êtes vous sure que c'est un tel mystère quant à qui cet homme est… ? »

Hermione a tiré Harry un regard circonspect, regardant presque effrayé tandis que Ron brillait juste vers le haut au garçon pâle. ses dents ont replié et des mains balled dans des poings. Harry pourrait sentir le sang se précipiter à son visage, sien nouage d'intestin. « Malfoy a su que… il a su… Et son père… Comment ? »

« Je vous ai entendu le connaître plutôt… bon… » Le Draco a continué, snickering (Crabbe et Goyle ont ri sous cape sourd- avec lui, pas vraiment sachant pourquoi).

Harry a détesté que le Draco se soit juste tenu là, l'observant ait sué… Beaucoup de personnes les observaient maintenant, attentivement, se demander ce qui continuait. Harry avait à cette heure déplacé ses mains sous cette table et a eu sa baguette magique de sa poche sans n'importe qui notant.

Alors le Draco s'est penché plus de dans la table, souriant d'un air affecté par mechanceté. Il a chuchoté de sorte que Harry ait dû tendre pour entendre (mais au moins personne d'autre), un « autre morceau d'ordures de potier, » il a craché. Est-ce que « mais je son esprit cassé comme une brindille, cela a entendu n'est pas exact, potier ? Tout le meilleur-- »

Harry ne pourrait pas l'expliquer, mais il était comme si quelque chose dans le dos de son esprit s'est cassée, juste comme le Draco a décrit son père, et la prochaine chose qu'il a connu Harry tenu et a saisi le collier de la chemise du Draco avec sa main gauche, sa baguette magique dans sa droite. Dans un rapide il pourrait--

« ÉTUDIANTS ! ! »

Effrayé par la voix éclatante, Harry et chacun autrement dans la chambre ont regardé d'un seul trait à la table principale, où Dumbledore et un certain nombre d'autres professeurs se sont maintenant tenus (professeur Lupin, McGonagall et Hagrid inclus). Les yeux de Dumbledore ont regardé très froids et sérieux pour un instant avant de se ramollir seulement un peu. Il a alors dit, « qu'assez cause pour maintenant. C'est un temps pour manger--À vos tables respectives, svp. J'ai peur que la table de Gryffindor ne soit pas appropriée pour rendre service à chacun de vous. Si vous satisferez le retour à vos sièges. »

Pendant le temps que Dumbledore a parlé, il était comme si chacun dans la chambre n'avait pas déplacé pouce, comme si dans une transe gelée. Mais une fois qu'il avait arrêté parler, il y avait une pause de moments avant que les choses se soient engagées dans le mouvement encore.

Quoique Harry ait souhaité il pourrait enseigner à Draco une leçon, il a su mieux. Il a laissé aller du Draco avec une secousse dure qui a incité le garçon pâle à trébucher avant de se redresser. Harry a finalement noté que le Draco a eu sa baguette magique déjà dans sa main aussi bien (peut-être il était le meilleur que Dumbledore ait parlé vers le haut de quand il a fait)… Sa habituellement porcelaine lisse, le visage blanc scrunched vers le haut avec fureur supprimée, sa secousse d'épaules. Le Draco n'a eu besoin d'indiquer rien, le venin dans ce regard fixe était assez… Crabbe et Goyle n'avaient pas déplacé pouce le temps plein (leurs esprits étaient probablement trop lents pour traiter ce qui se produisait assez rapidement). Le seul déplacé quand le Draco les a signalés pour suivre pendant qu'il égrappait en arrière vers la table de Slytherin avec ses autres housemates, certains dont où le tir jette un coup d'oeil sur Harry et Draco.

Ron a gardé un oeil étroit sur le Draco comme il est parti. Il s'était levé de son siège en même temps Harry saisi pour le Draco, alors que Hermione se tenait le premier rôle juste dessus dans le choc, de même qu'a fait beaucoup d'autres autour de eux. Très peu avaient jamais vu Harry tout à fait qui vraiment fâché… Et certainement assez non fâché être poussé à la violence aimez cela.

Quand Harry a recherché, il a également noté que professeur Lupin regardait vers le bas lui, sien visage illisible, alors que professeur McGonagall regardait dessus avec une expression très tendue. Le regard fixe de Hagrid était soigneusement verrouillé sur le Draco, ses œil au beurre noir observant le Slytherin soigneusement, soupçon écrit partout son visage. Dumbledore ne l'a pas regardé du tout, et cela ne s'est pas senti de façon ou d'autre exact, comme l'homme a été déçu dans lui…

« Harry ? » Ron a retenti comme inquiété comme Hermione a regardé. Ceux qui l'avaient observé autour de la table avaient élevé la tranquillité et n'ont pas rencontré son regard fixe. Mais évidemment, Harry avait été le seul pour attraper quelque Draco ait indiqué, heureusement… « Ne laissez pas que le grand prat t'arrivent, correct ? »

Harry a tremblé, un sentiment étrange venant au-dessus de lui. « Dejà vu »… « Je pas Ron. Désolé, Hermione… »

« Êtes vous ok, » Hermione a demandé doucement, comme s'elle parlaient à un petit enfant.

« Oui. »

« Vous ne semblez pas bien. »

« Je suis… »

Aucun il n'était pas, vraiment, mais heureusement ni l'un ni l'autre de ses amis n'ont demandé à toute autre chose de lui. Bientôt le reste de la table parlait encore, même Ron et Hermione commencent à causer, mais Harry n'a pas dit un mot.

Il a senti très le froid, comme ses veines a eu le peu du fonctionnement de glace cependant ils… C'était ce sentiment étrange du « dejà vu » qu'il a eu le jour son père est venu cette Veille de la toussaint. A-t-il fait ce moyen quelque chose… ? Était-il parce que le ministère venait, ou ce Draco a-t-il su son père… ? Ou a-t-il fait… ? Pourrait-il bluffer de façon ou d'autre… ?

Harry a seulement su une chose pour certain.

Les mauvaises choses étaient venir… rapide…

Elle avait ronflé à elle-même pendant qu'elle allait le long. Heure pour un changement de pas, à coup sûr… Heure de se déplacer sur, à quelque chose nouvelle et différente. Il y avait tellement de lui a pu l'explorer maintenant.

Il pourrait sentir quelque chose dans le ciel maintenant ; il est entré comme une marée, ils a écarté, seulement pour revenir encore plus grand, plus fort. Venez enfin…

« … L'orage… »

Heehee, temps de jeu…

Pour être continué…

Puits… ? À compliqué ? Trop détaillé ? Ce qui ?

Désolé au sujet de la commutation dans la POV. Un bon nombre de choses arrivent à un bon nombre de gens, savez-vous ? Mais que pensez-vous ? Et désolé pour les petits conseils et des instants de H/Hr, si vous des types ne l'aimez pas, qui est. Je ne te dirai pas que quels couples sont les vrais, vous allez devoir découvrir pour vous-même !

PASSEZ EN REVUE svp si vous pouvez !

Geuna

NOTE : Le magicien colle le lupin Snape de James Sirius (par ordre d'occurrence)

Snape est devenu limite à James quand il l'a sauvé de la forme du loup-garou du lupin il y a des années.

James peut avoir est devenu lié à Snape quand il a arrêté Lucius de l'attaquer, mais c'est incertain. Lucius n'était pas celui qui allait vraiment tuer James en premier lieu, bien qu'il soit allé laisser James au Dementors… (Trouvé (partie 1))

James et (par distraction) Snape sont devenus limite à Sirius quand il a attaqué le Dementors dans sa forme, gêne et affectivité d'Animagus les arrêtant d'effectuer le baiser sur l'une ou l'autre de elles. (Trouvé (partie 2))

Snape, Sirius et James sont devenus limite au lupin quand le lupin avait l'habitude son Patronus pour arrêter le Dementors de l'attaque. (Trouvé (partie 2))

Sirius est devenu limite à Snape quand il a sauvé Sirius d'être laissé et écrasé par le passage en pierre s'effondrant. (indiqué dans les Réunions : La route vraiment au réveil (partie de 3))

Une fois la manière ou des autres, chacun des quatre d'entre elles sont liées à quelqu'un… Dites-moi ce que vous pensez à ceci, je pourrait vraiment employer de l'aide.

Mon une question, cependant. Un lien peut-il vraiment durer, même dans la mort ? Dans cette histoire, peut-être le lien de Snape avec James a duré parce que James est jamais vraiment mort. Est-ce que mais à la HP par Rowling, ceci réserve est également vrai ? James peut ne pas être aussi mort que nous pensons…

Quand une bête est acculée, elle veillera à se cacher au point d'être invisible. Comme si c'était devenu un « fantôme », si vous. Il ne mettra pas sa vie en danger s'il a menacé, et il attendra jusqu'au bon moment pour ranimer ou s'indiquer dans des conditions plus sûres… » Il a souri d'un air affecté faiblement. « Je suis une bête, Sirius, je saurais, pas je ? »

Lupin Fanfiction « malédictions charmées » de Remus, réunions, par Madame Geuna

« En ce moment la colère de James est comme un monstre de sommeil, et toute cette colère suffira est d'attendre une chance de se libérer… … La colère fonctionne comme toutes autres émotions négatives. Elle cherche à détruire… Mais… La colère de James peut être quelque chose plus vraie que nous pourrions jamais imaginer… »

Lupin Fanfiction « malédictions charmées » de Remus, réunions, par Madame Geuna

Au-dessus de Hogwarts, le tonnerre a grondé. La foudre a allumé le ciel. La pluie suivrait dans quelques minutes. Hogwarts avait vu beaucoup d'orages récemment.

Certains ont pensé que les orages ne finiraient jamais…

Harry ne pourrait pas prendre ceci… Il était ridicule… Ainsi il avait décidé de faire son projet de charme sur des « baguettes magiques ». Ainsi ce qui ? Il a pensé réellement qu'il pourrait trouver quelque chose sur le sujet ! Il n'a pas aidé qu'il n'a pas dormi à toute la nuit dernière. Ce qu'il donnerait pour qu'une chance se repose… Mais le non, Hermione était insistant que le fonctionnement de leur projet aiderait à obtenir son esprit outre d'autres choses.

Et cela fonctionnait trop bien…

« J'abandonne, » Harry ai gémi, laissant tomber sa tête à la table. « Je ne peux trouver rien utile du tout… Je suis trop épuisé pour penser directement… »

Ron a regardé plus de de son propre travail, essayant de voir le livre que Harry a eu par le regard au-dessus de son épaule. « What've que vous avez obtenu jusqu'ici ? » Harry s'est assis vers le haut lentement et a supporté sa feuille de note, qui a seulement eu seulement trois phrases inutiles écrites là-dessus. Ron a sifflé, semblant sympathique.

Hermione recherchait de sa propre recherche aussi bien. « Ce qui est que livre que vous aviez lu ? »

Harry a gesticulé, renversant à la couverture pour clignoter le titre « 101 arbres de la Grande-Bretagne », et alors renversé lui en arrière ainsi il pourrait lire. « Pourquoi est-il un arbre appelé « la diable-canne » ? C'est de nom étrange sanglant si vous me demandez… »

Hermione a fait une pause, puis dit, « je n'ai aucune idée, mais je saurai assez bientôt. » Elle est immédiatement allée plonger par les charges des livres qui ont pris son propre espace de bureau.

Harry a regardé Hermione et puis Ron, constatant que son compagnon de roux a eu l'exact le même regard sur son visage. « Ce qui vous signifient, Hermione ? »

Hermione a souri de cette façon que Ron parfois fait rougissent (cependant il ne l'a pas su). « Le problème avec vous deux est que vous ne savez pas où regarder. Ainsi j'ai saisi l'occasion de en faire vous recherchant. Harry, vous devez rechercher les propriétés magiques du bois aussi bien que les noyaux de baguette magique. » Hermione finalement a apporté vers le haut un livre, avec étaient assez grands et environ deux po. d'épaisseur. Le titre le long de l'épine a lu « un guide pratique DES RUNES : Leur utilisation dans la divination et la magie ». Un certain nombre de marqueurs de page ont poussé dehors à partir du dessus.

Ron a badaudé. « Vous aviez fait la recherche pour lui ! ? C'est injuste ! »

Elle a donné à Ron un regard. « J'ai recherché l'information pour votre projet, aussi, Ron. »

« Oh… Bien puis. » Il ne pourrait pas aider mais grimacer une grimace qui a indiqué « moins de travail pour moi ! »

« Hermione, » Harry a dit, fronçant les sourcils, « vous vraiment ne devriez pas avoir… » Bien qu'il pourrait vraiment employer l'aide… Il ne pourrait pas sembler penser directement récemment… Urgh, il a dû obtenir son acte ensemble pour son O.W.L.s ! Les examens n'étaient pas que lointain (car Hermione était assez bon pour le rappeler… chaque jour aucun moins.).

« Je ne devrais pas avoir, mais j'ai fait, » Hermione ai parlé d'une voix traînante, renversant le livre ouvert d'une des pages marquées. « Mais j'admets qu'il est vraiment étonnant ! Écoutez ceci ! »

« « Toutes les parties de l'arbre sont toxiques excepté la bâche charnue de la baie. Longtemps lié à la magie, à la mort, à la renaissance et aux runes, l'if peut être l'arbre vieux-vécu dans le monde. Des ifs antiques peuvent être trouvés dans les cimetières partout Grande-Bretagne. Puisqu'ils sont trouvés partout en yards d'église, ils sont considérés les « arbres de la mort ! Est-ce que » » bien, ce n'est pas qui fascine ! ? «

Ron a grogné, alors que Harry s'asseyait vers le haut attentivement.

La « baguette magique de Voldemort était « if », » Harry a pensé…

Hermione a continué. « « L'if peut être employé pour augmenter des capacités magiques et psychiques, et pour induire des visions. » Mon, réellement ce type en bois semble-t-vous tout à fait dangereux, ne pensez-vous pas, Harry ? «

Le « if aiment le cimetière par la tombe du père de seigneur Voldemort's… Là où Cedric… »

« Harry, » Hermione a répété encore, « sont vous écoutant ? »

Harry a englouti, inclinant la tête. « Heu, oui. Tout à fait dangereux… »

« Êtes-vous bien, Harry ? Vous regardez terriblement pâle. »

« Heu--Je suis très bien ! Lisez encore plus. » Il a finalement eu le sens de sortir une cannette et de commencer à écrire ceci.

« Bien… Ah ! Votre baguette magique est faite avec le houx, corrigent ? » Elle a soulevé vers le haut le livre encore, balayant au-dessus des pages. « « Le houx est associé au symbolisme de la mort et de renaissance de l'hiver dans le savoir. Dans la légende Arthurian, Gawain (représentant le roi de chêne de l'été) a combattu le chevalier vert, qui a été armé avec un club de houx pour représenter l'hiver. » (« Mon, c'est juste comme vous, Harry ! ") « le houx indique a dirigé l'équilibre et la vigueur combattre si la cause est juste. Le houx peut être employé dans les charmes devant faire avec le sommeil ou le repos, et soulager le passage de la mort. » «

Ron a roulé ses yeux. « Je pense que vous déployez loin trop d'efforts dans ces projets, Hermione… »

« Non-sens ! Je mets simplement mon énergie à l'bon usage ! »

« Vous êtes bloody bon apprenant la langue latine de totalité ! »

« Je ne suis pas, » Hermione ai pleuré défensif ! « J'apprends simplement à peu de fondations ! »

Le projet de Hermione était sur les incantations magiques, qui toutes ont été basées sur le latin. Elle était assez bonne avec des incantations déjà. Après tout, elle avait créé qu'un charme, « Impervius », qui a repoussé l'eau. Il y a une semaine dans le grand hall pendant le déjeuner, Ron a indiqué qu'il a voulu essayer d'inventer son propre charme, parce que ce qu'il a compris de vous pourrait jeter juste tous les vieux mots latins ensemble pour faire une incantation. Hermione a insisté sur le fait qu'il n'était pas vrai, et la preuve son point, elle a soulevé sa baguette magique dans une direction aléatoire (la table de Slytherin) et a dit le « fortem de sternit ! »

Naturellement, il y avait un accident fort et un hurlement, et presque chacun dans la chambre a regardé pour voir que Crabbe était littéralement tombé au plancher, et il ne pourrait pas se lever. Une heure plus tard Hermione s'était rendu compte que le « fortem de sternit » signifié lâchement dans le latin « l'homme fort est frappé en bas de »… Harry a souhaité il ait signifié que « l'homme faible est frappé en bas de », puis peut-être le Draco serait tombé à plat sur son visage.

« Ce qui vous ont sur votre sujet, Ron, » Harry a demandé.

Ron a rougi. « Heu… ici… » Il a atteint dans son sac et a tiré quelque chose, la remettant à Harry. Elle a ressemblé… au papier listing ?

« « Votre ordinateur est-il possédé par une entité ? », « Harry a lu. « Ron… C'est à partir d'un ordinateur de Muggle… Au sujet des ordinateurs… »

« « L'Internet », » il a dit excitedly. Le « papa l'a trouvé pour moi ! J'ai pensé qu'il ferait vraiment frais, savez-vous ? Je n'ai pas su que les fantômes et les choses posséderaient des machines de Muggle ! Je veux dire, je sais qu'elles peuvent posséder des personnes, je pensent… »

Hermione a saisi les papiers de Harry, le lisant au-dessus d'elle-même avant de renifler avec indignation. Elle a lu à haute voix, « « tandis que l'ère des ordinateur a déclenché beaucoup d'avances, il a également ouvert une nouvelle porte par laquelle les entités et d'autres créatures foncées peuvent entrer pour corrompre votre ordinateur et votre esprit »--Ron, vous ne pouvez pas probablement croire ce non-sens. Et s'il est d'une source de Muggle (« et c'est le plus certainement une source de Muggle »), je ne pense pas que c'est une information exposée… »

Soudainement Harry a laissé dehors un bâillement très fort et très grossier, sa main à peine étant soulevée à temps de couvrir sa bouche. Il a clignoté loin les larmes qui ont humidifié ses yeux, marmonnées demi d'excuses étouffées.

Ron lui a donné un regard. « Vous vraiment n'avez obtenu aucun sommeil vous avez fait ? Allons, Harry ! Vous devez dormir une fois et un moment ! »

Hermione a froncé les sourcils. « Vous n'aviez pas dormi ? »

« Il s'étend juste dans le lit toute la nuit. Je ne l'ai pas vu tomber endormi une fois pour les couples passés des jours. Je me demande parfois s'il dort jamais du tout. »

Harry était sur le point d'ouvrir sa bouche pour protester quand Hermione l'a battu à lui. « Normalement je ne dirais pas ceci, mais je ferai une exception, juste ceci une fois. La recherche peut attendre, vous doit se reposer. »

La pensée de son lit gentil, confortable, chaud a semblé vraiment grande… La pensée de la marche toute la manière de nouveau à la tour de Gryffindor était une autre chose… « Mais »

« Mais rien, » Ron n'a indiqué. « Ne vous portez pas légèrement, homme. Je monterai et vous réveillerai avant le déjeuner, bien ? »

À contrecoeur, demi d'endormi, Harry a convenu, faiblement inclinant la tête sa tête. « Je devine que vous avez raison…

« Oh, et le contrôle dehors ce livre avant vous disparaissent. » Hermione a fait des gestes au livre qu'elle avait trouvé pour lui. « Vous pouvez l'employer pour la recherche dans votre temps libre. »

Harry a supprimé le recommander de gémir cette fois…

Avec un grognement d'effort, il a accueilli vers le haut du livre ridiculement massif et a commencé à le porter vers le bureau de contrôle. Honnêtement, comment Hermione a-t-il pu supporter ces choses autour toute la journée ? Urgh, il était trop fatigué pour ceci…

Ron a observé Harry partir et avant la rotation de nouveau à Hermione. En fait, il a aimé être seul avec elle, parfois. Maintenant il a semblé très important qu'ils aient obtenu une certaine « seule heure ». Et après avant quel M. Potter avait dit le jour, Ron était sentiment affligé.

Bien, il commençait juste à se sentir meilleur au sujet de la chose entière de Victor Krum à partir de l'année dernière… Hermione a eu pour dépenser la moitié de ses vacances l'été dernier à sa maison, mais il n'avait pas été quelque chose au delà de l'amitié (ou ainsi elle a dit…). Il a essayé de ne pas être soupçonneux au sujet de l'issue entière, mais parfois il était juste trop difficile !

En attendant, Hermione ouvrait un autre livre qu'elle avait trouvé, qui n'était pas presque aussi grande que l'un Harry avait pris avec lui quand il est parti.

« Est ce ce que vous devriez connaître des entités, » Hermione a dit aigu, écrémant par le livre qui a distinctement indiqué « la voix du Shaman » sur la couverture. » 'On s'est produit quatre types différents d'entités qui compromettent la santé globale : Deux de ces derniers--obscurité et entités--ayez les similitudes.

« L'obscurité a la volonté, est adroite, a sa propre conscience et l'intention pour causer la douleur, la colère, la violence, la crainte et la souffrance qu'elle alimente dessus (« des bruits presque Slytherin-comme, ne fait-elle pas ? ").

« En revanche, les entités sont « pensée humaine forme » qui n'ont aucune volonté…. Les entités, ne pas être confondu avec les fantômes, sont la vibration énergique résiduelle de l'émotion négative forte et pensée qui sont alimentés par emoting sympathique de ceux qui entrent en contact avec elle. Les entités n'ont aucune conscience et absorbent simplement une fois non alimentées… »

D'ici elle a continué à lire dessus tandis que Ron continuait de considérer.

Ron s'est demandé quel Hermione penserait à lui est lui lui a dit… Qu'elle était… vraiment… assez…

Urgh, Fred et George ne le laissent jamais vivre que vers le bas…

Quand Ron a finalement dérivé à partir de ses pensées, Hermione lisait toujours. « « Le troisième type d'entité résulte des personnes mourant »… Hmm… » Elle avait traîné au loin toute seule, puis avait recherché. « Vous vous occupez de si je lis ceci à me pour un instant ? » Ron n'a secoué sa tête « non » et Hermione a souri et a commencé à lire tout de suite. « Vous devriez être lecture cette vous-même, vous savez. »

« Je sais… » Il a soupiré silencieusement, observant Hermione…

S.M., M. Potter avait pensé qu'elle était l'amie de Harry… Harry ! Bien, ce n'était pas vraiment une idée horrifiante ou quelque chose, mais lui feutre sûr comme lui… Pourquoi cependant… ? Ainsi Ron n'a pas eu un os romantique dans son corps (dans la mesure où il se rendait compte, quoi qu'il en soit…), et peut-être il n'était pas tout et beau et héroïque et célèbre comme Harry, il pourrait au moins faire son meilleur… Mais ensuite ce fiasco entier de boule de Yule l'année dernière… Peut-être il n'avait pas été aussi gentil qu'il pourrait avoir été…

/« Hermione, le droit de Neville--vous êtes une fille… »

« Oh repérée bonne, » elle a dit acide. /

/« Juste parce que cela t'a pris trois ans à la notification, Ron, ne signifie pas que personne d'autre m'a repéré suis une fille ! »/

Sure, peut-être il n'avait pas fait grand cas d'un effort de changer n'importe quoi, mais peut-être il devrait avoir. Peut-être il devrait en ce moment.

« Hé, Hermione ? »

« S.M. ? » Elle n'a pas recherché de son livre, mais elle écoutait.

C'était une autre chose merveilleuse au sujet de Hermione. Ah, naturellement Ron bien qu'elle ait été une personne remarquable ! Il s'est souvent demandé comment elle pourrait marcher, parler, écouter, et lire tous en même temps. Ce n'était aucun tour facile !

« Bien, » il a continué, que sien la voix doucement tandis que ses mains secouaient un peu, « là est quelque chose j'avais pensée beaucoup environ, vous voient… Un-Et bien, je n'étais pas vraiment sûr comment faire ceci. Ou si je devrais ou ne devrais pas - dire n'importe quoi, je veux dire, et je me demandais… »

« Est elle quelque chose illégale ? » Elle a maintenant recherché avec un regard plutôt sévère qui aurait rendu professeur McGonagall fier, son sourcil droit augmenté aigu, ses lèvres légèrement pincées.

Ron a entaillé, rougissant. « Non ! Naturellement pas, je ne suis pas mes frères ! »

« Bon. » Elle a cassé son livre a fermé soudainement et s'est tenue, les deux actions faisant sauter Ron dans son siège, effrayé.

« W-Ce qui ! ? » il a hurlé, dérouté.

« Diem de Carpe, Ron. Diem de Carpe. »

Ah, une substance plus latine… « Ce qui est celui ? ? »

« Saisissez le jour, » Hermione a indiqué fièrement, souriant. « Aucune heure n'aiment le présent ! » Elle a pris un deuxième regard à sa montre, a fait un bruit cliquant sur avec sa langue, et a commencé à recueillir ses livres dans ses bras. « Bien, je dois courir et trouver professeur Flitwich. Ron désolé. Je vous verrai au temps de dîner alors ? Et dites à Harry la même chose quand il revient, correct ? Et vous avez lu ce livre ! » Elle a tapé son doigt sur le livre qu'elle avait lu à lui il y a une minute. « Ne faites jamais confiance à l'Internet quand elle vient à ces choses ! »

Ron, qui avait été sourd-muet frappé, n'a pas fait (et ne pourrait pas, il semblerait) répondent avant qu'elle ait été allée. Avant qu'il pourrait obtenir des mots dehors, il s'est trouvé bavardage stupidement à personne… « B-Mais I… J'étais… II a vraiment voulu… vous disent… » Naturellement il n'y avait désormais aucun point, elle était long allé. Il était seul. Ce fait seulement a maintenant entièrement né sur lui, et il s'est senti tourner aussi le rouge que ses cheveux avec l'embarras personnel.

Il s'est effondré dans sa chaise, exhalant dans un géant, défait whoosh. « Enfer sanglant… »

Ses yeux ont erré, et ont finalement débarqué sur un du livre Hermione avaient regardé pour son projet d'incantations. Ron n'a pas pensé qu'elle a eu besoin désormais de lui, et l'avait laissé derrière. Il a noté sa lecture il plus de périodes récemment que « le livre standard du charme, évaluent 5 ». C'était un certain livre magique concernant le latin…

Alors une idée l'a frappé… Une idée merveilleuse ! Ron a grimacé, saisissant l'énorme, livre monstrueux et a commencé à lire comme il ne lirait jamais avant, oubliant totalement son propre projet. « Ooooh Hermione, vous attendez juste ! »

Hermione a soupiré, regardant à travers le vestibule vide en tant qu'elle a quitté la bibliothèque. C'était toujours début de la matinée, et le dimanche les étudiants iraient habituellement dehors, resteraient dans le grand hall, ou retourneraient à leurs salles communes respectées. Un jour aimez ceci (encore un autre jour nuageux et pluvieux) qu'elle a suspecté que l'extérieur allant n'ait été plus une option pour les la plupart.

Ajustant la courroie de son sac d'épaule, elle a tourné à gauche vers la salle commune de Gryffindor. Elle a espéré saisir quelques livres lâches à elle et puis rencontrer professeur Flitwick pour discuter son projet jusqu'ici. Hargneux il serait de retour de déjeuner à ce jour.

Elle avait juste tourné un troisième coin, se dirigeant vers le chemin le plus direct à la salle commune par les escaliers mobiles, quand le bruit faible de sangloter a attrapé son attention…

Hermione a fait une pause, venant à une halte complète ainsi elle pourrait écouter, pour voir si elle entendait correctement. Et elle était. Quelqu'un pleurait… Sa première pensée est allée à pleurer Myrtle, mais elle ne pourrait pas être parce que cette salle de bains particulière n'importe où près de là. Ce n'était pas Myrtle… Ce n'était pas même une fille. Ainsi, c'était un garçon ? Qui… ? Le souci l'a surmontée pour qui que ce soit qu'il était…

Hermione a commencé à suivre le bruit, qui venait apparemment d'une source très voisine. Elle a découvert combien étroite assez bientôt. Hermione a été pratiquement effrayé hors de ses esprits, parce que quand elle a tourné le prochain coin elle s'est presque déclenché au-dessus de quelque chose. Elle a étroitement évité de frapper la chose, et de laisser tomber tout son livre au sol, seulement pour découvrir que la « chose » était une personne.

« O-Oh, je suis désolé, » elle ai hurlé, seulement s'arrêtant de la continuation quand elle s'est rendue compte que personne ne devraient s'asseoir dans un passage comme cela ; c'était un danger pour n'importe qui tournant le coin. Encore, cependant, elle s'est arrêtée quand elle s'est soudainement rendue compte que c'était la personne qu'elle avait entendu pleurer… Bien que c'ait été un bruit très faible maintenant, comment pourrait-elle l'entendre avant… ? La figure a été courbée vers le haut, ses genoux rempliés étroitement sous son menton, son visage enterré dans des ses bras. Non seulement cela, mais Hermione a identifié cette personne.

« Harry ? »

Harry a raidi quand il a entendu sa voix, regardant vers le haut elle avec des yeux curieusement secs et un visage blanc.

Ses yeux n'étaient pas verts.

Hermione a pris une prise pointue de souffle, ses yeux s'élargissant et son se laissant tomber de bouche ouvert. « MMR. Potier ! ? Qu'y a-t-il ! ? Je veux dire, ce qui sont vous faisant ici ! ? »

James s'est tenu le premier rôle à elle pour un instant, ses yeux mats ne montrant pratiquement aucun signe de vie (ce qui l'a dérangée), sa tête a incliné au côté comme s'inspectant Hermione. Hermione elle-même n'avait jamais vu cette sorte de comportement d'une personne, ainsi elle se tenait très toujours, parce que elle n'a eu aucune idée quoi faire autrement. En conclusion, il a parlé, ses lèvres se déplaçant à peine pour prononcer les syllabes, sa voix presque trop faible pour qu'elle entende. « Hermione. »

Il était plus d'un rapport qu'une question ; comme une machine, presque. « Oui, » elle a incliné la tête, son sourcil tricotant avec le souci. « Je suis l'ami de Harry… Vous vous rappelez me d'hier ? »

« Hermione, » James a continué celle la même voix monotone et machine-like. « Hermione Granger. Hermione. »

Incertain de ce qu'à faire, elle a placé son sac et livres sur le plancher et s'est mise à genoux près de l'homme, mettant une main expérimentale sur son épaule. « M. Potter-- »

« Hermione. Harry. » Ses yeux ont montré quelque chose maintenant, clignotant toujours tellement légèrement. « Harry. Mon petit garçon… »

Hermione a avalé. Elle commençait à sentir très nerveux au sujet du tout ceci… « Svp, M. Potter, vous devez retourner à l'aile d'hôpital… Comment-Pourquoi a fait vous venez ici, monsieur ? » Il l'effrayait, terriblement.

Le visage de James a changé encore, cette fois sa bouche tournant en petit froncement des sourcils, son rétrécissement de yeux. « Le bruit… Il ne s'arrêtera pas, n'importe où je vais, ce qui je font. Et ils ont blessé ainsi, tellement. Cris… »

Elle a été certainement effrayée maintenant, asse'ainsi pour s'éloigner réellement de l'homme. « Y-vous avez besoin de l'aide, » Hermione a énoncé avec une voix précaire. « Je peux obtenir te Madame Pomfrey, ou à un professeur-- » Elle avait à peine écarté sa main quelques pouces avant que son poignet ait été attrapé dans sa poignée serrée. « M. Potter… Svp, laissez aller… »

« Je ne peux pas le tenir, » il ai murmuré, sa voix sortant comme presque pleurnicherie. « Oh MERLIN, elle blesse juste. Faites-la qu'arrêter-vous pouvez lui faire l'arrêt. Vous pouvez aider. »

« II ne peut pas, » Hermione a pleurniché, « svp, laissent aller de mon poignet. Je peux trouver Harry, quelqu'un qui peut aider… » Ah, elle a voulu bien pour que quelqu'un descende le hall, quelqu'un qui pourrait l'aider. Mais personne ne viendraient.

« Vous pouvez aider, » James a énoncé, très désagréablement, puis il a laissé dehors un accès pointu et soudain des rires bébêtes, souriant gentiment. « Vous pouvez, Hermione. »

« Svp »

« Hermione, » il a ri nerveusement, « Hermione, Hermione, Hermione… »

« Laissez vont ! » Elle a essayé d'arracher loin, mais sa poignée devenait péniblement fortement. « Svp ! ! » « Arrêtez, arrêtez, arrêtez ! »

« Des cris et de l'obscurité soyez néant. Enfin. »

Elle n'a pas même eu une chance de crier.

Madame Pomfrey avait été blème quand elle a donné l'assaut à au loin à la recherche du potier. À l'avance elle a crié des choses comme, « il simplement à gauche, juste comme cela ! ? », et, « le professeur, comment avez osé vous l'a laissé partir comme cela ! ? » Elle a fait son bien plus fâché quand il a montré l'indifférence totale vers le sujet. Si le potier coulait, il a coulé. Il n'aurait aucune partie de elle au delà de cela.

L'infirmerie était tranquillité mortelle sauf pour le bruit de la pluie contre les fenêtres fermées.

Voulait à plus long cloué au lit que complètement nécessaire, Snape lui a fait une habitude pour se lever et marcher autour autant qu'il pourrait quand Madame Pomfrey n'observait pas. Il a dû être prêt si quelque chose devaient se produire dans ce qu'il a fait pour se déplacer rapidement ; si Hogwarts relève de l'attaque, ou de quelque chose également périlleuse, comme un cadeau de polisson de Fred et de George Weasley… Il n'a pas douté pour un instant de que ces deux hellraisers étaient outre quelque part… de la traçage… Il a connu quelques autres hommes tout à fait semblables à ces deux, et il n'était pas fanatique de eux, l'un ou l'autre.

Snape était en particulier sur le bord dû à d'autres sujets, aussi bien. Voldemort l'avait invité plusieurs fois pendant à de derniers jours…

La marque foncée de Snape a commencé à brûler le noir à cette très chaleur desséchante de moment… a clignoté par son bras, entraînant lui maudire et vers l'avant presque double. Parfois il s'est demandé si ses mangeurs semblables de la mort laissaient la même douleur, ou si de façon ou d'autre seul on le dirigeait vers lui. Ce dernier l'ont presque effrayé… Pour cela signifierait que le seigneur foncé était soupçonneux. Snape avait été trop loin assorti à ceci pour laisser qui se produisent maintenant… Il avait finalement gagné la confiance de son maître.

Le potier sanglant stupide a dû visser cela vers le haut, naturellement…

Il a grogné à se, s'asseyant sur un tabouret pour attendre pendant que la douleur commençait lentement à s'alourdir et se faner loin.

La porte de l'infirmerie s'est ouverte derrière lui, informant Snape que Pomfrey était finalement retourné. Il n'a pas pris la peine de tourner pour voir si elle avait trouvé réellement le potier, et n'a pas demandé, non plus. Il pourrait rester perdu encore pour tous qu'il s'est inquiétés, tant que il n'a apporté plus de malheur à la vie de Snape.

Alors une voix a bien parlé, « , bien, bien, regardent ce que nous avons ici ? »

Le sang de Snape a gelé dans des ses veines. Il a trop bien su cette voix toute… Il a rapidement tourné pour rencontrer une paire de yeux froids et pâles.

« Malfoy… »

En effet, Lucius Malfoy, pas Madame Pomfrey, s'est tenu dans la porte ou l'infirmerie.

Sa baguette magique a augmenté et s'est dirigée directement chez Snape…

Dans et en dehors de de Hogwarts, un orage a fait rage.

Pour être continué…

Je ne te dirai pas exactement ce qui est arrivé à Hermione. Vous allez juste devoir attendre un peu toutes les réponses.

Ouais, ouais, je sais, obtenant le joli sondage, n'est-ce pas? (soupirs) bien, j'espère qu'il reprendra bientôt. Je vais commencer à faire les chapitres au sujet de cette longueur (8-9 pages) si je peux, parce qu'il est plus facile les manipuler et ils ne prendront pas en tant que longtemps pour écrire.

Je ne suis pas sûr combien de plus long je vais continuer avec ceci. Je veux dire, l'écrivant généralement qu'est. Je ne pense pas il y a autant de personnes intéressées à elle en tant que là utilisé à, mais je pense que j'essayerai de continuer jusqu'à la « extrémité ». CECI NE SIGNIFIE PAS que je M'ARRÊTE BIEN ICI ! !

Mon problème principal est en retard que j'ai eu un manque de motivation, « commande », savez-vous ? Mais j'avais toujours essayé d'obtenir ces chapitres dehors. Le sorta I a perdu la voie de ce qu'était l'objectif principal de l'histoire. Je vais retourner aux 2 ou 3 derniers chapitres et les récrire considérablement (ils seront beaucoup plus courts et au point). Je suis devenu trop focalisé et donnant tous ce que les caractères un tour dans le projecteur que j'ai oublié mon but, vous savent ?

Mais ce on raconte pour reprendre bientôt ! Ayez la foi, svp ?

.../ autour d'une PHRASE signifiera un retour en arrière ou une mémoire.

« … » la parole

« … » pensées

Liberté gagnée ?

« Diem de Carpe, Ron. Diem de Carpe… … Saisissez le jour, » Hermione a indiqué fièrement, sourire. « Aucune heure n'aiment le présent ! »

Hermione Granger à Ron Weasley Fanfiction « a charmé des malédictions », l'orage, par Madame Geuna

Il pourrait dire que Snape ne l'attendait pas du tout, avait pensé qu'il était quelqu'un d'autre. Se sentir a satisfait qu'il était parvenu à attraper l'autre homme ainsi outre du garde, Lucius simplement sauntered par la porte, ses yeux gris froids ne laissant jamais au noir de l'encre de Snape ceux.

Honnêtement, Snape avait toujours été un acteur brillant. Même maintenant il pouvait cacher sa crainte, le masquant avec l'indifférence fraîche. Il n'avait pas même pris un deuxième regard à la baguette magique de Lucius pendant qu'il se levait de son siège, donnant à Lucius un signe d'assentiment brusque.

Mais naturellement il avait peur. Il a dû être. Sans armes, non protégé, délaissé, et s'avançant petit à petit vers sa baguette magique sur le stand de nuit

Les doigts de Snape avaient à peine touché la baguette magique avant que Lucius ait hurlé, « Expelliarmus, » et le morceau frêle de bois enchanté a été envoyé à navigation directement dans la paume de attente de Lucius.

« Faisons nous sentons un besoin de s'armer contre « un ami », S.M., » Lucius a demandé fraîchement, tournoyant la baguette magique de Snape à vide dans ses figures, ses yeux ne laissant jamais Snape, avant de le jeter, la jetant au-dessus de son épaule. Elle a claqué sur le plancher en pierre, loin hors de la portée de Snape et hors de la vue. Les « amis n'ont pas besoin de s'armer contre des amis, Severus. »

Snape scowl cette fois (à la satisfaction de Lucius). En conclusion, une paille dans ce masque en pierre froid à lui. « Bien, Lucius, pourquoi vous sentez le besoin pour avoir une baguette magique dirigée à moi ? »

Il était temps de couper à la chasse. « Je ne suis pas un imbécile, Snape. Même notre seigneur vous suspecte, et ainsi faites l'I. Et je le sais pour être vrai maintenant… »

« Je ne sais pas de ce que vous discutez »

« Oui, oui, défendant l'école contre Skrewts, n'est-ce pas ? (« Comment horrible.") et moi supposent-ils que vous ne savez rien des événements dans le souterrain de Londres ? De quelques magiciens à la recherche d'une personne disparue, peut-être ? Peut-être…, « il a souri d'un air affecté, « un homme mort… ? »

« Malfoy- »

« Où vous avez obtenu des dommages comme cela, » il a demandé, ignorant la tentative de Snape de parler. « Je n'ai jamais pour connaître un Skrewt pour causer des dommages de ce type. Vous n'êtes pas même brûlé, une brûlure. »

Silence…

Contrarié, il a continué, soulevant sa baguette magique un peu plus, « je veulent des réponses, Snape. Je sais que vous avez eu quelque chose faire avec le tout ceci. »

Snape a ricané, ses yeux se rétrécissant de façon glaciale. Est-ce que « tous sont que vous avez est des prétentions, Malfoy ? Je lutte désespérément pour saisir quelque remarque vous essayiez de faire, parce que je certainement ne vois pas un. Ce que l'enfer sanglant sont vous »

« Notre seigneur était un imbécile pour te permettre de continuer à le servir, » Lucius a mordu dehors, coupant l'autre homme une fois de plus. « Vous ne pouvez pas me duper ! Vous devriez avoir été tué plutôt que permis de nouveau dans notre cercle. Traître. »

« Si vous essayez de m'obliger à fendre, Malfoy, il n'y a aucun besoin, » Snape a sifflé. « Je le dis l'une fois passée ; il n'y a rien à le dire. Je n'ai fait rien ! Maintenant, êtes vous allant continuer ce taux fatigant comme un sacré ignorant sont vous allant venir à la réalisation fantastique qui vous. soyez. mal ! »

Lucius a été impressionné, en effet. Apaisez un acteur, ce Severus Snape, tranquillité et acteur…

Mais tous les masques ont dû tomber autrefois.

Le mot simple et murmuré de, « Crucio, » a envoyé Snape se défraîchissant à ses genoux.

Snape n'a pas crié, ni a fait il a laissé dehors tous les cris de douleur (Lucius le donnerait que beaucoup), mais saisi ses mains à son coffre en tant qu'un tout en souffrant une crise cardiaque, sien observe large et unseeing, ses dents a péniblement replié. Quand Lucius lui a permis d'être terminée, le seul bruit dans la chambre était la respiration loqueteuse de Snape, et brouiller lent des pieds et du tissu car il a lutté de nouveau à une position debout. Il a employé le stand de nuit comme appui, et dans son effort d'obtenir une prise ferme, la petite table inclinées, envoyant un verre de l'eau et un pichet se brisant au plancher, où il s'est brisé aux morceaux. Tesson éclatant comme le verre a sali le plancher en pierre…

Lucius simplement a regardé dessus avec les yeux blancs et gris.

« Vous allez me dire que ce que je veux sachez, ou je n'hésiterai pas en n'employant aucune méthode nécessaire. Vous accepterez de prendre un breuvage magique de vérité, pas vous, Snape ? »

Il atteignait dans ses robes longues pour enlever l'ébauche quand une autre voix lui a fait la halte…

« Je ne pense pas ainsi, M. Malfoy. »

Lucius a gelé, puis a tourné autour très lentement… Naturellement, il n'a pas eu besoin de voir le visage de l'homme pour savoir qui il était.

« Vous… »

Il y a quelques minutes…

Les quatre hommes--Edouard Thornback, Samuel apaisent, et professeur Donald A. Rum--arrivé sur les étapes de Hogwarts peu après que le déjeuner ait fini, et long après la pluie avait commencé. Tous avaient été trempage humide et avaient regardé pour être plutôt excentriques. Arthur Weasley avait été immédiatement escorté ailleurs à où sien appartient avait été pris par les elfes de maison.

Maintenant M. Weasley déballait les quelques affaires qu'il avait introduites avec lui dans les tireurs vides de sa raboteuse, ronflant un air à se. Le bruit de la porte s'ouvrant doucement, cependant, a alerté M. Weasley à une autre présence, et il a recherché rapidement. « Oh, Dumbledore, » M. Weasley a dit, étonné.

Le vieil homme a souri, fermant la porte derrière lui avec un « clic » doux, « je font confiance que vous avez eu un voyage bon ? »

« Je n'ai pas pensé que vous viendriez toute la manière de me voir ici… » (sa pièce a été située juste autour du coin de la tour de Gryffindor) alors il a semblé se rappeler de répondre à la question de Dumbledore, énonciation, « et oui, merci. » Il s'est redressé, frottant le sien lombo-sacré comme le faisait cela il, souriant un peu. « Je n'ai pas suis monté un manche à balai dans tellement longtemps… »

Dumbledore a souri, observant l'autre équipe la valise. « Déballant la prise plus longtemps que prévu ? »

« À peine… » Il a souri wistfully. « Heeh, aquarium populaire était positif que je resterais au moins un mois, ainsi elle s'assurent que j'ai fait passer plus qu'assez près de mes… Elle est très peu disposée à laisser n'importe lequel d'entre nous lui laisser des vues de nos jours. Mais Bill venu pour aider à s'occuper de Charlie. » Il a soupiré. « Elle n'était pas à tout heureux que nous n'avons pas été envoyé avec une certaine sorte de protection, ou gardent… »

À ceci, Dumbledore a indiqué, « cependant, je fais confiance que vous n'avez pas apporté à aucun Dementors avec vous cette fois. » Peut-être Dumbledore avait signifié pour qu'il soit une plaisanterie, mais il n'a pas sorti en soi. Il n'y avait aucune humeur dans ses mots, malheureusement…

Dans M. de réponse Weasley a fermé ses yeux et a tremblé visiblement, se rappelant les événements il y a de quelques jours. « Non cette fois. Je pense le ministre sien mangeant ses propres mots à Dementors étant sous son contrôle complet. »

« En effet. »

Après un moment, M. Weasley a parlé encore, tournant pour prendre à uns plus de chemises de son cas. « Je pense qui est pourquoi il a envoyé Malfoy dans leur endroit. Quel meilleur puis une personne aussi fétide qu'un Dementor… » M. Weasley s'est soudainement arrêté, a embarrassé de dire une chose si juvénile à son propre directeur. « Oh… Pardonnez-moi, Dumbledore. Je ne veux pas dire pour être si grossier, bien que vous sachiez que je n'ai jamais été affectueux… de… », il a traîné outre de quand il a regardé en arrière vers Dumbledore, seulement pour trouver les yeux de l'homme s'élever dur et illisible, comme si un sens profond de pressentiment l'avait frappé. « Monsieur… ? »

« Lucius… ? M. Malfoy est parmi vos personnes ? Je ne l'ai pas vu. »

Le regard dans les yeux de l'homme a fait la crainte glaciale ramper vers le haut son épine…

« Oui, » M. Weasley a dit lentement, soudainement se sentant très inquiété. « Je… J'ai supposé qu'il nous attendrait ici… Il est parti en avant de nous par un autre Portkey, I… » Attente… Dumbledore n'a pas su, il n'avait pas été dit, qui pourrait seulement vouloir dire…

« Oh MERLIN… »

Il y avait quelque chose presque comme la crainte (est ce même possible… ?) dans les yeux de Dumbledore comme il a chuchoté, le « Severus, » sous son souffle avant la précipitation à la porte, jetant elle ouverte, et le champ de la salle, M. Weasley à la poursuite étroite…

I peu minutent précédent…