pipou romolo

Un cliquetis insistant contre sa fenêtre avant a dessiné le lupin de Remus dans la salle. Il a payé le hibou fauve qui était venu pour fournir sa copie du prophète quotidien et avait laissé tomber le papier sur une table commode, entendant retourner à sa tâche précédente. Car le papier s'est dévoilé, bien que, un titre ait attrapé son oeil et lui est descendu dans une chaise pour dévorer les nouvelles immédiatement.

Marque foncée repérée au-dessus du marché de Wizarding ; Noir de Sirius suspecté

par Helena Jackson, spécial au prophète quotidien

Pendant presque quatorze années, le monde wizarding a été exempt de la crainte dominante une fois inspirée par un magicien foncé si puissant que les la plupart ne peuvent pas encore prononcer son nom. Vous-Connaître-qu'et ses défenseurs, connus sous le nom de des mangeurs de la mort, en même temps des atrocités indescriptibles commises, avec le meurtre et torturent pas mineurs parmi eux, mais l'humeur de la communauté a été une de paix depuis la nuit que Harry Potter est allé bien au garçon qui a vécue. Cependant, cette paix relative a été perturbée deux fois pendant les deux dernières années. Le premier événement s'affaiblissant, évidemment, était l'évasion du bras droit -Qui-Devoir-Non-Être-Appelé, noir de Sirius, d'Azkaban. Plus récemment, la mort de l'étudiant Cedric Diggory de Hogwarts a été attribuée par plusieurs magiciens et sorcières en avant, y compris le directeur excentrique de Hogwarts Albus Dumbledore, aux mangeurs de la mort et à leur chef. La majorité du ministère des cadres magiques, aussi bien que des membres de la population dans son ensemble, ont été détestent pour accepter cette explication pour la mort tragique du préfet de Hufflepuff. La polémique a maintenant intensifié.

À approximativement trois heures hier matin, la marque foncée a été repérée au-dessus de la maison de Peter et de Gina Malley, les deux vétérans de la première guerre contre laquelle. Les corps des victimes ont été trouvés à l'intérieur de la maison moins qu'une heure plus tard.

Le Malleys….

Remus a sauté les paragraphes consacrés à raconter les vies du Malleys dans sa précipitation pour voir où Sirius a figuré dans l'équation.

Le fondant de Cornelius, le ministre de la magie, lui-même a déclaré que le noir est le coupable dans ces meurtres effroyables. « Nous faisons toujours tout dans notre puissance de reprendre le noir, » il a dit dans une déclaration préparée hier. « Évidemment, nos possibilités dans ce secteur ont été diminuées maintenant que nous pouvons plus n'enlever les dementors d'Azkaban. Tandis que le noir se trouvait bas il était particulièrement difficile le dépister. Maintenant qu'il montre encore ses couleurs vraies, le processus devrait accélérer. Veuillez se rappeler que cette tragédie est le travail d'un homme, et ne paniquez pas. »

Remus a jeté en bas du papier en colère. Son dégoût au comportement du fondant a été accablé par son souci pour Sirius. Dumbledore lui-même avait envoyé à Remus un hibou au-dessus il y a d'une semaine dans ce qu'il avait demandé qu'il soit sur la surveillance pour son vieil ami. Bien que Remus n'ait pas attendu avec intérêt le travail les deux feraient pour leur ancien directeur, il attendaient avec intérêt beaucoup revoir Padfoot. Sirius n'avait pas été loin de ses pensées puisque leur réunion dans Shack poussant des cris perçants infâme juste sur une année avant. La réalisation que Sirius avait été innocent des crimes pour lesquels il avait été emprisonné avait été un énorme et non désagréable choc. Son seulement affect sa vie de jour en jour, bien que, avait été le développement de sa crainte constante que Sirius un baiser des dementor serait repris, exécute, ou donné.

Il a semblé que la chasse pour Sirius avait intensifié une fois de plus. Cette fois, bien que, les accusations nivelées contre lui aient des ramifications plus importantes que causant la détresse pour ceux qui se sont inquiétés de lui. Si le fondant et les membres du ministère qui l'a suivi pouvaient convaincre la communauté wizarding que Voldemort ne s'était pas levé encore, ils achèteraient cela beaucoup plus d'heure pour que Voldemort augmente sa puissance.

Il a soupiré. Incertain quant à ce qu'à faire après, il a sans but commencé à redresser dehors la salle de séjour, faisant ainsi sans magie pour prolonger le nombre de heures que la tâche étourdie exigerait.

« Remus. »

La voix du feu a attrapé son attention.

« Directeur. » Il s'est déplacé à la source de voix et s'est mis à genoux avant elle.

« Stargazing fait récemment ? »

« Ce qui ? » Albus Dumbledore a simplement regardé fixement son ancienne pupille jusqu'à ce que l'arrangement ait né, et, malgré se, Remus a roulé ses yeux. « J'avais regardé depuis ma dernière discussion avec vous, mais je n'ai vu rien. »

« Rien ? L'étoile que nous avons discuté la fois passée est exceptionnellement lumineuse. »

« Aussi lumineux une étoile que là est, mais je n'ai pas pu la voir. Elle a été plutôt nuageuse. Assez nuageux pour être un sujet d'inquiétude. »

« Drôle vous devriez dire cela. Je lisais la section de temps du prophète quotidien et je suis venu à une conclusion semblable. »

« Je crois qu'il a obtenu au point qu'il affecte la communauté dans son ensemble, et pas simplement à ceux de nous comme qui pour voir les étoiles. »

« Je ne pourrais pas l'avoir dit mieux moi-même. Le temps est venu pour commander ce problème par tous les moyens nécessaires. »

« Le temps est une chose plutôt difficile à commander, directeur, » a dit Remus, forçant un rire.

« Beaucoup de choses sont difficiles. Elles ont une habitude méchante d'être les choses intéressant faire. »

« Compris. »

« Gardez votre oeil sur le ciel. Faites-moi savoir quand les choses changent. »

« Naturellement. »

« Et assurez-vous pour informer tous les ayants droit de nos nouvelles priorités. »

« Il serait difficile d'oublier de faire cela. »

« J'imagine qu'il. Voyez que les parties dites demeurent inapperçues pour l'instant. »

Remus a grimacé théâtral. « Ne pourrais pas j'essaye juste de changer le temps ? »

Le rire de Dumbledore a été interrompu par une fente pointue pendant que quelqu'un, ou quelque chose, violait la salle protectrice qui a couvert l'entrée principale de la maison Remus actuellement appelé à la maison. Remus s'est tenu avec précaution, baguette magique à disposition, coeur frappant sourdement plus de l'anticipation que de la crainte. Il était tout à fait sûr il a su qui, ou ce qui, avait essayé d'entrer dans sa maison sans invitation.

Un examen rapide autour du coin a montré qu'il avait eu raison.

« Oui, » il a appelé à la tête isolée dans la cheminée.

Le chef a souri. « Bon. Maintenant si vous m'excuserez-- » sa voix découpée plutôt soudainement, mais Remus a à peine noté.

« Incantantem fini. » À la hâte, il a enlevé les salles et a franchi le seuil pour se mettre à genoux près d'un grand, noir, pleurnichant le chien. Le chien l'a regardé avec les yeux blessés. « Vous plutôt je n'avez pas employé des salles ? »

L'animal n'a fait aucune réponse, qui aurait été comportement ordinaire pour un chien moyen mais qui était le comportement plutôt impair pour celui-ci. « Sirius ? » il a chuchoté, sa basse tonalité ramollissant nullement l'urgence intense qui a inondé sa voix. « Avancé. » Le chien moitié-a gémi. « Si je prenez-vous ? » Il a eu parfois dans le passé a eu la difficulté discernant combien ennui Sirius s'est avéré justement réellement être dedans et combien de Sirius senti comme être dramatique. Une situation pourrait devenir bien plus compliquée quand on lui a considéré cela, parfois, si Sirius était en beaucoup de douleur, prétendrait être bon. Ce dernier n'était pas le cas ici.

Le chien noir s'est d'un air fatigué élevé à ses pieds, juste assez d'énergie économiquement pour donner à Remus un reniflement hautain.

« Droit, » il a répondu avec un rire soulagé. « Parlez-moi plus tard. » Il a jugé la porte ouverte pour l'animal souillé et a rapidement dessiné les rideaux dans toute la salle. Une telle précaution était très probablement inutile, mais vu les circonstances, l'attention supplémentaire était une idée très bonne. En outre, Remus s'était toujours considéré comme étant la voix symbolique de la logique quand il était autour de ses amis de Hogwarts, et il n'y avait aucune raison de lui d'abandonner ce rôle maintenant.

Le chien s'était effondré dans un magma noir terne sur le plancher quand Remus a tourné de nouveau à lui. « C'est sûr. » Sien observe verrouillé avec les yeux bleu-clair du chien, et il a tenu son regard fixe pendant que les yeux obscurcissaient et devenaient humains. Sirius s'est lentement levé de l'acroupissement qu'il avait été dedans pendant que la transformation accomplissait. Ses yeux humains étaient fatigués et ombragés, et il était péniblement mince et sale. Ses mouvements étaient raides car il s'est levé dans une position debout, mais il contrôlait un sourire néanmoins.

« Salut, rêveur, » était tout qu'il pourrait trouver pour dire. Remus a senti son évier d'estomac, et ses propres genoux se sont développés faibles. Sirius avait employé son vieux surnom sur les chutes écrites du parchemin livrées par un assortiment impair des oiseaux au cours de la dernière année, mais le mot exprimé, parlé par cette certaine voix, était plutôt disconcerting. « Rêveur ? Vous bien ? »

Remus s'est cassé hors de sa rêverie. Sirius n'était pas la personne qui a été censée poser cette question. « Naturellement-- »

« Vous regardez la couleur du mur. »

« Qui n'est pas aussi différent de la normale. »

« Assez différent-- »

« Elle est simplement étonnante pour vous voir, » Remus s'est interrompue sans à-coup, faisant un pas plus près de Sirius comme si étreindre lui, mais l'autre homme a soutenu loin.

« J'aurais pensé que Dumbledore vous aurait indiqué. »

« Oh, j'ai su que vous veniez, » Remus vous êtes précipité pour s'assurer. « Il est simplement étonnant pour vous voir de toute façon. Si cela semble raisonnable. Asseyez-vous avant que vous tombiez vers le bas. »

Sirius a secoué sa tête. « Numéro. Il y a de saleté d'Ecosse et Londres et partout dans l'intervalle sur mes robes longues. Cette chaise ne sera jamais identique. » Il s'est reculé de la main prolongée de Remus une fois de plus, mais cette fois Remus, faisant l'bon usage de ses réflexes de loup-garou, a saisi son ami de toute façon.

« Si je m'assieds, je pourrais tomber endormi. » Sirius a forcé son trop-léger poids contre Remus, combattant sa direction dans un mouvement réminiscent de beaucoup de batailles qu'ils avaient eues dans leurs changer-formes respectives. Que la mémoire a chauffé Sirius, et son sourire est devenu moins nerveux et plus lumineux. « Vous n'obtiendriez pas la joie de me parler. » Sur l'utilisation de Sirius du mot « joie, » les expressions de les deux hommes ont changé en ceux de la pénitence. La tâche qui les a attendues a eu pas une chose à faire avec joie.

« Séjour éveillé assez longtemps pour manger quelque chose, » a dit Remus, partant de l'horreur qui avait permis aux vieux amis de se réunir une fois de plus unmentioned. « Vous dormirez mieux si vous faites. »

« Je ne pense pas que c'est que beaucoup d'un problème. »

« Ouais, bien, vous mangerez ou je pousserai quelque chose pour avaler votre gorge. » Ces mots, naturellement, ont été parlés avec beaucoup d'affection. « Toutes préférences ? »

« Rien avec des rats dans lui. »

« J'étais tout hors des rats, quoi qu'il en soit, » Remus a appelé au-dessus de son épaule.

Des moments courts plus tard, Sirius finissait son repas de façon bienheureuse rat-libre. Il a eu d'abord essayé de ne pas manger comme l'homme affamé qu'il était, mais il avait donné dedans après quelques morsures et avait inhalé la nourriture. Presque immédiatement, ses yeux ont commencé à glisser fermé.

« Avancé. » Remus a tiré à son bras. « Lit. »

« Nous devons parler, » Sirius a marmonné chancelant. « Y avait il un breuvage magique de sommeil dans cela ? »

Remus a fait un visage. « Même vous n'êtes pas intéressant inventer des breuvages magiques. Je vous ferai savoir que s'il y a un chaudron simple dans cette maison, elle est vers le bas dans la cave sous une couche de la poussière correctement épaisse. »

« Rectifiez probablement. Écoutez, au sujet de Voldemort-- »

« Je sais. Nous pouvons faire ceci quand vous êtes lucide. »

« Je suis lucide. Nous devons commencer maintenant. »

« Vous pouvez me dire dans votre sommeil, puis. »

« Je ne parle pas dans mon sommeil. »

Remus a soulevé un sourcil.

« Vous et James faits que vers le haut de ! I non jamais dit quelque chose dans mon sommeil. »

Des mains ont été retardées dans la fausse reddition. « Je suis tout à fait sûr vous n'ai pas fait. »

« Bon. »

« Certainement rien au sujet du laurier Windsor. »

« Remus ! »

Son exclamation a été abrégée quand il a été conduit par une porte et dans une chambre à coucher.

« Ce qui sont nous faisant ici ? »

« VOUS allez dormir. »

« Vous êtes terriblement arriviste. »

« Vous pourriez repousser pour améliorer si vous n'étiez pas aussi fatigué. »

« Je ne suis pas fatigué. » La réclamation de Sirius s'était développée d'un désir de ne pas forcer son ami à prendre soin de lui, à un jeu espiègle, au souhait irritable d'un enfant pour ne pas être erronée.

« N'est pas c'un lit gentil ? » Remus a changé le sujet. « … Oreiller frais confortable de feuilles… doucement… »

« Non drôle. »

« N'a pas été censé être. »

« Correct. »

« Correct ? »

« Vous avez… raison. »

Remus snickered. « Si bon de vous pour dire ainsi. » Faisant un pas hors de ses chaussures, mais sans prendre la peine d'enlever ses robes longues, Sirius s'est effondré dans le lit. Remus était incertain si il ait eu endormi tombé immédiatement, ou s'il s'était évanoui, quand les yeux de son ami se sont ouverts une fois de plus.

« Attente. » Il s'est apporté à une position de séance sans un peu d'ennui.

« Padfoot. Couchez-vous juste. »

« NON ! » Les yeux ont étincelé avec désespoir. « Harry. »

« Que diriez-vous de Harry ? »

« Je pas owled le depuis que j'ai laissé Hogwarts. Je voyageais si rapide, mais il a employé à moi owling le presque journalier. Il sait ce que je fais, et il est probablement effrayé sur être vie malheureuse dans cette ville abandonnée de Muggle-- »

« Je hibou il. Je hibou il en ce moment. Je lui dirai que vous êtes ici et que vous ristourne dès qu'il suffira. »

« Correct. » Les yeux de Sirius se sont fermés, et il s'est effondré au lit une fois de plus. Remus l'a observé tristement pour un instant avant le renvoi à son bureau et aux rouleaux de parchemin que le hibou quotidien de prophète l'avait déchiré peu de plus qu'une heure avant. Trouvant une chute propre de parchemin, il a rapidement composé une note à son ancien étudiant.

Harry--

Votre parrain est arrivé à ma maison ce matin. Il vous écrira lui-même quand ce hibou retourne. Nous les deux espoir que vous faites comme pouvons être prévus donnés les circonstances.

Je n'écrirai pas plus ici, comme plus le ce message arrive tôt, le meilleur pour votre paix de l'esprit et nôtres.

Lupin de Remus

À son sifflement, un hibou gris plutôt de commun-regard a émergé des arbres qui ont entouré la maison. Avant son année l'enseignement dépensé chez Hogwarts, Remus était parvenu à demeurer légèrement aliéné de la communauté wizarding dans son ensemble. Un tel comportement semi-antisocial a facilité son secret pour garder. Cependant, maintenant les contacts qu'il avait repris tandis que Harry Potter de enseignement, entre d'autres enfants de vieux camarades de classe, faisait le concept de la dissimulation dehors ici, dans ce lieu rural, sans hibou, impensables.

Soupir, il a essayé de se forcer pour retourner à son travail.

X

Sirius a creusé son visage plus profondément dans l'oreiller d'odeur agréable. Il d'abord ne s'est pas rendu compte comment il était venu pour être dans cette situation. Il n'avait pas faim, et rien n'a blessé (il était tout à fait sûr que le lit dans lequel il s'étendent a contenu une certaine sorte de puissances curatives). Peut-être son esprit s'était finalement cassé, et il confondait le plancher d'une caverne avec un matelas confortable. Alternativement, peut-être il finalement avait rencontré un magicien de coup ou un animal sauvage et son corps avaient été ce qui s'était cassé. Si le ciel impliquait ce niveau de confort, il n'était certainement pas déçu.

Graduellement, les pensées logiques sont venues rampant de nouveau à lui. Il l'avait fait. Il était avec Remus. Malgré se, il a permis à un gémissement d'échapper à ses lèvres. Il sauntered dans la maison d'un ami qu'il avait vu juste par le passé pendant les quatorze dernières années et vers le haut la plaisanterie enroulée avec lui comme si elles n'avaient jamais été distantes. La réaction avait été nerveuse, et Remus avait joué le long-- il pourrait même avoir commencé le jeu-- mais Sirius s'est trouvé renverser à travers autant de leur conversation qu'il pourrait se rappeler de discerner s'il avait dit n'importe quoi blessant. Il avait fait une référence à manger les rats, que Remus n'avait pas pris probablement dessus ; il avait accusé Remus de lui alimenter un breuvage magique de sommeil ; et il avait appelé Remus arriviste. Remus avait indiqué plus mauvais, n'est-ce pas ? Il avait certainement été nerveux, aussi ; autrement, il n'aurait pas pâli tellement complètement en voyant Sirius. A-t-il regardé si mauvais ?

Il s'est levé du lit et a jeté un coup d'oeil dans un miroir, qui a répondu par des cris.

Il était entièrement possible qu'il ait regardé ce mauvais.

Une note à la hâte écrite en écriture familière s'étendent sur le bureau sous le miroir et informé lui que Remus était outre de chasser un grindylow ce qui avait envahi un étang de natation appartenant à une ferme voisine. Encore de note encouragé lui pour se faire à la maison. Il n'a pas su combien de temps il y a la note avait été parti pour lui, mais il a versé aussi rapidement qu'il pourrait vu la quantité d'effort qu'elle l'a pris réellement pour devenir propre.

« Bien mieux, » a dit le miroir dans une sorte soulagée d'une voix quand il a jeté un coup d'oeil dans elle encore.

Des « mercis, » il l'a dite.

« Vous êtes toujours trop mince. »

Il a décidé que ce serait mauvaise forme pour dire le miroir de son ami de fermer vers le haut.

« Je travaillerai à lui. » D'abord, bien que, il ait travaillé à nettoyer la salle et son habillement autant qu'il pourrait. Quand ce devoir était complet, il a erré par la petite maison, s'arrêtant avec l'intérêt quand il est venu au bureau de Remus. Rêveur avait évidemment déjà commencé le travail qu'ils devaient pour faire ensemble au-dessus du prochain short tandis que. Il s'est la plupart du temps composé contacter subtilement de vieux alliés et sentir dehors de plus jeunes sorcières et magiciens pour voir avec qui a dégrossi qui.

« Nous avons beaucoup de chemin à faire. » La voix de Remus a interrompu ses pensées.

Sirius a tourbillonné autour. « Comment… ? »

« Je n'entre pas dans les salles. Et il y a beaucoup de charmes de amortissement dedans ici, pour des raisons évidentes. » Sirius a incliné la tête. « Vous regardez mieux. »

« Je me sens mieux. » Maintenant les pauses ont commencé à devenir maladroites. « Merci. »

« Vous êtes bienvenu. » Quand le silence a menacé de rallonger, Remus a offert, « j'a envoyé votre lettre à Harry dès que vous êtes tombé endormi. »

« Il y a combien de temps était ce ? »

« Environ quatorze heures. S'il envoie un hibou de retour, il obtiendra probablement ici demain matin avec le prophète quotidien. »

« Ayez-les a imprimé toutes les fabrications passionnantes en derniers jours ? » Remus a tout à fait clair grimacé. « Ce qui ? » Sirius demandé aved circonspection.

« C'est de bonnes nouvelles, d'une certaine manière, » a dit Remus soigneusement.

« Je pourrais employer quelques bonnes nouvelles. »

La « preuve de votre innocence est devenue plutôt une haute priorité. »

« C'était toujours une priorité pour moi. »

« Pour moi, aussi. Mais il est devenu une priorité pour la cause de la magie légère. »

« La plupart des défenseurs de la magie légère n'ont aucune idée que je suis innocent. »

« Numéro. Il semble que elles héritent le danger en raison de celui. »

« Vous prévoyez d'arrêter le battement autour du buisson n'importe quand bientôt ? »

Le « fondant de Cornelius, dans sa sagesse infinie, » les deux amis a partagé un air menaçant, « avait blâmé les deux décès et un aspect de la marque foncée sur vous. Il veut garder le public de la panique et de croire que Voldemort vraiment est retourné. »

Sirius a fait le serment créateur. Dans les situations aimez ces derniers, ses longues années dans Azkaban l'a bien servi.

« Qui était ma pensée, aussi, » a admis Remus. « Mais je parlais vers le droit de professeur Dumbledore avant que vous soyez arrivé, et il propose que nous devions simplement lui faire la plaine que vous n'étiez pas responsable. Je prévois que nous appellerons en quelques faveurs et ferons quelques menaces. Si mauvais vient à plus mauvais, nous pourrions pouvoir faire témoigner à un espion venir en avant et ce Peter vivant. »

Sirius a reniflé. « Pas probablement. »

« Ce qui ? »

« Savez-vous ? Qui l'espion le plus important de Dumbledore est ? » Il a compté que ce n'était pas l'information à jeter autour légèrement, mais Remus était Remus, et il a dû dire quelqu'un.

« Numéro »

Sirius a résisté au recommander de bercer la bombe avant qu'il l'ait laissée tomber. « Severus Snape. »

« CE QUI ? » Remus n'a pas souvent perdu son calme, et Sirius a souri malgré se.

« Celui et seul. »

« Je n'ai eu aucune idée. »

« Ni l'un ni l'autre n'ont fait l'I. semblent lui sont bons à son travail. »

« Était il un mangeur de la mort ? »

« Regards qui manière-- »

« Harry ! »

« Ce qui ? » Sirius a été momentanément déséquilibré par le non-sequiter semblant de son ami.

« Le hibou. Il est de retour. » Remus a murmuré un charme et une fenêtre a piloté ouvert, accordant l'entrée de hibou. Une note a été attachée à sa jambe, mais c'était la même note Remus avait adressé à Harry qui matin.

« Ce qui est erroné avec cet oiseau ? »

« Il ne m'a jamais donné l'ennui avant, » Remus a défendu. « Il n'est pas le meilleur, mais il est toujours très futé. »

« Puis ce qui est erroné avec Harry ? » La voix de Sirius a frappé un niveau de souci qu'on qui ne l'a pas connu n'aurait pas cru possible.

« Elle pourrait n'être rien. » Le rapport de Remus n'a convaincu ni l'un ni l'autre de elles. « Il pourrait être que sa tante et oncle étaient dehors et il n'était pas à la maison-- »

« Ainsi ce hibou de smart de `à vous n'a pas attendu, ou trouvez-le ? »

Remus a jeté un coup d'oeil sur le hibou. « Peut-être il a un mauvais jour. » Une huée de l'indignation a salué cette suggestion. Le hibou a alors donné aux deux hommes sa meilleure approximation d'un regard fixe exaspéré et a flotté à la fenêtre, dardant de côté quand des autres, hibou familier sont arrivés.

« Qui est Hedwig ! » Sirius a hurlé, assez déchirant le bel oiseau de l'air dans sa rapidité pour trouver la lettre. « Ce n'est pas l'écriture de Harry. »

Remus a secoué sa tête. « C'est Hermione. Elle emprunte le hibou de Harry parfois. »

« Pourquoi est elle écriture à vous ? » Sirius demandé, non distrait mais encore curieux.

« Elle a juste puisque j'ai cessé l'enseigner. » Remus a gesticulé. « Elle est un Muggle soutenu. Je pense qu'elle aime avoir un magicien à qui n'est pas exactement un parent de professeur ou d'un ami à parler. » Il a enlevé la lettre complètement et a libéré Hedwig, qui a flotté pour s'asseoir sur le rebord de fenêtre près de son propre hibou.

« Vous allez lire cela MAINTENANT ? »

« Elle PEUT savoir que se passe-t-il avec Harry. »

Sirius a presque rincé. « Désolé. » Remus a gesticulé, et Sirius déplacé pour lire la lettre au-dessus de l'épaule de son ami.

« Cher professeur Lupin, » il a commencé. « J'ai besoin de votre aide. Harry a des ennuis… »

Le Fourteen-year-old Harry Potter a tremblé sous la feuille usée qui a couvert son lit. Il n'a pas tremblé du froid, car c'était été, et l'air était chaud ; au lieu de cela, il a tremblé, ou a peut-être frissonné, de la mémoire de son rêve.

Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange.

Harry Potter, on lui avait souvent dit, était un garçon le plus peu commun. Était non seulement il un magicien, mais il était le seul magicien qui avait jamais survécu par le passé à seigneur Voldemort avait décidé de le tuer. Cependant, tous les ans depuis son onzième anniversaire, seigneur Voldemort et ses disciples avaient fait leur meilleur de niveau pour remédier à de cette situation. Tout à fait franchement, Harry se développait fatigué de cet état de choses.

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La première fois qu'il était revenu à sa maison de tante et d'oncle après avoir passé une année à l'école de Hogwarts de la sorcellerie et de la sorcellerie, il avait commencé à souffrir des cauchemars. Il avait vu son ami plus étroit Ron mourir dans l'agonie, attaquée par les pièces d'échecs life-sized et sensibles. Il avait vu son autre meilleur ami, Hermione, enfolded par les tendrils d'une usine carnivore ou empoisonné par une fiole de liquide qu'elle a eu vraisemblablement son salut.

Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange.

Les cauchemars étaient devenus plus supportables et plus raffinés au cours des années. Ils étaient plus supportables simplement parce qu'il avait développé une tolérance pour eux. S'habituer à des terreurs de nuit était plutôt comme s'habituer observant son cousin que Dudley mangent. On a pu accumuler une immunité si donné assez de temps. Ils étaient plus raffinés parce que tous les ans Harry et ses amis ont semblé découvrir une certaine nouvelle information qui a eu le potentiel de les obtenir tués. Harry avait vu le mensonge de Hermione pétrifié, unmoving et congelé ; il avait vu Ron se préparer pour être alimenté à une sorte carnivore d'araignée appelée un acromantula ; il avait vu d'énormes serpents et journaux intimes enchantés traîner le corps presque-sans vie de la soeur Ginny de Ron dans les cavernes au-dessous de leur école ; il avait vu Ron enlevé, sa jambe cassée, par un vrai sinistre de phase ; il avait vu Hermione secouer avec crainte pendant qu'elle pilotait une haute volée de hippogriff au-dessus des tours de Hogwarts ; il avait vu que des essaims des dementors menacer presque chacun qu'il s'est inquiété environ ; et toute la ceci qu'il avait vu pendant sa vie de réveil. Ses rêves ont augmenté le sentiment qui tout était hors de sa commande et ont annoncé les événements terrifiants ensemble dans un qui étaient plus que la somme de ses parties.

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L'année la plus récente a eu, dans une sorte déformée d'une manière, été meilleure que les trois premiers. Ron et Hermione n'avaient pas été dans le vrai, immédiat danger, à moins que naturellement on ait choisi de compter le temps où ils avaient été rendus captif sans connaissance et tenu par une colonie de Merpeople. Ce kidnapping, bien que, avait été sanctionné par l'école et son directeur. Beaucoup de choses avaient été sanctionnées par l'école et son directeur.

Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange. Tuez la pièce de rechange.

Harry avait passé moins de temps avec Ron et Hermione pendant leur quatrième année de la formation qu'il a eu pendant les trois premiers parce qu'il avait été forcé de participer à un concours connu sous le nom de tournoi de Triwizard. La tâche finale du tournoi avait été transformée en outil raffiné conçu pour dessiner Harry à Voldemort de sorte que Voldemort ait pu accomplir le meurtre qu'il avait la première fois essayé plus de treize ans avant. Cependant, Cedric Diggory, un autre étudiant de Hogwarts, avait été transporté avec Harry. Dans la vérité, Harry avait insisté sur le fait que Cedric viennent avec lui, bien qu'il n'ait pas su ce qu'il avait demandé alors. Quand Voldemort avait vu Cedric, il avait poussé les trois mots que les plus ont hanté Harry maintenant :

Mise à mort. . Pièce de rechange.

Au moins ce n'avait pas été Hermione ou Ron. L'élancement de la culpabilité qui a eu pas Harry gauche puisque la fin désastreuse à sa quatrième année chez Hogwarts a intensifié. Presque immédiatement, il a eu la pensée, intérieur profond, qu'il était heureux que l'étudiant assassiné n'ait pas été l'un de ses amis étroits. Il n'avait pas même été l'un de ses compagnons de chambre, Neville ou Seamus ou doyen ; non un de ses équipiers, Katie ou Alicia ou Angelina ou de Quidditch des jumeaux ; pas même un Gryffindor.

Il a su qu'il était horrible pour se sentir que le soulagement que la plus défunte victime de Voldemort était quelqu'un il avait à peine su, particulièrement parce qu'il avait joué un rôle dans ce quelqu'un la mort. Il avait aimé Cedric, certainement ; il avait été plutôt dur pas à, mais Cedric avait été deux ans plus et avait vécu dans une maison différente à l'école.

Toujours, Cedric avait été tué pour se tenir à côté de Harry. Il y a bien longtemps, la mère de Harry était morte pour que refuser le laisse, aussi bien. Harry n'a pas eu besoin d'être au dessus de sa classe chez Hogwarts, pendant que Hermione était, pour figurer dehors un modèle là. Il était presque heureux que sa tante et oncle avaient décidé qu'il avait fabriqué l'histoire de son parrain puissant et avait refusé de lui permettre d'envoyer ou recevoir le poteau de hibou cet été. Quelques raccordements Ron et Hermione ont dû il, le meilleur.

Il a eu, cependant, tout sauf donné son hibou aimé, Hedwig, à Hermione. Hermione n'a pas eu un hibou de ses propres, préférant un chat plutôt laid mais remarquablement futé appelé Crookshanks. Toutefois beaucoup de Hermione a aimé Crookshanks, bien que, il ne pourrait pas être employé pour envoyer des lettres à ses amis. Hedwig serait une dépense beaucoup plus heureuse l'été visitant Hermione que verrouillée dans son camp. Ses parents avaient été satisfaits par l'absence de l'oiseau, et avaient scellé ses fenêtres fermées de sorte qu'il n'ait pu recevoir aucun poteau d'autres oiseaux.

Harry a manqué son hibou. Elle avait été un animal familier fidèle du premier jour où il l'avait vue dans un magasin de bêtes dans la ruelle de Diagon peu après son onzième anniversaire. Pendant trois longs étés, elle avait été la seule chose vivante qui n'a pas grimacé à la vue de Harry. Il n'a jamais eu avant considéré que peut-être il était digne de ces crispations ; que peut-être oncle Vernon et tante Petunia auraient fait le monde wizarding une faveur les a eus ont réussi à leur recherche pour le garder à partir de Hogwarts.

Décidant qu'il avait passé assez de temps se détestant pour le matin, Harry a glissé tranquillement hors du lit et s'est étiré avant de commencer à ranger sa pièce. Elle était verrouillée de l'extérieur, mais tante Petunia retirerait bientôt la barre sur son chemin vers le bas à la cuisine. On s'attendrait à ce que la joigne actuellement, et aide Harry avec le nettoyage et la cuisson. Il avait eu un sursis de ces corvées pendant ses étés premiers après être parti pour l'école, mais tante Petunia avait dit oncle Vernon qu'elle a soudainement trouvé Harry plus docile, et qu'elle a voulu l'employer pour l'aider de temps à autre cet été. « De temps à autre » était devenu très souvent en effet, et, pour la première fois dans sa vie, Harry a estimé que ses seulement relations de sang vivantes ont été presque satisfaites avec lui.

« Je ne sais pas tout à fait l'expliquer, » il avais surpris tante Petunia dire oncle Vernon. « Je pense qu'une partie à lui-- étrangeté-- est allé. Vous pouvez la voir quand vous regardez dans ses yeux. Elle était que même si il suivait vos instructions à la lettre, elle serait comme il pensait à une certaine manière de les saboter, ou pensant à une certaine manière de prouver qu'il juste ne nous a pas respectés. Il a toujours eu un certain commentaire mal-élevé quand Dudley lui a parlé. Maintenant il est tranquille. Travaux comme un robot. Aucun sourire affecté plâtré à son visage comme il attend juste pour raconter à ses amis anormaux malheureux une certaine histoire au sujet de nous. »

« Aucune de son étrangeté ne est allée, pétunia, » oncle Vernon avait grogné. « Regardez ces cheveux. Il doit se situer dans l'attente. Mais j'admettrai que je suis heureux je n'ai pas entendu un mot au sujet de vouloir ses livres, ou ses rouleaux, ou sa fichue baguette magique ! »

« La baguette magique. Ah, ne mentionnez pas même le mot-- »

« Harry Potter. » Vrai la voix de tante Petunia's a dépassé la voix de tante Petunia's de rêverie. « Êtes vous prêt à venir en bas et à faire le déjeuner ? »

« Oui. » La réponse uniterme de Harry était douce et rauque.

« Parlez vers le haut. » Harry ne s'est pas vraiment inquiété que, s'il avait parlé vers le haut, sa tante l'aurait réprimandé pour être forte à une heure à l'où Dudley pourrait encore être endormi, pas que quelque chose sous peu de s'effondrer de maison réveillerait Dudley.

« Oui. » Harry a dû rassembler toute sa force pour rendre sa réponse audible. Il s'est senti fatigué toute l'heure maintenant, bien qu'il n'ait pas su pourquoi.

« Bon. » Le boulon a glissé hors de l'endroit, et du Harry tenu, tissant légèrement sur ses pieds comme le faisait cela il. Cependant, sa vision s'est dégagée avant sa tante avait fini glousser au-dessus de l'état désolé de son lit, qui avait été fait avec des hand-me-downs à partir de Dudley qui avait été dans un état désolé la première fois Harry les avait vus. Il n'avait pas même pu rester endormi assez longtemps pour suer par eux en retard.

Pétunia tourné brusquement à son neveu. « Bien, subsistez. Saucisses. Trois d'entre elles. Juste quelque chose aller avec le pamplemousse. » Harry a incliné la tête. Il a senti une sensation étrange de la libération. Il a su qu'une fois qu'il se serait inquiété, à un niveau physique sinon émotif, que chacun dans la maison mais lui obtiendrait une saucisse pour être assorti à son quart de pamplemousse.

Quelques matins, quand il travaillait comme ceci, Harry a feint pour être un elfe de maison. Il a su qu'il était trop vieux pour « feindre » des jeux, mais car personne n'ont vraiment voulu qu'ou se sont attendus à ce qu'il existe dans le monde réel, il n'a pas vu quel mal le rampement dans son propre esprit ferait.

Aujourd'hui, bien que, le jeu se soit senti vieux. Il ne pourrait trouver rien faire avec ses pensées pendant qu'il coupait en tranches le pamplemousse, et l'a adouci avec le sirop d'érable, le complétant avec une cerise et un fonctionnement il sous le grilleur. Ses propres cale qu'il a laissée tout simplement. Tante Petunia lui avait jamais spécifiquement dit que pour faire ainsi, mais il l'a imaginée qu'elle l'a voulue de cette façon. Elle n'a pas importé à lui. Elle a goûté de la sciure en tous cas.

Les saucisses ont crépité parfaitement, et il les a glissées sur des plats juste comme son énormes oncle et cousin avançaient lourdement en bas des escaliers à la table de déjeuner. Harry a tranquillement pris son siège, aussi bien, réduisant soigneusement sa tête et sa bouche fermée. Même Sirius l'a eu dit qu'il devrait, bien que Sirius ait seulement signifié jusqu'à la fin du tournoi de Triwizard. Sirius était une autre personne qui avait été compromise par son rapport avec Harry. Sirius avait été sûr, et sain, dans un certain pays éloigné jusqu'à ce qu'il se soit rendu compte de l'entrée de Harry dans le tournoi de Triwizard. Puis, en raison d'une certaine responsabilité il s'était senti aux parents morts de Harry, il était allé se décomposer et mourir de faim dans une caverne près de Hogwarts.

« Quand est Marge entrant ? » Tante Petunia a demandé dès qu'elle pouvait attirer l'attention d'oncle Vernon.

« Dix heures, » oncle Vernon ont répondu par derrière sa moustache touffue. « Et VOUS, » il a ajouté, enfonçant un doigt chez Harry. « Vous savez ce que signifie ceci ? »

Harry a supposé qu'oncle Vernon lui dirait.

« Répondez-moi, garçon ! »

« Je serai tranquillité et me comporterai. » Ceci avait toujours semblé être une bonne réponse, bien qu'il ait été fréquemment rencontré le rire rauque. « Bonnes réponses, » même ceux qu'il avait sus depuis l'enfance, semblé éluder Harry parfois maintenant.

« Vous. Vous parlerez quand parlé à. Et nous n'aurons pas un autre incident comme la dernière fois, ou vous vous trouverez dans un orphelinat, comme vous devriez avoir il y a des années. »

Harry a incliné la tête. Il avait souvent pensé qu'il voudrait vivre dans un orphelinat, mais il a su que la menace d'oncle Vernon était vide, même si oncle Vernon n'a pas fait. Vers la fin de l'année scolaire précédente, quand il avait été libéré de ses examens finaux, il s'était trouvé lisant un livre plutôt curieux concernant les salles protectrices. On dise la vérité, il avait été tirée au livre parce qu'elle misfiled dans la section de Quidditch de la bibliothèque, mais il avait été le plus intéressant. Des chapitres entiers avaient été consacrés à la puissance des cravates biologiques, et il s'est rendu compte que le directeur Dumbledore avait en effet eu une raison de ne pas lui permettre de se déplacer dedans avec le famille de Weasley sur une sorte permanente de base. Il était plus sûr ici que n'importe où ailleurs, et il a pris une certaine quantité de protection avec lui chaque fois qu'il a laissé. Le ministère de la magie mettrait les charmes de la mémoire la plus forte jamais conçus sur le Dursleys avant qu'ils permettent à Harry d'entrer dans un orphelinat.

« Garçon ? »

« Je parlerai quand je suis parlé à, et il n'y aura pas un incident comme la dernière fois, » Harry a répété mécaniquement.

« Droit. » Oncle Vernon s'est levé, après avoir protégé son pamplemousse et saucisse contre la prise de Dudley, et giflé Harry derrière sa tête avec une main ouverte. Le front de Harry a heurté la table, mais il s'est assis vers le haut encore silencieusement.

« Observez-la ! » Tante Petunia s'est cassée. « Je ne vous aurai pas renverser des choses et les marquer vers le haut de la table. » Pour un instant sauvage, Harry a pensé qu'elle avait réprimandé son mari, mais d'autre part rappelé qu'on s'est plutôt attendu à ce qu'il résiste, ou canard de, tel souffle, et que sien se permettant d'être frappé pourrait certainement être considéré un genre de troublemaking. Puis, bien que, le pétunia se soit tourné vers son mari. « Ne laissez aucune marque sur lui. Si quelqu'un finit le voir vers le haut avec des contusions sur son visage, les gens parleront. »

« Nous dirons qu'il les a obtenus roughhousing avec Dudley. »

« Nous ne voulons pas devoir dire n'importe quoi du tout ! » La voix de tante Petunia's a monté shrilly. Elle n'a aimé rien meilleur que pour parler de ses voisins et rien moins que pour les faire parler de elle.

« Ils pas. J'apporterai Marge quand je viens à la maison pour le déjeuner. »

« Nous serons prêts. Pas nous, Duddy ? »

Dudley a grogné et a incliné la tête, et alors waddled au loin à la salle de séjour pour regarder la télévision. Harry, pour sa partie, a marché méthodiquement par un matin d'activité. L'arrivée inévitable de tante Marge's n'était aucun différent qu'elle avait jamais été. Dudley a été félicité, et Harry a été insulté.

« Je daresay, Vernon, » tante Marge a dit après plusieurs heures de conversation, « il est amélioré réellement. Il sera toujours émacié et un peu au loin, mais il a perdu une partie de ce scintillement dans son oeil. Non renfrogné et rebelle comme il était. Obtention frappée beaucoup à votre école ? »

« Certains. Pas autant qu'avant, » Harry a répondu automatiquement.

« Ainsi la force extrême fonctionne. » Tante Petunia a incliné la tête d'accord. « Est il obtenant d'être utile du tout ? »

« Utile est quelque chose qu'il ne sera jamais ! » oncle hurlé Vernon avant son épouse pourrait répondre. « Un gaspillage de l'espace, toujours. »

« Accordé, mais vous devez faire le meilleur que vous pouvez, » tante Marge répondue dans ce qu'elle a semblé penser était une tonalité conciliante. « Même les échecs peuvent être utiles certain, parfois. »

À « ce qu'êtes vous pensant ? »

« Je me suis juste rappelé que je n'ai pas apporté assez de festins pour le temps plein que je serai ici. Ne peut pas laisser les pauvres chiens souffrir pour mes erreurs. » Tante Marge avait apporté deux chiens avec elle lors de cette visite, et au soulagement de tante Petunia's ils se reposaient actuellement pas sur le plancher de cuisine mais sur le porche plan.

« Nous courrons bien dehors et en prendre, » oncle Vernon a dit rapidement, se levant rapidement de sa chaise comme si il étaient désireux de laisser sa propre soeur.

« Non ! Pas, Vernon, je n'entendrai pas parler de lui. Je ne vois pas pourquoi nous ne pouvons pas laisser l'avorton le faisons. Ce sera seulement quelques livres que je devrai lui faire confiance avec, et il peut marcher au magasin quelques rues vers le bas sans n'importe quel ennui. Et s'il s'avère justement faire un pas devant une voiture, bien, comme des parents, comme l'enfant ! » La salle a éclaté avec le rire. Tante Marge a cru que les parents de Harry étaient morts dans un accident de voiture.

« Je ne crois pas qu'il devrait être fait confiance pour quelque chose aussi importante que les festins de votre chien, » tante Petunia mis dedans, mais tante Marge l'ont ondulée au loin. « C'est une corvée impossible à faire mal. Et les choses seront tellement plus plaisantes sans lui de regarder pendant quelques minutes. » Son rapport n'a quitté aucune pièce pour l'argument, et les gardiens de Harry ont été forcés d'être d'accord sur le plan.

De seules secondes plus tard, Harry était dehors la porte, clignotant à la lumière du soleil lumineuse et saisissant des instructions strictes et trois pièces de monnaie de deux-livre dans sa main. Jamais avant eu lui a tenu tellement l'argent de Muggle. Il a trébuché sourd- au trottoir. Tandis qu'en étés précédents il avait fait beaucoup de yardwork, ce n'avait pas été parmi ses corvées désignées jusqu'ici cette année, et il a noté que c'avait été un long temps depuis qu'il a eu la lumière du soleil de feutre sur sa peau. Il s'est rappelé qu'il a aimé le sentiment. Il l'a rappelé son soin de classe magique de créatures, ou de risquer avec Ron et Hermione pour les au sol de Hogwarts ou dans Hogsmeade.

La promenade n'était pas terriblement longtemps celle, mais il a décidé de la prendre aussi lentement qu'il pourrait, puisque la lumière du soleil en dégageait loin du brouillard qui avait infiltré son esprit de réveil récemment. La nuit, dans le lit, il pouvait parfaitement penser à son école et aux dangers qu'elle faisait face, en partie en raison de lui ; mais en jour, quand il travaillait, il pouvait oublier les points plus fins de sa vie, pour oublier penser entièrement. Ce système l'avait rendu facile pour lui de ne pas sentir trop le schoolsick pour Ron et Hermione et Quidditch et ses classes et son dortoir circulaire et son lit avec ses hangings rouges et la salle commune avec ses grandes chaises et les plaisanteries des jumeaux de Weasley et le sourire de Ginny et la carlingue et les magasins de Hagrid chez Hogsmeade et les elfes large-eyed de maison et peu de Collin Creevey et son appareil-photo et la vue de l'astronomie dominer à la nuit et visage de Cho Chang au joli quoique Cho soit allé à la boule de Yule avec Cedric-- condamnez-le !

Cedric ne pourrait manquer aucune de ces choses plus, quoiqu'il ait pu les apprécier ait fait ne pas insister Harry sur le fait qu'elles prennent la tasse de victoire ensemble. Harry a su qu'il avait eu une raison de dériver dans l'assoupissement de réveil dans lequel il avait passé la première partie de son été.

Son pas activé en tant que son inquiétude intensifiée. Il a assez volé dans de magasin rassemblé les « jolies pillules de puissance de chiot » comme commandé. Le femme derrière le compteur l'a favorisé avec un regard intéressé. « Êtes vous tout, droit, cher ? »

« Fin, » a respiré Harry, effrayé par le regard fixe aimable et direct.

« Vous semblez rincé. Vous avez été malade-- oh, je suis désolé, je ne signifie pas pour soulever. »

« C'est tout exact. » Harry n'aurait pas a voulu verser ses sentiments dehors à cet étranger même si elle pourrait avoir compris ses problèmes, ainsi il a pris son congé, essayant de regarder aussi en bonne santé et satisfait comme possible.

« Attendez, » elle a appelé après lui. « Votre changement. »

« Je n'ai pas pensé que là en a été censé être. »

« Nous sommes encombrés. Avoir une vente impromptue. » Le regard liquide dans ses yeux car elle a suivi ses mouvements incités Harry pour se demander si elle parlait la vérité, mais lui n'a pas pris la peine de forcer l'issue pendant qu'il acceptait quatre-vingt-dix penny et remerciait le commis.

Il n'a eu aucune idée quoi faire avec quatre-vingt-dix penny. Certainement il pourrait acheter un casse-croûte avec lui, mais tandis que l'été précédent, le premier du régime de Dudley, avait été un exercice dans la faim constante, il n'a jamais semblé vouloir manger plus. La seule pensée de la nourriture a parfois fait son estomac vaciller. Il y avait toujours la possibilité d'acheter un jouet ou un bibelot de Muggle que Ron trouverait la fascination, mais avec chaque année de dépassement Ron est devenu plus sensible à la petite fortune de Harry, bonne seulement dans le monde wizarding, une fois comparé à son propre manque d'argent de dépense. Une cabine de téléphone a attiré son attention, mais il n'a eu aucune manière d'appeler à quelque téléphone Ron ait eu accès, et en outre, il avait déjà décidé que Ron serait plus aisé si les deux d'entre eux se développaient à part, ou beaucoup. Le même était vrai de Hermione, bien que le bureau de ses parents ait été probablement dans l'annuaire qui était été perché heureusement à l'intérieur de la clôture en verre.

Les penny pourraient toujours être retournés à tante Marge, mais l'événement hors de l'ordinaire rendrait tante Petunia soupçonneuse. Harry a supposé qu'il devrait juste le garder au cas où il finissait vers le haut de perdu ou échoué dans le monde de Muggle.

En son voyage au magasin, il n'avait pas noté combien la configuration de cabines de téléphone a dispersé le long de la route. Certains d'entre elles ont été même placés en arrière de la rue, et n'ont pas pu être repérés par quelqu'un tournant en passant dans ou sur une des rues résidentielles, comme, par exemple, commande de Privet.

Sa volonté s'est épuisée quand il était moitié d'une étape au delà de la dernière cabine. Décision prise, il a mis en marche son talon et s'est avec reconnaissance fermé à l'intérieur de la petite cellule. Il s'est placé de sorte qu'il ait pu voir tous les comings et goings du voisinage voisin, bien qu'il n'y ait pas eu beaucoup. Les magiciens ont à peine jamais su n'importe quoi au sujet de Muggles et de la manière qu'ils ont vécue-- Ron était assez preuve de cela. Personne ne se rendraient compte que lui et Hermione communiquaient les uns avec les autres s'ils n'employaient aucune magie. Le sang précipité à ses oreilles et à ses mains a secoué pendant qu'il tâtait par l'annuaire, recherchant un bureau qui a logé une paire de dentistes appelés Granger.

Hermione, il a su, était dépense son été jouant le réceptionniste. Elle avait été plutôt perturbée que ses parents avaient considéré son trop jeune pour passer l'été sur le continent avec son ami, Victor Krum, mais elle a eu accepte par la suite de prendre ce JOB temporaire et d'apprendre la responsabilité. Tandis que Harry avait dans la vérité étée d'accord avec les parents de Hermione que passer l'été en Europe avec son ami plus âgé et célèbre n'avait pas été la meilleure idée il avait jamais entendu (bien qu'il avait été assez sage de ne pas partager cette pensée avec son ami), il a également pensé que Hermione était loin de devoir apprendre la responsabilité.

La moitié de lui a espéré qu'il ne pourrait pas dépister le nombre qu'il a eu besoin. Hormis ne pas vouloir encourager Voldemort et ses disciples à attaquer Hermione, il était, en quelque sorte de parler, légèrement nerveux au sujet de téléphoner à Hermione. Il avait téléphoné jamais réellement un ami dans sa vie. Il n'avait eu aucun ami, et un manque distinct de permission de toucher le téléphone, en tant qu'enfant en bas âge ; et maintenant qu'il a eu les amis qui étaient des magiciens et des sorcières, il n'a pas eu besoin d'utiliser des téléphones. Que dirait-il ?

Il était ennuyant facile trouver le nombre, et il a composé avant qu'il pourrait changer d'avis encore une fois. Changer d'avis maintenant se sentirait inconfortablement comme chickening dehors, et il n'a pas voulu être indigne de maison de Godric Gryffindor en plus d'être un danger à toute l'école.

Il a entendu un anneau et puis un autre. Puis, il a entendu une voix qu'il saurait n'importe où, retentissant professionnel avec une voix basse de l'ennui, l'informent qu'il avait atteint Granger et associés dentaires de Granger.

Paniquent soudainement, il pourrait ne trouver rien meilleur de dire que « vous acceptant de nouveaux patients ? »

« Bien, oui. En raison de notre programme de vacances, il pourrait être difficile de vous serrer dedans tout de suite. Êtes vous invitant le nom d'une société ou au nom d'un individu ? »

« Un famille individuel. »

« Magiciens ou Muggles ? »

« Ce qui ? »

« Pas un `très d'une façon convaincante ce qui. ' »

« Je suis désolé, je dois avoir le faux numéro-- »

« Raccrochez et je dirai Hedwig sur vous, Harry. »

Harry a laissé tomber son jeu immédiatement. « Hedwig est-elle tout droite ? Et comment vous avez su il était moi ? »

« Hedwig s'assied parfaitement heureusement dans l'arbre dans mon arrière-cour, ou elle était quand j'ai laissé ce matin. Et quant comment j'ai su à lui étiez vous, vous ne seriez pas insulté si je ne faisais pas ? »

« Pas vraiment. »

« Pourquoi vous n'avez pas juste dit qui vous étiez ? »

« Je n'ai pas su si c'était une bonne idée de vous appeler au travail. »

« C'est une idée très bonne, car c'est vous. Comment vous avez obtenu à un téléphone ? »

« Mon soeur d'oncle Vernon-- »

« Celui que vous avez fait sauter ? » Hermione s'est interrompu.

« Qui est le seul. Remerciez Dieu. Quoi qu'il en soit, elle a décidé que je me suis amélioré depuis la dernière époque où elle m'a vu et elle a obtenu ma tante et l'oncle pour m'employer pour prendre le chien traite pour elle. » Il a ridé son nez. « Jolies pillules de puissance de chiot. »

« Ainsi elle est finalement venue dans utile. »

« Est qui ce qu'elle a dit au sujet de moi. »

« Ce qui s'est produit ? »

« Je ne sais pas. Elle a dit que je ne regarde pas aussi astucieux que j'ai employé à. Que mes yeux sont plus mats, et moi ne pense pas des pensées démoniaques toute l'heure. »

« Êtes-vous ? Est-ce un acte ? Êtes vous tout droit ? »

« Fin. »

« Vous ne pouvez pas aller bien. Ne vivant pas avec ces personnes. Combien ONU-fin êtes-vous ? Vraiment ? » L'inquiétude a monté dans la voix de Hermione. Harry s'est demandé si elle avait un livre en lequel elle pourrait rechercher des causes de perdre le regard démoniaque dans ses yeux ouverts sur son recouvrement.

« C'est pareil que toujours. »

« Obtenez-vous assez pour manger ? Est-ce que voulez-vous que je renvoie Hedwig avec quelque chose ? Nous t'avons toujours envoyé la nourriture en été avant. Êtes vous affamé ? »

« Je n'ai pas faim. Faites- confiancemoi. »

« Vous n'avez pas faim parce que vous obtenez assez pour manger ou vous n'avez pas faim parce que vous êtes malade et vous ne voulez pas manger ? »

« Qu'importe-t-il ? Le premier. »

« Je ne sais pas si je vous crois. »

« Ne faites pas alors. Va comment votre été allant ? »

« Je passe la majeure partie de mon temps fonctionnant ici ou lisant. Je ne peux pas attendre pour aller visite Ron. Êtes vous venant ? »

« Je ne pense pas ainsi. »

« Il ne va pas prendre cela pour une réponse. »

« Il doit. »

« Vous ne voulez pas venir ? »

« Je ne vois pas vraiment le point. Je veux dire, nous tous ai fait cela avant. » Harry a avalé après le morceau qui avait soudainement formé dans sa gorge, mais Hermione était sur une mission et elle n'a manqué rien.

« Ce qui est vraiment faux ? Pourquoi ne pouvez-vous pas venir ? Votre tante et oncle ne seront pas un problème. »

« Il n'est pas celui. »

« Qu'est-ce que c'est ? Dumbledore néanmoins indique-t-il le non ? Avez-vous parlé au Weasleys du tout ? Vous n'avez pas, vous avez, vous n'aviez pas écrit Ron non plus. »

« Vous avez Hedwig. »

« Il a dit qu'il t'a envoyé le porc, et il est revenu sans réponse. Il est frénétique, Harry, et ainsi AM I. Pourquoi pas vous entretien à nous ? »

« Je te parle maintenant. Je suis un peu désolé je suis, mais je suis. »

Hermione a inhalé brusquement, et Harry a soudainement noté qu'il avait parlé plus fort qu'il avait prévu pour faire. Il ne pourrait pas voir son ami, et il n'a pas été accoutumé à interpréter des bruits au-dessus d'un raccordement électrique quelque peu strident, mais il a suspecté que Hermione pourrait pleurer. Elle avait toujours été à pleurer enclin tout au plus aléatoire des périodes, mais cela n'a pas signifié qu'il a dû l'aimer, même si il a dû trouver une certaine manière de finir leur amitié. Il a dû faire que graduellement, aussi, ainsi Ron et Hermione ne suspecteraient pas et ne feraient pas quelque chose idiote comme le Gryffindors obstinément fidèle qu'ils étaient vraiment.

« Êtes vous pleurant ? »

« Numéro » qui était un mensonge.

« Pourquoi pleurez-vous ? Je suis désolé, je ne devrais pas avoir appelé y-- »

« Vous devriez avoir. Je suis heureux vous ai fait. Je pas vous suis désolé que vous ayez fait. »

« Je ne suis pas, je ne suis pas. J'étais moyen. J'ai voulu entendre votre voix, celle est tout. J'ai voulu parler réellement à quelqu'un, je ne sais pas, je n'ai pas senti ce mauvais quand j'ai laissé Hogwarts-- » il s'est cassé au loin soudainement. La dernière chose qu'il avait eu l'intention de faire était davantage de souci Hermione ou la convaincre qu'elle devrait trouver une certaine manière d'obtenir en contact plus permanent avec lui.

« Harry-- »

« Je dois aller. Si je prends plus de temps ils seront bouleversés. » Ne se faisant pas confiance pour défaire vraiment les dommages il avait fait, il a claqué le téléphone vers le bas, et a tourné ses pieds dans la direction de la commande de Privet.

« Harry ! » Se reposant sur le bord de la chaise du réceptionniste dans le bureau de ses parents, Hermione Granger a jeté un coup d'oeil autour rapidement, à la hâte balayant arrache de ses joues. Personne n'avaient vu son accès. Elle a renversé le répondeur dessus et a accéléré dans les examens les salles. Heureusement, elle a trouvé sa mère se tenir dans le vestibule et examiner un rayon X.

« Maman ? »

« Hermione ? Êtes vous tout droit ? »

« Je vraiment ne me sens pas bien. Est-ce que je peux aller chercher à la maison le reste du jour ? Il n'y a personne dans la salle d'attente mais cette mère de petit garçon. »

« Oui, naturellement vous pouvez. » Elle a placé une main au front de sa fille. « Vous êtes rincé. Vous avez pleurant ? »

Le « non, » Hermione s'est trouvé. « Mes maux de tête juste. Svp ? »

« J'ai dit oui. Laissez-moi finir vers le haut ici et je vous conduirai et reviendrai. »

« Qui est correct. Vous n'aurez pas un réceptionniste ainsi elle sera assez occupée. Je peux prendre l'autobus. J'ai avant. »

Le dentiste incliné la tête. « Bien. Mais l'anneau dès que vous reviendrez ainsi nous ne s'inquiètent pas. Et prenez-le facile. »

« Je. » Le tour d'autobus a semblé interminable, et avant que Hermione l'ait rendu à son famille grande, jolie maison, elle était les larmes hysteriques pleurantes une fois de plus. « Hedwig ! » Elle a espéré que le hibou était endormi, et pas au loin en voyage de chasse. Une huée l'a saluée et elle est allée faible avec le soulagement. « J'ai besoin de vous pour prendre une lettre au lupin de Remus. Rapidement. Je pense Harry dans l'ennui. » Hedwig lui a donné un regard comme si elle a compris parfaitement. Hermione avait écrit sa note sur l'autobus, utilisant une page du livre de rendez-vous de son père et un stylo bille âgé au lieu du parchemin et de l'encre, mais elle a supposé qu'elle ferait peu de différence.

Cher professeur Lupin,

J'ai besoin de votre aide. Harry a des ennuis. Je ne pense pas qu'ils sont quelque chose que le professeur Dumbledore ou le ministère de la magie s'inquiéterait vraiment environ, ainsi je t'écris.

Ce n'est pas que je pense Vous-Connaître-qui va partir furtivement dans sa fenêtre de chambre à coucher. Cependant, Harry n'avait pas communiqué avec Ron ou moi cet été. Il m'a demandé que pour garder Hedwig et lui n'a pas répondu aux lettres envoyées à lui avec d'autres hiboux. Cet après-midi, bien que, il m'ait sonné au téléphone. Il a semblé malade, et a fatigué, et il a dit que ses parents sont plus heureux avec lui parce qu'il ne pense pas, et ses yeux sont mats !

Ce serait assez mauvais avec n'importe qui, mais les vies de Harry avec un famille qui ne l'aime pas ou ne veut pas. Ces personnes l'ont fermé à clef dans un compartiment jusqu'à ce qu'il soit venu à Hogwarts ! Elles ont mis des barres sur ses fenêtres, et il revient toujours à l'école pour le poids insuffisant de limite de chute.

Pouvez-vous m'aider trouvez-vous une manière de le voir ? Ou pouvez-vous aller le voyez-vous vous-même ? Il réclame également qu'il ne veut pas visiter Ron cet été parce qu'il l'a fait avant. Quelqu'un qui s'inquiète de plus que le fait qu'il est les besoins physiquement vivants de vérifier lui.

J'espère que je ne réagis pas en exagération, mais l'expérience antérieure m'a enseigné qu'à réagir en exagération est rarement possible quand Harry est impliqué.

Avec respect,

Hermione Granger

Le noir de Sirius a déchiré la lettre de la main de son destinataire et a donné l'assaut à à travers la salle dans un long pas. « Là. Voilà. je vais aller le vois en ce moment. »

« Vous ne pouvez pas, » Remus a répondu aussi calmement qu'il pourrait.

« Observez-moi ! »

« Je ne peux pas. »

« Pourquoi pas ? Hermione connaît Harry, et elle est un meilleur juge de caractère que la plupart des sorcières deux fois son âge. Si elle dit quelque chose a tort, je suis disposée à parier Buckbeak qui QUELQUE CHOSE A TORT ! »

« Je suis d'accord avec vous. Nous devons l'aider. Mais vous ne pouvez pas simplement Apparate dans sa salle. Il y a des charmes d'anti-Apparition et les salles protectrices et la désorientation orthographie partout ce voisinage. Vous ne pourriez jamais trouver la commande de Privet. Vous aviez utilisé une baguette magique et vous dégagez une signature magique. »

« Harry m'a dit que Ron et ses frères l'ont sélectionné vers le haut dans une voiture de vol une fois. Comment ils ont contrôlé cela ? »

« Voldemort n'était pas retourné pour actionner encore. La désorientation orthographie avait été placée pour identifier Arthur et aquarium populaire Weasley, et la voiture était Arthur. Elle ennuient sa signature. Les garçons n'ont employé aucune magie formelle-- ils n'ont pas enchanté la voiture eux-mêmes-- ainsi ils ont traversé comme Muggles. Nous devons également être préoccupés par le fait que vous êtes un homme voulu, et la moitié du monde wizarding pense que vous mettez vers le haut la marque foncée l'autre nuit. Mais… »

Sirius a grogné bas dans sa gorge. « Mais ? »

« Mais j'ai un plan. »